Sainte-Soline : week-end de mobilisation des écolo-gauchistes contre les bassines, la situation dégénère, des véhicules de gendarmerie en flammes.
Un motocycliste tir à l’aveugle au LBD sur des manifestants anti-bassines à Sainte-Soline.#greve28mars #BassinesNonMerci #DeuxSèvres #SainteSoline #manifestation #ViolencesPolicieres #DarmaninDemission #BravM #megabassines pic.twitter.com/lshz0ybRVx
— La Luciole – Média (@laluciolemedia) March 25, 2023
Les attaques filmées du côté des gendarmes #saintesoline pic.twitter.com/fynXbjq7Fd
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L'attaque du camion de gendarmerie par les ecolo-gauchistes #saintesoline pic.twitter.com/VD2x57mEuQ
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Les militants d'extrême-gauche attaquent la police en formation offensive avec mortiers et boucliers #saintesoline pic.twitter.com/Al7ObcYWnG
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#saintesoline : véhicule de gendarmerie en feu pic.twitter.com/EpftV2H7Ip
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🔴 @CNEWS | 🗣️« Des personnes cagoulées nous ont raccompagné en nous jetant de la peinture sur la voiture ».
A Sainte Soline, certains militants écologistes radicaux s'en sont pris à nos journalistes. La présence de la presse n'est visiblement pas souhaitée… pic.twitter.com/aA94Nkdl24— Amaury Bucco (@AmauryBucco) March 24, 2023
Il faut s’attendre à une manifestation violente, a prévenu Gérald Darmanin ce vendredi sur l’antenne de CNEWS. Ce week-end, entre 7.000 et 10.000 militants anti-bassines, dont plus de 1.500 radicaux, sont attendus dans les Deux-Sèvres pour protester contre ces grandes réserves d’eau dédiées à l’irrigation agricole.
Une machette, une hache, une serpette et un couteau récupérés par les forces de l’ordre ont été montrés, afin d’en rendre compte.
#SainteSoline 🚨 De nombreuses armes découvertes dans le cadre des contrôles routiers dans le secteur de Melle (Deux-Sèvres). La @Gendarmerie est pleinement mobilisée ce week-end pour assurer la sécurité des personnes et des biens face au risque de rassemblements interdits. pic.twitter.com/FywD1rx7bS
— Gendarmerie nationale (@Gendarmerie) March 24, 2023
Les organisateurs du rassemblement ont annoncé de leur côté l’installation d’un campement «à proximité de la zone de manifestation, au nez et à la barbe du dispositif préfectoral et des nombreux contrôles sur zone». Leur but est de créer une ZAD (zone à défendre, NDLR) sur un terrain privé mis à disposition par un agriculteur et qui se trouve hors de la zone d’interdiction de rassemblement et manifestation.
Un important dispositif de sécurité a été déployé avec 3.200 gendarmes et policiers tout au long du week-end pour encadrer la manifestation, interdite par les autorités.
« Mégabassines » : autopsie d’une « mégadésinformation »
Alors que 7 000 à 10 000 militants « anti-bassines » s’apprêtent à manifester une nouvelle fois, à partir de ce vendredi et jusqu’à dimanche, dans les Deux-Sèvres, sur deux sites – Sainte-Soline et Mauzé-sur-le-Mignon – devenus emblématiques de la lutte contre ces vastes réservoirs destinés à stocker, pendant l’hiver, de l’eau à usage agricole, leurs voisins du sud de la Vendée rasent les murs. Dans leur département, assis sur le même Marais poitevin et limitrophe des Deux-Sèvres, vingt-cinq « mégabassines » ont été construites entre 2007 et 2019… sans que cela soulève de protestations, et avec des résultats unanimement salués : « L’effet positif sur les nappes phréatiques est indéniable », confie au Point Yves Le Quellec, président du bureau local de France nature environnement (FNE), qui a suivi les ouvrages depuis le premier jour. « J’étais moi-même réticent, au début… Avec le recul, je dois reconnaître que je me suis trompé », dit-il.
(…)
Les « mégabassines » feraient donc planer la mort ? « Ce qui est sidérant, c’est la rapidité avec laquelle tout débat rationnel sur les retenues d’eau est devenu impossible », hallucine un hydrologue ayant travaillé sur plusieurs projets locaux, insistant pour que son anonymat soit préservé. « Je ne suis qu’un simple hydrogéologue de terrain… je ne veux pas de problèmes. » Comme lui, les agriculteurs – dont certains ont porté plainte, mi-mars, pour « harcèlement moral » – racontent des mois d’insultes, d’intimidations, de pression médiatique les désignant aux yeux du grand public comme des quasi-criminels. « Aucun de nous n’a le profil de l’agrobusiness », racontent à La Nouvelle République Ludovic Vassaux et Guillaume Raynaud, qui élèvent des vaches maraîchines en agriculture bio. Et pourtant saccagés, comme les autres. Les hydrologues spécialistes de la région, redoutant les attaques, se murent dans le silence – laissant le champ libre à une poignée de militants, qui squattent les plateaux de télévision. « Le discours des radicaux est devenu dominant, car il a un point commun avec les mouvements écolonaturalistes et anticapitalistes modérés : la décroissance », décrypte Olivier Vial. « Ce mouvement est aussi porté par une galaxie d’universitaires engagés depuis longtemps dans un courant de déconstruction et de remise en cause des valeurs occidentales », qui le portent depuis des années.
« Beaucoup d’hydrologues interrogés dans les médias reconnaissent, dans leurs écrits, l’intérêt des retenues de substitution, mais redoutent, en public, que leur construction retarde la réflexion vers la transition et la sobriété. Ils rencontrent un mouvement antiprogrès technologique et anti-innovation très présent dans l’opinion », résume-t-il.
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Que dit la science ?
Sur le plan technique, pourtant, les arguments avancés manquent de précision. Les bassines artificialiseraient les sols ? Dans les Deux-Sèvres, elles ne représenteront que 0,74 % de la superficie des terres concernées par l’irrigation, a calculé Stéphane V., enseignant agrégé en sciences de la vie et de la terre, et auteur du blog Terre à Terre. Jusqu’à « 30 % de l’eau » des bassines pourraient être évaporée ? « C’est largement surévalué », estime un hydrologue au Bureau de recherche géologique et minières (BRGM), qui évalue plutôt l’évaporation « entre 3 % et 6 % », se basant sur des réservoirs en exploitation à l’étranger. (…) Ce débat tourne à la farce, on malmène et on instrumentalise la science », s’étrangle un hydrologue local, redoutant – lui aussi ! -, s’il s’exprime publiquement, les représailles professionnelles.
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c’est quoi ce pays de fou
les flics en quad c’est du mad max
pour de vrai ce coup ci …
Les suspensions semblent bien meilleures que sur les anciennes jeeps, en tout terrain agricole. C’est comme en orthographe, il faut avoir un minimum l’oreille à la mécanique.
orangemécaniqueçacorrespondmieuxalasituation
Un des pires films de Kubrick.
c’est comme le cutter stanley