Je n’écris plus pour Israël magazine dont j’ai décidé de m’éloigner car je ne suis pas macroniste, j’écris chaque mois pour Futé Magazine que dirige Charles Benguigui qui est un conservateur israélien. C’est un magazine gratuit donc très diffusé. J’enregistre chaque semaine une chronique radiophonique pour Koulam Radio, la station créée par Guy Rozanowicz, fondateur de Radio J, et les chroniques sont reprises sur israel247. J’écris, en outre, régulièrement des articles en anglais sur Israël pour le Gatestone Institute, dont je suis Distinguished Senior Fellow. Tout cela est disponible sur internet. Je devrais écrire plus souvent des articles en français sur Israël à destination du public français, car la désinformation sur Israël règne, et est porteuse d’incitations à la haine envers Israël.
Il n’y a pas un seul journal, pas un seul magazine en France où on ne trouve des articles abominables, et dans lesquels l’abomination commence dès le vocabulaire utilisé. Jérusalem est la capitale réunifiée et indivisible d’Israël depuis plus de quatre décennies, la quasi-totalité des journalistes français qui traitent de Jérusalem continuent néanmoins à parler de “Jérusalem Est occupée” ou “colonisée”. Jérusalem a été divisée en deux quand la Jordanie, qui a participé à la guerre pour la destruction d’Israël lancée par le monde arabe musulman en 1948, a occupé militairement et colonisé la partie Est de Jérusalem, interdit l’accès du Kotel aux Juifs, et l’a transformé en urinoir et en dépôt d’ordures. La Jordanie étant à nouveau entrée en guerre contre Israël en 1967 et ayant perdu la guerre, la partie Est de Jérusalem a été libérée, le Kotel a retrouvé sa dignité, et les Juifs peuvent s’y rendre librement depuis. La Jordanie ayant pratiqué l’épuration ethnique anti-juive, les Juifs vivant dans la partie Est de Jérusalem en ont été chassés en 1948 ou ont été tués. Des Juifs sont revenus vivre dans la partie Est de Jérusalem, et Israël ne pratiquant pas l’épuration ethnique, tous les Arabes qui vivaient dans la partie Est de Jérusalem continuent à y vivre. Il est facile de connaitre les faits, les journalistes qui parlent de “Jérusalem Est occupée” ou “colonisée” occultent délibérément les faits, ou feignent de les ignorer, pour accuser Israël.
La quasi-totalité des journalistes français qui parlent de la Judée-Samarie en parlent ou bien en disant qu’il s’agit de la “Cisjordanie occupée”, ou pire, de “territoires palestiniens occupés“. La Judée et la Samarie portent ce nom depuis des siècles. Le nom Cisjordanie a été utilisé pendant dix-huit ans, entre 1949 et 1967, quand ce territoire a été occupé militairement par la Jordanie. La Judée et la Samarie ont été libérées de l’occupation jordanienne en 1967, et plus personne n’a à parler de “Cisjordanie”. Ce territoire n’a jamais été “palestinien”, car il n’y a jamais eu de pays appelé “Palestine”, et le “peuple palestinien” lui-même a été inventé (par le KGB) pour être une arme de destruction massive contre Israël en 1967, trois ans après la création de l’OLP (organisation de libération de la Palestine), dont l’objectif reste l’annihilation d’Israël. L’épuration ethnique jordanienne a chassé ou tué les Juifs vivant en Judée Samarie en 1948. Des Juifs israéliens sont revenus en Judée Samarie. L’organisation de libération de la Palestine voulant l’annihilation d’Israël, veut pratiquer l’épuration ethnique anti-juive au Proche-Orient, donc l’épuration ethnique anti-juive en Judée-Samarie.
