Google Business, le département de Google qui répertorie votre entreprise sur la carte, se questionne sur votre Wokisme. Pourtant il n’y a qu’environ 2 millions de trans dans le monde.
Les transgenres sont un marché lucratif. Derrière leurs revendications se cache un lobbying financé par de puissants « philanthropes ». Les ONG et universités qu’ils soutiennent influencent l’Union européenne, la Maison-Blanche et alimentent l’industrie médicale. Un pognon de dingue au service d’une des formes du transhumanisme.
Facebook, Google; Twitter, Linkedin et autres Big 10 américaines vous questionnent sur votre permeabilité au mouvement transexuel.
Si certains y voient la main du chaos ou la manifestation de la puissance du lobby LGBT, d’autres y voient la promotion des prémices d’un nouveau genre d’humain « augmenté » ou « modifié » génétiquement.
Les Chinois travaillent activement à la mutation du génome humain. Et pour cause, Aucune norme éthique contraignante ne semble freiner les transhumanistes chinois. Une perspective vertigineuse et effrayante, mais la pression sociale va aller croissant.
Coté americain de nombreuses entreprises cotés au NASDAQ dans le rayon « biotech » proposent déjà des implants high tech capables d’aller détruire un virus niché dans votre corps ou encore alerter l’hopital sur votre état de santé.
Elon Musk récemment, après avoir réussi= à dupliquer (cloner) l’intégralité du corps humain via l’son entreprise Neuralink, vient d’annoncer la possiblité de transférer la mémoire humaine sur une ordinateur.
Cependant le public n’y est pas préparé.
Il est donc fort possible que toute l’agitation autour des transexuels qui ne sont pas plus de 2 millions sur terre des USA à la Thailande, ne sont qu’un prétexte pour imposer un nouveau standard d’auto censure. L’éthique moderne date de l’après 2d guerre mondiale, traumatisée par les expériences nazies sur des humains ouvrant la voie à des lois éthiques et bioéthiques.
Il semble que, pour des raisons de courses à la technologie, nos corps ne seront bientot plus que des outils modifiables, échangeables et commerciables. Nous serions en somme, la dernière génération d’homosapiens sapiens.
Toilettes transgenres? La seule est sur la Station Spatiale Internationale… et, ça ne se bouscule pas pour y aller!