Fiasco de Darmanin pour l’Ocean Viking : seuls 6 migrants sur les 234 qui ont débarqué en France ne sont pas partis dans la nature
Voici la source pour les 6 migrants de l' #Oceanviking a ne pas encore être dans la nature . C'est le journaliste Louis de Raguenel sur Europe 1 qui parle. pic.twitter.com/FelenGIRKW
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) November 21, 2022
Ségolène Royal sur l'Ocean Viking : « Tous ces jeunes adultes qui sont maintenant dans la nature, ce sont des délinquants potentiels. Comment vont-ils subvenir à leurs besoins ? Par la délinquance » pic.twitter.com/3MSvDDZu91
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 21, 2022
Ségolène Royal sur l'Ocean Viking : « Peut-on accepter l'arrivée anarchique de bateaux de migrants affrétés par des ONG ? La réponse est non ! C'est impossible (…) Les ONG sont complices des passeurs » pic.twitter.com/s7Mz1w9CJV
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 21, 2022
La macronie est très embarrassée par l'affaire de l'«Ocean Viking» : «Tout cela est désastreux pour notre image, cela vient appuyer sur notre point faible, le régalien et cela alimente le vote RN»https://t.co/NikKNeXgpo pic.twitter.com/38BdLoKXkB
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 19, 2022
Ocean Viking: un fiasco judiciaire et politique? pic.twitter.com/vZX4OYzWuk
— BFMTV (@BFMTV) November 19, 2022
L’Office français de protection des réfugiés et apatrides a émis 123 avis défavorables parmi les 189 adultes placés en “zone d’attente” et les personnes concernées “font l’objet d’un refus d’entrée sur le territoire”, a indiqué vendredi devant le Conseil d’État un représentant du ministère de l’Intérieur.
(…) France 24
“La pression migratoire s’est fortement accrue ces dernières années en Europe et nos règles ne sont pas bâties pour cette situation.”, déclare l’Élysée.
Ocean Viking: la justice n'a pas pu statuer sur le maintien en zone d'attente de 123 migrants en raison d'un manque de temps et de vices de procédure pic.twitter.com/cAYGBbvwB0
— BFMTV (@BFMTV) November 18, 2022
Cette fois-ci, c’était la Cour d’appel d’Aix-en-Provence qui devait trancher sur une prolongation ou non du maintien de ces migrants en zone d’attente fermée. La juridiction a donné raison aux juges toulonnais puisqu’elle a ordonné la remise en liberté de 108 réfugiés. Au total, sur les 190 migrants accueillis sur la presqu’île de Giens, 123 ont été remis en liberté ces trois derniers jours.
"Ils ne pourront pas sortir du centre administratif. Ils ne seront donc pas sur le territoire national au sens juridique du terme". Extraordinaire. #OceanVikingToulon dépasse l'affaire des Anglais du #StadeDeFrance pic.twitter.com/RyVEG2Bn1i
— Robin 🇺🇦 🇨🇵 (@GabRobin31) November 18, 2022
La procédure idéale imaginée par le ministère de l’intérieur pour gérer les passagers de l’Ocean-Viking s’est échouée dans un chaos feutré, jeudi 17 novembre, devant les chambres de la cour d’appel d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
(…) Vendredi 11 novembre, le préfet du Var, Evence Richard, et le directeur général des étrangers en France au ministère de l’intérieur, Eric Jalon, avaient expliqué que les 177 adultes arrivés après trois semaines de mer seraient maintenus « pendant vingt jours maximum » dans une zone située dans un centre de vacances. Une façon d’éviter une entrée officielle sur le territoire français pendant l’étude de leur éligibilité au dépôt d’une demande d’asile. C’était ne pas prendre en compte la difficulté à gérer dans le cadre légal un tel nombre de dossiers.
En raison d’un trop grand nombre de dossiers à traiter et trop peu de magistrats, la justice n’a pas pu examiner les cas de plusieurs dizaines de migrants accueillis à Toulon après l’accostage de l’Ocean Viking.
Une nouvelle polémique dans le dossier Ocean Viking. Plusieurs dizaines de migrants accueillis à Toulon après le bras de fer entre la France et l’Italie vont pouvoir quitter librement la zone d’attente fermée sur la presqu’île de Giens, sans que leur cas n’ait pu être examiné par la justice dans les temps.
Dès leur placement, la justice avait quatre jours pour examiner leur situation et déterminer si ces 190 majeurs étaient accessibles à une demande de droit d’asile ou devaient faire l’objet d’une expulsion du territoire.