Un gouvernement de gauche israélien a fait, en 1992, de désastreuses concessions au chef de bande terroriste Yasser Arafat lors des accords d’Oslo, et accepté que l’OLP devienne l’organisation terroriste appelée aujourd’hui Autorité Palestinienne, et une partie de la Judée Samarie est, depuis, occupée par l’Autorité Palestinienne, qui y pratique le terrorisme (ce qui est tristement normal parce que c’est une organisation terroriste). Shimon Peres et Yitzhak Rabin ont fait de désastreuses concessions, oui, et ils ont commis une erreur criminelle en acceptant que se crée l’Autorité Palestinienne : cette erreur a couté la vie à de nombreux Israéliens.
La Judée-Samarie, c’est un fait, n’a jamais été “territoire palestinien”. Elle est partiellement occupée par une organisation terroriste, c’est très différent. Je pourrais continuer en parlant davantage encore du vocabulaire utilisé par les journalistes français qui traitent d’Israël. Les Juifs israéliens vivant en Judée-Samarie ne sont pas des “colons” habitant des “colonies”, mais des Juifs israéliens habitant des villes et des villages juifs en Judée-Samarie, terre juive. L’Autorité Palestinienne est une organisation qui ne se contente pas de pratiquer le terrorisme, mais le finance, et Mahmoud Abbas est un chef de bande terroriste, pas un président. Le but du KGB en inventant la “cause palestinienne”, puis le “peuple palestinien”, était de faire passer la lutte exterminationniste anti-juive du monde arabe musulman de l’époque (lutte pas du tout présentable) pour une pseudo “lutte de libération nationale” censée être menée par un “petit peuple” inventé pour la circonstance. Le KGB a réussi. Les journalistes n’ont pas à contribuer à cette réussite et à s’y soumettre. Mentir, reprendre les falsifications des faits inventées par le KGB, et maintenant par l’Autorité Palestinienne, n’est pas faire un travail de journaliste, mais un travail de propagandiste.
Pour des motifs que j’ai expliqué dans les livres que j’ai consacré au sujet (L’Etat à l’étoile jaune*, Comme si se préparait une seconde shoah*, Hudna, Israël raconté à ma fille*), les dirigeants européens, les dirigeants français en particulier (depuis que le général De Gaulle a mis en place la “politique arabe de la France”) ont choisi de soutenir la “cause palestinienne”, d’adhérer, donc, à la propagande élaborée par le KGB, et tout en feignant hypocritement d’être “amis d’Israël”, de diaboliser Israël. Les dirigeants israéliens de gauche, dans ce cadre, ont été et sont soutenus en Europe, et plus ils ont fait des concessions au terrorisme, plus ils ont été soutenus, plus ils ont mis Israël en danger, et plus les victimes juives israéliennes d’attentats terroristes se sont accumulées, plus ils ont été présentés comme dignes d’éloges. Les dirigeants israéliens conservateurs, eux, ont été, et sont, insultés et trainés dans la boue.
Les Etats-Unis, eux, ont longtemps soutenu Israël de manière claire et nette, et le soutien à Israël aux Etats-Unis a longtemps été puissant et bipartisan. Cela a changé au fil du temps, et c’est ce qui permet de comprendre la situation actuelle, pleine de bruit et de fureur.
