Deux militantes de la gauche féministe dénoncent l’idéologie transgenre et le wokisme
Ces deux militantes, d’abord connues dans les milieux de la gauche féministe sont-elles passées du côté obscur ? Sont-elles transphobes ? Dora Moutot (« T’as Joui » sur Instagram) et Marguerite Stern ex-Femen) reviennent sur ce qui leur a valu d’être mises au ban des luttes féministes à cause de leur opposition philosophique à l’idéologie transgenre, et sur leur combat pour que les femmes restent des femmes.
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Elles sont courageuses de s’attaquer à pareils requins.
Récemment, sur Twitter, j’ai vu passer la nouvelle patronne du concours de Miss Univers qui, d’une voix mâle très assurée, avec force coup de menton, en haut d’un corps médicalement transformé en Barbie, parlait de « We Men »…
La concurrence envers la femme, exprimée par le changement d’une voyelle en anglais, est rude… Dans le monde de la mode qui surfe sur toutes les ambiguïtés,, les « We Men » ont le vent en poupe. C’est effrayant, tant les moyens de promotion sont pharamineux.
Qu’elles se fassent harceler n’a rien d’étonnant.
Tout est fait pour culpabiliser celles qui refusent le charabia imposé à leur nature F, fille, femme, femelle, pour ne pas froisser ces petits fragiles trans- messieurs qui viennent nous encombrer avec leurs problèmes, comme si les femmes n’en avaient pas assez avec les leurs.
Mon féminisme se limite à dire ouste ! bon vent !
Qu’ils s’assument et basta !