En deux semaines d’intervalle, Emmanuel Macron a changé d’avis sur l’éveil aux questions d’identité sexuelle et de genre au primaire. Un pas de danse pour séduire les LGBT+, sévères sur son bilan?
Opération séduction. À trois jours du second tour de la présidentielle, Emmanuel Macron s’est adressé au journal Têtu mercredi. Ou plus précisément, “a fini par répondre aux sollicitations” de Têtu, écrit le rédacteur en chef Thomas Vampouille laissant penser que jusqu’à maintenant, les questions LGBT+ n’étaient pas la priorité du président en campagne.
Alors qu’une première interview prévue en février a été décalée à cause de la situation en Ukraine, les équipes du candidat ont ensuite mis deux mois à trouver un nouveau créneau, raconte l’article.
Interrogé, entre autre, sur la lutte contre les LGBTphobies, le candidat Macron a répondu – par le biais d’un document écrit et non d’un entretien – que “l’école a un rôle clé à jouer dans la lutte contre les préjugés et les discriminations envers les personnes lesbiennes, gay, bi, trans”. Il a également salué, comme “essentiel”, “le travail des associations LGBT+ et leur intervention en milieu scolaire, mais aussi péri-scolaire”.
Cette réponse a été publiée alors que deux semaines plus tôt, le président sortant avait déclaré sur BrutX qu’il n’était pas favorable à ce que les questions d’identité sexuelle et d’identité de genre soient abordées à l’école primaire et au collège, comme le rappelle Têtu.

Avec Macron, l’Élysée transformé en cage aux folles

La scène Queer invitée par Macron à l’Elysée
Puisque vous êtes là…… on aimerait vous dire un dernier mot. Vous êtes de plus en plus nombreux à lire Europe Israël sur le web, et nous nous en réjouissons. Nous souhaitons qu’une grande partie des articles de notre site soit accessible à tous, gratuitement, mais l’information de qualité a un coût. En n’étant rattaché à aucun groupe industriel, aucun lobby, aucun politique, Europe Israël prouve chaque jour son indépendance éditoriale. Pour nous aider à garder notre liberté de ton et notre exigence journalistique, votre soutien est précieux. En donnant 100 € grâce à la déduction fiscale de 66% votre don ne vous coûte que 33 €. Vous recevrez un reçu CERFA pour tous dons supérieurs à 50 Euros qui vous permettra de déduire 66 % des sommes versées. Nous soutenir |
Têtu
4 000 abonnés (entre 20 000 et 25 000 ventes physiques)
origine du titre : Pierre Bergé (1995)
Lui s’en fiche il n’a pas d’enfant. Il vend ceux des autres.
La polémique n’a pas fini de faire couler de l’encre en Amérique… Les prétentions de Disneyland à faire de l’œil aux moutards quasi dès le berceau font grincer les dents les parents conservateurs.
La France est tomber bien bas, se faire influencer par des tentouses et névrosés ,la risée mondiale à l`Élysée….la honte!
Remarqué, nous aux Canada nous ne sommes pas en reste avec cette autres imbécile de Trudeau.