George Herbert Walker Bush, piètre successeur de Ronald Reagan, imaginait pouvoir établir un “nouvel ordre mondial”, et voulait, dans ce cadre, en finir avec le conflit israélo-palestinien, en imposant des concessions à Israël. Il a décidé de “tordre le bras à Israël” (l’expression est de James Baker, secrétaire d’Etat à ce moment, qui a été l’artisan de cette politique), et Yitzhak Shamir, soumis à des pressions financières américaines, a dû se rendre à la conférence de Madrid en 1991 au cours de laquelle la délégation américaine a fortement suggéré qu’Israël devait faire des concessions à l’OLP. Yitzhak Shamir, un grand premier ministre et un homme courageux, n’a pas cédé. Bill Clinton a profité du fait qu’Yitzhak Shamir avait été remplacé au poste de premier ministre par Yitzhak Rabin, homme de gauche (épaulé et poussé par Shimon Peres, autre homme de gauche), et les accords d’Oslo ont été signés. L’Autorité Palestinienne a été créée, et une vague terroriste a déferlé sur Israël. Rabin a été assassiné et la gauche mondiale, dont la gauche américaine, a dit que son assassin avait “tué la paix”. George Walker Bush n’a pas fait pression sur Israël, mais n’a pas fait de geste pro-israélien. Barack Obama, lui, venu de l’extrême gauche, s’est montré résolument “pro-palestinien” (je devrais dire pro-terrorisme anti-israélien), et il a osé comparer Israël à l’Afrique du Sud au temps de l’apartheid ! Ses discours sur anti-israéliens ont beaucoup plus aux Européens “pro-palestinien”, bien sûr, et ont montré un infléchissement très net et très négatif de la politique américaine vis-à-vis d’Israël. Obama a fait entrer dans le Parti Démocrate des gauchistes anti-israéliens, façon Alexandria Ocasio-Cortez, et des islamistes antisémites, Rashida Tlaib, Ilhan Omar. Donald Trump s’est efforcé de remédier aux dégâts créés par Barack Obama et a été le président le plus pro-israélien de l’histoire des Etats-Unis. La synergie qui a existé entre lui et Binyamin Netanyahou a conduit aux accords d’Abraham, qui ont été la plus importante avancée vers une paix véritable au Proche Orient depuis 1948. L’Autorité Palestinienne a été marginalisée. Les pays du monde arabe sunnite se sont montrés prêts à faire la paix avec Israël en acceptant que les Arabes appelés “Palestiniens” (depuis 1967) se voient accorder des territoires autonomes strictement désarmés, placés sous contrôle d’Israël, sans la moindre frontière avec un pays arabe musulman, et sans possibilité de retour des prétendus réfugiés.
L’arrivée au pouvoir de l’administration Biden a conduit à la remise en avant de la politique menée sous Obama.
Trump avait coupé les financements américains accordés à l’Autorité Palestinienne parce que celle-ci pratiquait le terrorisme : l’administration Biden a rétabli les financements, sans demander à l’Autorité Palestinienne de renoncer au terrorisme, ce qui signifie que l’administration Biden contribue à financer le terrorisme “palestinien”. Trump avait conduit l’Iran des mollahs vers l’asphyxie : l’administration Biden a levé l’essentiel des sanctions frappant l’Iran, qui peut à nouveau menacer les pays arabes sunnites et financer le terrorisme islamique, et plusieurs pays arabes sunnites se sentant lâchés par l’administration Biden se tournent vers la Chine. Binyamin Netanyahou n’ayant pu constituer une majorité, Israël a eu, pendant un an, un gouvernement lamentable dominé par la gauche, et Naftali Bennett et Yair Lapid se sont prosternés devant Biden. Ce gouvernement convenait très bien à l’administration Biden. Il est tombé.
Et l’automne dernier, les électeurs israéliens ont porté au pouvoir un gouvernement clairement conservateur, prêt à résister aux diktats de l’administration Biden et dirigé par Binyamin Netanyahou.
L’administration Biden a déclaré la guerre à ce gouvernement. Des organisations juives de gauche, en tête desquelles se trouve le New Israel Fund, et l’administration Biden (par le biais du Département d’Etat), financent une entreprise de déstabilisation et d’insurrection destinée à faire tomber le gouvernement Netanyahou.
Cette entreprise peut s’appuyer sur la gauche israélienne, et plus largement sur les opposants à Binyamin Netanyahu, qui montrent qu’ils n’ont ni éthique ni scrupule. Elle peut s’appuyer aussi sur l’essentiel des grands médias israéliens, sur les électeurs de gauche israéliens et sur quelques électeurs censés être de droite qui se comportent largement comme des idiots utiles. Des manifestations qui tournent à l’insurrection ont lieu en Israël, qui mettent le pays en danger. Les manifestants répètent comme des ânes bâtés ce qu’on leur dit de répéter. Ils bloquent les autoroutes et ont bloqué l’aéroport de Tel Aviv.
