Rappelez vous, lors de la tentative bidon de destituer Trump, les médias français en ont fait des tonnes. Mais pas un mot sur la procédure de destitutions lancée contre Joe Biden pour corruption….
Une enquête de la Chambre des représentants sur la corruption de Joe Biden en pleine campagne électorale ? Génial !
Comme je l’ai déjà mentionné dans l’introduction à mon article du 13 septembre dernier, même si la Chambre des représentants adoptait des articles de destitution, il y aurait peu de chances qu’ils soient adoptés au Sénat, contrôlé par les Démocrates.
Avec le président républicain de la Chambre, Kevin McCarthy, les Républicains plongent avec raison dans le scandale de la corruption de Joe Biden et vont rendre publiques les informations montrant que Joe Biden a participé et profité des affaires de son fils Hunter pendant des années. Les treize prochains mois vont être l’occasion pour le GOP de faire subir le supplice de la goutte d’eau au président Biden. Les pathétiques valets des Démocrates dans les médias auront beau répéter qu’il n’y a aucune preuve impliquant Joe Biden dans les affaires de Hunter, les preuves existantes montreront à quel point ils prennent les Américains pour des imbéciles!
Hamlet hésite : Mettre en accusation ou ne pas mettre en accusation ?
L’annonce par le président de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, de l’ouverture prochaine d’une enquête pour déterminer si le président Biden doit être destitué, a un avantage particulièrement bienvenu : les grands médias doivent maintenant couvrir l’affaire et abandonner leur black-out virtuel sur l’ensemble des scandales de corruption de la famille Biden.
L’exemple le plus flagrant de la partialité des médias jusqu’à présent a peut-être été leur silence collectif sur les diverses opérations de paiement de pots-de-vin qui ont commencé sous la présidence de Barack Obama.
Misant sur l’ignorance supposée du public sur le sujet, les défenseurs de Joe Biden crient sur tous les toits qu’ »il n’y a aucune preuve » d’une quelconque malversation.
Cependant, attendre de CBS et du New York Times qu’ils aient encore le monopole de la circulation de l’information n’est plus une tactique gagnante.
Le simple fait d’exposer le linge sale de Joe Biden pourrait bien être suffisamment préjudiciable, tandis que la formalité d’une véritable destitution pourrait susciter une sympathie accrue parmi ses derniers partisans, comme cela a été le cas à plus grande échelle avec les tentatives de destitution du Président Trump.
En outre, nous sommes peut-être sur le point d’établir le modèle désagréable de la mise en accusation des présidents simplement parce que leur parti a perdu le contrôle de la Chambre des représentants.
Au cours des 236 années qui se sont écoulées depuis la fondation de notre république, il y a eu quatre mises en accusation (en comptant les deux mises en accusation de Donald Trump) et aucune n’a abouti à une condamnation.
Des spéculations circulent également sur le fait que le propre parti de M. Biden est en train d’envisager son élimination en tant que candidat pour l’année prochaine, mais pour des raisons autres que la corruption (petit clin d’œil).
Le problème, c’est qu’ils sont particulièrement démunis lorsqu’il s’agit de trouver un remplaçant viable.
Le Gouverneur de Californie, Gavin Newsom [NdT: surnommé Hair Gel, à cause du gel coiffant dans ses cheveux ] reste en tête de liste, même s’il vient ostensiblement de se retirer de la course. Il est vrai qu’il cherche seulement à se prémunir contre le risque d’être considéré comme un usurpateur. Il se laissera volontiers traîner en tête de liste.
Si les médias de masse avaient assuré une couverture minimale de la machine à escroquer de Joe Biden, il n’y aurait pas lieu de parler d’«impeachment».
Mais ce n’est pas le cas. Ceux qui gobent volontiers les balivernes du type « Il n’y a pas de preuves » révèlent de manière explicite la véritable nature du fossé qui divise l’Amérique d’aujourd’hui.
Certaines personnes n’acceptent que les informations qui correspondent à leur idée préexistante de ce que la réalité est censée être. En d’autres termes, ils savent déjà ce qu’ils sont censés entendre. Toute autre information est considérée comme de la propagande hostile.
Les autres personnes abordent toutes les informations avec un scepticisme sain et les comparent à des faits établis et peut-être à d’autres possibilités probables.
Contrairement au premier groupe, le second n’a aucun désir de se conformer à quoi que ce soit d’autre que l’objectivité.
Si j’étais Biden, je ne m’inquiéterais pas d’être démis de mes fonctions… au moins jusqu’en novembre de l’an prochain.
Non seulement le Sénat ne saisira pas l’occasion de se défaire de lui, mais Joe Biden dispose d’une police d’assurance à toute épreuve contre la destitution et le 25e amendement. Elle s’appelle Kamala.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source: americanthinker.com/2023/09/hamlet_ponders_to_impeach_or_not_to_impeach
Puisque vous êtes là…… on aimerait vous dire un dernier mot. Vous êtes de plus en plus nombreux à lire Europe Israël sur le web, et nous nous en réjouissons. Nous souhaitons qu’une grande partie des articles de notre site soit accessible à tous, gratuitement, mais l’information de qualité a un coût. En n’étant rattaché à aucun groupe industriel, aucun lobby, aucun politique, Europe Israël prouve chaque jour son indépendance éditoriale. Pour nous aider à garder notre liberté de ton et notre exigence journalistique, votre soutien est précieux. En donnant 100 € grâce à la déduction fiscale de 66% votre don ne vous coûte que 33 €. Vous recevrez un reçu CERFA pour tous dons supérieurs à 50 Euros qui vous permettra de déduire 66 % des sommes versées. Nous soutenir |
17/09/2023 Biden n’est qu’une marionnette, le vrai pouvoir des USA es ailleurs, Les démocrates qui dissent être contre les armes à feu, mais sont pour les guerres dans le monde, Si ne soutiendraient a coup de milliards l’Ukraine il y a longtemps que la guerre serait finie. Les russophones d’un coté, les ukrainophones de l’autre. C’est ainsi que s’est passé en Yougoslavie. Donald Trump a raison