Ces journalistes « respectueux des valeurs démocratiques », assurent-ils, ont publié dans « Mediapart » une tribune visant à couper le micro à certaines « personnalités publiques ». Ils assument de vouloir les « invisibiliser » ou les « combattre ». Sans jamais le nommer, leur cible n’est autre qu’Éric Zemmour, qui doit jubiler d’avoir poussé ces nouveaux censeurs à sortir du bois.
Cachez ces mauvais Français que nous ne saurions voir ! Dans une tribune publiée sur l’espace blog libre de Mediapart, plus de 160 journalistes, certains sous anonymat, se sont déclarés « pas complices de la haine » et appellent à ne plus traiter de certains sujets ni de débattre avec certains candidats. En ligne de mire : Éric Zemmour. Dans un texte mêlant condescendance et manichéisme, ils expliquent pourquoi, selon eux, les journalistes qui traitent « avec jubilation » des idées d’Éric Zemmour sont « complices de la pire des idéologies ». C’est-à-dire le « fascisme ». Rien que ça.
Près de vingt ans après le 21 avril 2002, il faut croire que ces journalistes n’ont toujours pas compris que le mépris qu’ils portent à certaines thématiques – et donc à certains Français – ne produit aucun effet. Ou plutôt : il produit l’effet exactement inverse à celui espéré. Avoir « invisibilisé », terme à la mode dans un certain milieu militant radical, les thèmes et propositions de l’extrême droite n’a jamais empêché celle-ci de monter dans l’opinion publique. Cette « invisibilisation » participe, en revanche, de la défiance qu’une partie de la population manifeste vis-à-vis des médias, accusés de faire progresser les idées qui leur conviennent le mieux. Cette tribune, signée par les défenseurs de valeurs « humanistes et des identités multiples », l’assume d’ailleurs parfaitement : « Nous, journalistes, sommes très au clair sur nos combats : la haine, l’exclusion, les discriminations tuent. » La haine, c’est mal : sacré programme.
NOUS, JOURNALISTES COMPLICES DE LA HAINE
Selon les signataires de cette tribune, les journalistes qui traitent de l’extrême droite ne peuvent se répartir qu’en deux catégories : la première, composée des journalistes qui demeurent silencieux à cause de « la précarité grandissante du métier » et qui, sous le bâillon, « ne sont pas en accord avec cette pratique du journalisme qui consiste à créer un ou des monstres ». L’autre catégorie est celle qui joue « délibérément un rôle dans la montée du fascisme, du racisme, de l’antisémitisme, des LGBTQIphobies et de la misogynie en France et qu’ils et elles en seront en partie responsables ». Des génies du mal, qui se délectent de créer ce Frankestein d’extrême droite pour booster les audiences. Dans cette dichotomie d’un manichéisme caricatural, on cherche encore la place des journalistes qui travaillent, sincèrement soucieux de comprendre ce qui se passe dans le pays. Qui font leur métier, en somme, sans chercher à pré-sélectionner les candidats valables. Et selon les critères de qui ?
À Marianne, bien sûr, nous avons consacré notre numéro 1283 de la semaine du 15 octobre à ces Français qui s’apprêteraient à voter Zemmour. Nos reporters sont allés les rencontrer, à Versailles, Nice et Dunkerque. Voici donc les visages de la « haine » : « Quand Marine Le Pen ne parle que d’immigration, lui parle de notre pays », lançait Aubry à Vincent Geny, notre journaliste qui s’est rendu à Versailles. « On est à bout, il a fallu que notre fils autiste saute d’un balcon pour qu’on lui trouve enfin un foyer spécialisé », témoignait Anne, une enseignante, auprès d’Emilien Hertement, en reportage à Nice. « Nous, musulmans, on a pas trop la côte ici »,confiait pour sa part Ursula à Anthony Cortes, en déplacement à Dunkerque. La jeune femme, issue d’une famille musulmane, précisait par ailleurs que la candidature du polémiste « intéresse même des personnes de ma famille… Je ne comprends pas. »
Une chose est sûre : si la totalité des journalistes de France décidait de se conduire comme les plus de 150 signataires de la tribune, Ursula n’aurait certainement aucune chance d’y comprendre quoi que ce soit. Mais ces journalistes-là, « respectueux des valeurs démocratiques », précisent-ils, auront toujours pour eux la conscience intacte, la tête haute et les mains propres. Pour les signataires de la tribune, Éric Zemmour n’est rien d’autre qu’un pur produit médiatique, il ne représente rien ni personne et sa fulgurante ascension n’est à mettre sur le compte que des rédactions, des télévisions, qui ont créé le monstre. Fastoche !