L’entreprise de déstabilisation et d’insurrection veut empêcher toute réforme de la Cour Suprême israélienne. Et pour comprendre, il faut savoir que celle-ci est ancrée à gauche (ses membres se recrutent par cooptation) et s’est arrogée en 1995 des pouvoirs démesurés qui font qu’elle s’autorise à bloquer de manière totalement arbitraire une large part des décisions des gouvernements conservateurs.
Le gouvernement Netanyahou veut reconduire cette Cour Suprême à un rôle de Cour Suprême : l’examen de la conformité des lois aux Lois fondamentales d’Israël. Le gouvernement Netanyahou veut donc que la Cour Suprême israélienne ait des pouvoirs identiques à ceux de la Cour Suprême américaine. Il n’y a rien là de scandaleux ou d’inquiétant, mais l’action du gouvernement Netanyahou priverait la gauche de sa capacité de blocage.
L’entreprise de déstabilisation et d’insurrection vise à permettre à la gauche de garder sa capacité de blocage, et la gauche est, pour cela, prête à tout. Mensonges destinés à semer l’inquiétude. Discours disant que la démocratie est menacée. Comparaisons de Netanyahou avec Hitler et Mussolini. Accusations disant que le gouvernement veut transformer le pays en une dictature religieuse intégriste.
L’administration Biden relaie les mensonges et appuie verbalement les manifestants, et oui, elle finance ce qui se passe.
Il se dit de toutes parts que les manifestations ont pour but de sauver la démocratie. Tous les moyens employés par les manifestants et ceux qui les organisent sont non démocratiques. Tenter de renverser un gouvernement issu d’élections démocratiques par des moyens non démocratiques s’appelle une tentative de coup d’Etat, et Israël fait face à une tentative de coup d’Etat.
Si la tentative réussissait, les abus de pouvoir auxquels se livre la Cour Suprême israélienne se poursuivraient. En supplément, un précédent serait créé, et tout gouvernement qui n’aurait pas l’agrément de la gauche risquerait de subir déstabilisation et insurrection.
Nombre de manifestants sont des idiots utiles et, comme tous les idiots utiles sur terre, ne savent pas ce qu’ils font. Ils mettent le pays en danger. Ils contribuent à la tentative de coup d’état. Ils menacent la démocratie israélienne. Et la gauche israélienne aujourd’hui est une menace pour la démocratie israélienne.
La gauche américaine et l’administration Biden soutiennent et appuient la menace. La gauche européenne la soutient aussi.
Tous les amis d’Israël doivent regarder la réalité en face, soutenir le gouvernement Netanyahou, et contribuer à ce que la menace échoue.
Jamais depuis longtemps Israël n’avait été dans une situation aussi délétère. Jamais autant d’Israéliens ne s’étaient comportés comme des idiots utiles. Jamais des politiciens israéliens ne s’étaient comportés comme des ennemis de la démocratie dans leur propre pays. Ces politiciens mériteraient d’être marginalisés à jamais.
Il serait impératif aussi qu’Israël prenne des mesures contre les organisations non gouvernementales anti-israéliennes financées depuis l’étranger, qui agissent au sein d’Israël et se conduisent comme de véritables ennemis de l’intérieur. Israël a suffisamment d’ennemis répugnants pour ne pas en ajouter d’autres.
Un premier volet de la réforme de la Cour Suprême israélienne a été voté lundi. Il abolit la “clause de raisonnabilité”, une clause inepte, extérieure au domaine juridique qui permettait tous les abus. La réforme doit être poursuivie jusqu’au bout. Le gouvernement Netanyahou ne doit pas fléchir.
