Les agriculteurs irlandais protestent contre le projet du gouvernement d’abattre 200 000 vaches laitières pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. 55 000 emplois directs et indirects sont menacés
DERNIÈRES NOUVELLES : Les agriculteurs irlandais protestent contre le projet du gvt d'abattre 200 000 vaches laitières pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
55 000 emplois directs et indirects sont menacés 🚨🚨🚨🚨🚨🚨.
Pourquoi les gvts mettent-ils en place ⬇️ https://t.co/Xg07K8DoLq— AnneCatala 🧠 – Souveraine – Vérité vaincra (@AnneIbiza13) July 16, 2023
Nous sommes devenus fous d’accepter une politique qui sous le faux nez de lutte pour le climat est en réalité un instrument au service d’autres intérêts beaucoup moins louables… https://t.co/cSWMfHyGt4
— 🇫🇷Jacques Clostermann (@jaclostermann) July 16, 2023
En abattant des centaines de milliers de vaches, le gouvernement irlandais cherche à réduire d’un quart les émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture d’ici à 2030.
Une tonne de CO2 en moins. C’est l’objectif que veut atteindre l’Irlande en éliminant 200 000 vaches laitières sur trois ans, comme l’explique TF1. Dans le pays, l’Agriculture est responsable de 38 % des émissions de gaz à effet de serre.
Cette mesure envisagée par le gouvernement sur la base du volontariat doit permettre de réduire d’un quart les GES d’ici à 2030. Mais la fuite de la nouvelle a été très mal accueillie par le monde agricole et les associations de défense des animaux.
Si le ministère de l’Agriculture affirme qu’il ne s’agirait que « d’un des scénarios étudiés » et que sa « décision finale » n’est pas prise, les réactions ne se sont pas faites attendre.
55 000 emplois menacés
Le président de l’organisation laitière Irish Creamery Milk Suppliers regrette que les éleveurs soient désignés comme seuls responsables. Il dénonce des retombées financières difficiles sur le monde de l’agroalimentaire tandis que les industries aéronautiques et de transport « continueraient à polluer tranquillement ». Si cette mesure est mise en application, 55 000 emplois directs et indirects seraient menacés.
Avec plus de 5 millions d’Irlandais pour 6,5 millions de vaches, l’Irlande compte plus de bovins que d’habitants dans son pays. Un chiffre en hausse depuis près de dix ans en raison de la fin des quotas laitiers au sein de l’UE depuis 2015, selon la Commission européenne au ministère de l’Agriculture irlandais.
L’Irlande n’est pas le premier pays à envisager l’abattage de bêtes. Le « plan azote » prévoit aux Pays-Bas d’éliminer 30 % de bovins. La France a également été pointée du doigt par la cour des Comptes qui a demandé en mai au gouvernement de « définir et rendre publique une stratégie de réduction » du nombre de vaches. Avec 17 millions de bestiaux dans son cheptel, la France est le premier producteur européen de viande bovine, un secteur qui représente 11,8 % des émissions de gaz à effet de serre du pays.
Source Le Point
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Très bien, alors que ceux qui prennent ces décisions arrêtent de consommer de la viande bovine et des produits laitiers.
En priorité, suppression de ces produits alimentaire dans les restaurants des deux chambres, des ministères et à l’Elysee.
Si vraiment cette chose passe, c`est vraiment les malades mentaux qui gouverne l`hôpital psychiatrique. PATHÉTIQUE!