NI MÉPRIS, NI COMPLAISANCE
Pour faire court : les Français sont trop cons. Ils allument la télé et votent pour le premier type qui déblatère des idées radicales. Coupez-leur la télé, à ces mauvais citoyens, et ils s’empresseront de voter pour Anne Hidalgo, la légalisation de la GPA ou la régularisation de tous les sans papiers. Bien sûr, on pourrait analyser comment la politique et le spectacle ont peu à peu fusionné ces vingt dernières années, et pas seulement à droite. Mais ce travail nécessaire ne suffirait pas à expliquer les mécanismes de l’ascension d’Éric Zemmour. Natacha Polony rappelait récemment dans nos colonnes ces mots de Philippe Muray, au lendemain du 21 avril 2002, qui voyait dans le vote Le Pen une façon pour le peuple de se saisir d’un gourdin : « Quand on prend un gourdin pour fracasser quelque chose, écrivait-il, cela n’implique pas qu’on soit gourdiniste ; ni qu’on souhaite voir accéder ce gourdin aux plus hautes fonctions. »
Les raisons qui poussent certains Français à s’emparer du gourdin Zemmour n’appellent donc ni mépris, ni complaisance non plus. Elles appellent à un travail journalistique sérieux, rigoureux, un travail de terrain associé à une analyse politique et idéologique de ce qu’incarne cet essayiste. Il y a ce vieil adage dans le métier : il ne s’agit pas d’interviewer celui qui dit qu’il pleut, puis celui-là qui assure qu’il ne pleut pas. Le journalisme, c’est ouvrir la fenêtre et vérifier. On peut déplorer que ces signataires aient décidé de fermer les volets.
L’article dans son intégralité sur Marianne
“Liste des premier‧e‧s signataires”
Julie Chansel
Journaliste
Elsa Gambin
Journaliste pigiste
Laure Dasinieres
Journaliste pigiste
Gaspard Glanz
Journaliste
Martin Clavey
Journaliste pigiste
Lucie Inland
journaliste indépendante
Sophie Chapelle
Journaliste
Chantal Baoutelman
Journaliste indépendante
Rémy COUGNENC
Journaliste (La Marseillaise)
Lucie Weeger
Journaliste-photographe
Mariama Keïta
Chargée de veille documentaire
Chrystel Jaubert
Journaliste free lance
Fred Lebreton
Journaliste santé spécialisé dans le VIH
Jorge Simão
Journaliste et secrétaire de rédaction
Cléo Schweyer
Journaliste pigiste, médiatrice et chercheure
Daphné Deschamps
Journaliste indépendante
Sevan Hosebian-Vartanian
Journaliste indépendant·e
Léo Lefrançois
Journaliste
Arthur Brondy
Journaliste pigiste
Grégory Guittard
Journaliste
Maëlle Le Corre
Journaliste
Zoé Favre d’Anne
journaliste
Marine Forestier
Journaliste
Anonyme
Journaliste en poste dans une rédaction nationale
Hélène Molinari
Journaliste pigiste
Alexis Kraland
journaliste indépendant
Elin Casse
Journaliste
Chang Martin
Photojournaliste
Fabrice Hodecent
Journaliste indépendant
Gaëlle Cloarec
Journaliste
Nicolas Kayser-Bril
journaliste et auteur
Justine Saint-Sevin
Journaliste pigiste
Chloé Thibaud
Journaliste
Cassiopée Letourneur
Journaliste pigiste
Katia Vilarasau
Journaliste
Elie Guckert
Journaliste indépendant
Marie A.