C’est la démocratie israélienne qui est en jeu.
© Guy Millière pour Dreuz.info.
Puisque vous êtes là…… on aimerait vous dire un dernier mot. Vous êtes de plus en plus nombreux à lire Europe Israël sur le web, et nous nous en réjouissons. Nous souhaitons qu’une grande partie des articles de notre site soit accessible à tous, gratuitement, mais l’information de qualité a un coût. En n’étant rattaché à aucun groupe industriel, aucun lobby, aucun politique, Europe Israël prouve chaque jour son indépendance éditoriale. Pour nous aider à garder notre liberté de ton et notre exigence journalistique, votre soutien est précieux. En donnant 100 € grâce à la déduction fiscale de 66% votre don ne vous coûte que 33 €. Vous recevrez un reçu CERFA pour tous dons supérieurs à 50 Euros qui vous permettra de déduire 66 % des sommes versées. Nous soutenir |
Les agitateurs agités sont ultra-minoritaires.
Seulement, les médias se focalisent sur eux à la loupe, pire, au microscope.
Un microbe ou un protozaire devient énorme et effrayant au microscope.
Seulement, ils détiennent comme une mafia des systèmes-clés, comme la Cour suprême, ou l’armée : aucun candidat qui ne ressemble pas comme deux gouttes d’eau à ceux qui détiennent l’armée de l’air ne peut devenir pilote de chasse, entre autres.
Une ex-conseillère d’Ehud Barak qui dévoile, vidéo à l’appui, que ce triste personnage, depuis 2020, voulait organiser une révolution interne.
Celle-ci lui permettrait de revenir au pouvoir comme un sauveur de l’État en considérant sa prétendue expérience du pouvoir.
« Nous voyons ce triste personnage préparant tout le plan de la révolution, dans le cadre d’une réunion Zoom qui a eu lieu il y a trois ans, en juin 2020.
Lecteur vidéo
00:00
05:19
Une réunion par zoom dans le cadre d’un forum qui avait pour nom « 555 » auquel a participé la fameuse Chikma Breslere, organisatrice des manifestations.
Afin de donner de la crédibilité à ce coup d’État, dans lequel il était prévu que des juifs s’entretuent, il fallait offrir une certaine crédibilité morale et intellectuelle. Un certain nombre de personnalités dites de gauche, mais qui sont avant tout des bourgeois, sont venus prêter main forte, à une gauche chassée de la Knesset par le peuple. Le Meretz n’a plus un seul député, alors que le parti travailliste a échappé de peu à la mort, avec 4 députés.
En juin 2020 – 3 ans avant la réforme voilà ce que dit Barak, avec la fameuse Chikma Breslere, à qui Times of Israël a accordé une longue interview sur un ton très obséquieux. Ce qui montre la collusion de certains médias, et la manipulation à laquelle ils se livrent.
Dès le début, les slogans creux étaient en place. Il fallait trouver des slogans consensuels : « DE-MO-CRA-TIE » ce à quoi tout le monde peut adhérer. Ça démontre sa vision hellénique du monde. Ce terme avait été écarté par ben Gourion lors de la déclaration d’indépendance d’Israël en 1948. Ben Gourion avait alors dit : « L’État d’Israël sera fondé sur les principes de liberté, de justice et de paix enseignés par les prophètes d’Israël »
Mais, en s’adressant à ce qu’il croit être « l’élite d’Israël » à savoir la bourgeoisie, il voulait agréger à sa révolution les séfarades, les soldats, et monsieur Tout-le-Monde qui devaient adhérer à ces slogans creux, mais consensuels.
Il demande à ceux qui participent à ce forum, – qui représentent pour lui l’élite du peuple-, de se mettre au service de la révolution, non avec des mots, mais avec des actes.
L’objectif PREMIER & UNIQUE, abattre Netanyahu, en espérant sa disparition physique.
Il faut faire comprendre au peuple le très grand danger que court le pays sous la direction de Netanyahu, en employant des slogans pour apeurer le peuple tel que « notre régime est ANTIDEMOCRATIQUE comme en Hongrie , ou en Pologne . »
Israël est en DANGER IMMINENT avec NETANYAHU, autre slogan vide de sens.
Lui, chassé du pouvoir très DÉMOCRATIQUEMENT, veut être un recours avec un processus ANTIDÉMOCRATIQUE.
La dégradation de la situation économique est là pour faire peur au peuple. Le Patron de la Histadrut n’a ainsi pas arrêté de menacer de faire une grève générale. Il a dû fermer sa bouche, parce qu’à la Histadrut il n’y a pas de petits bourgeois comme adhérents, mais le peuple, qui a vomi la gauche. Ce dernier ne fera pas grève pour les beaux yeux de la bourgeoisie, qui a spéculé dans l’immobilier au point de priver des milliers d’Israéliens, qui ne peuvent plus acheter d’appartement.
Pour toutes ces manifestations, il faut énormément d’argent. Pour les drapeaux, les pancartes, les banderoles, les bus, l’organisation, payer des personnes à temps plein. Il faut aussi des slogans ravageurs, pour défendre la liberté, contre la dictature.
Il leur faut utiliser tout ce qui flatte les Israéliens, les drapeaux, les fêtes nationales, tout ce qui unit le peuple et le dévoyer pour ce coup d’État.
Les slogans ne doivent être ni de gauche ni de droite. Ils doivent obliger à une réponse d’adhésion, que personne ne peut refuser. Ces slogans s’adressent aux Russes, aux séfarades, aux pauvres de la banlieue,
Il faut aussi qu’il y ait une alliance implicite avec la police.
Objectif premier descendre Netanyahu, même s’il y a une guerre civile, même si cela porte tort à Israël à l’extérieur. Quel que soit le prix, il faut abattre Netanyahu.
Que des Juifs s’entretuent, que des corps seront jetés dans le Yarkon, de préférence ceux des implantations !
Alors les citoyens seront frappés par une grande lumière, Ehud Barak apparaîtra comme le sauveur. Lui qui a failli donner Jérusalem à Arafat en 2001. Heureusement que ce dernier a écouté les bons conseils de Jacques Chirac le 24 mai 2001, comme quoi il pourrait avoir plus de concessions, et qu’il ne fallait pas signer l’accord de Camp David II.
Barak ajoute sans vergogne « Si Netanyahu disparaît, et qu’une guerre avec le Hezbollah menace, ou avec l’Iran » alors je serais l’homme de la situation.
Alors que vous soyez de gauche ou de droite, comment pouvez-vous accepter que des corps de juifs soient retrouvés morts sur le Yarkon.
Voilà comment se termine cette VIDEO.
TRANSMETTEZ CET ARTICLE A TOUTES VOS CONNAISSANCES. TOUT LE MONDE DOIT BIEN ÊTRE AU COURANT DE LA VRAIE MENACE QUI PÈSE SUR ISRAËL.
JForum.fr
La gauche qui a sombrai, parce qu’elle est traitre à la nation juive crée pour accueillir tous les juifs persécutés dans le monde. Bibi Netanyahu a perdu son frère en donnant sa vie pour sauver des israéliens otages des terroristes, ce n’est pas les bourgeois de gauche qui aiment ainsi Israël.
Chalon!
La gauche faute de plaire aux nations, elle infiltre ses institutions, pour créer une dictature, qui noyaute les institutions, dont le ministère des finances avec des aides aux journaux « gauchistes » et des associations activistes contre les valeurs culturelles occidentales, en vérité les coups de canifs et de la haine viennent de la gauche contre la droite à 90% et dans l’autre sens de 10% a peines. Mais à les entendre c’est l’inverse.