Journaliste indépendante
Clément Barraud
Journaliste
Patrice NICE
Journaliste
Anne Laure Pineau
journaliste
Journaliste en poste à Télérama
Journaliste en poste à Télérama
Thibaut Cojean
Journaliste
Juliette Robert
Photojournaliste
Adrien Beaujean
Journaliste
Magali Lesauvage
Journaliste
Erwin Canard
Journaliste
Lise Famelart
Journaliste indépendante
Louis Witter
Photojournaliste
Artoise Bastelica
Journaliste
Val LEROY
Pigiste
Jennifer Simoes
Journaliste
Emmanuel Guillemain d’Echon
Journaliste
Anne-Marie Kraus
Journaliste pigiste
Roxane Hilyer
journaliste indépendante
Matthieu Jouan
Directeur des publications : Citizen Jazz & Epistrophy
anonyme
Journaliste pigiste
Alan Bernigaud
Journaliste à La Marseillaise
Pierre Romera
Journaliste
Maya Elboudrari
Journaliste indépendante
Marine Leprince
Journaliste freelance
Laurène Levy
Journaliste indépendante
Maëlle Benisty
Journaliste pigiste
Christian Lehmann
Pigiste
Paul Ricaud
Journaliste
François Jarraud
journaliste
Anonyme (merci)
Journaliste pigiste
Julien Hennequin
Journaliste
Françoise Verna
Journaliste
Vincent Brunner
Journaliste-auteur
Floréane Marinier
Journaliste
Noémie Gmür
Autrice et réalisatrice
Julie Hainaut
Journaliste
Anaïs Bouitcha
Journaliste
Moran Kerinec
Journaliste pigiste
Anna Marmiesse
Journaliste
Édouard Dropsy
Journaliste indépendant (Egypte)
Océane Segura
Journaliste
Jean Berthelot de la Glétais
Journaliste, fondateur de Podcastine
Paloma Vallecillo
Journaliste pigiste
Romain Jeanticou
Grand reporter à Télérama
Guy Pichard
Journaliste
Romain Haillard
Journaliste
Émilie Laystary
Journaliste société
Isabelle Kersimon
Journaliste
Dimitri L’hours
Journaliste
A.V.
Journaliste
Éloïse BAJOU
Journaliste
Carina Louart
Journaliste, autrice
Antoine Jézéquel
Journaliste pigiste
Léa Jacquet
journaliste
Baptiste Marsal
Journaliste en poste
Yves Deloison
Journaliste
Dominique Hutin
Journaliste
Prigent Anne
Journaliste pigiste
Marjolaine Koch
Journaliste
Ali Hammami
Producteur de contenus audiovisuels
Charles Roncier
Rédacteur en chef adjoint
Prisca Borrel
Journaliste
Martin Roux
Journaliste
Nicolas JAILLARD
Journaliste, réalisateur
Benjamin Robert
journaliste
Martin Bodrero
Journaliste pour Radio Parleur
Antoine Chirat
Journaliste
Déborah Liss
Journaliste
Christophe-Cécil Garnier
Journaliste StreetPress
Béatrice Kammerer
Journaliste
Mathieu Molard
Rédacteur en chef de StreetPress.com
Jeanne Kerkh
Journaliste en poste
Cassandre Amouroux
Journaliste
Anonyme
Journaliste en poste
Youna
Journaliste
Samuel Zralos
Journaliste
Timothée de Rauglaudre
Journaliste pigiste, membre du collectif Extra Muros
Elodie Vallerey
Journaliste
Alexandra Milhat
Journaliste
Arnaud Tomasini
Journaliste freelance
Brice Ivanovic
Journaliste
Mathilde Doiezie
Journaliste
Marion Ghibaudo
Journaliste
Ahou
Média Gilet Jaune
Juliette
Journaliste
Joseph Pelé
journaliste
Florence Traullé
Journaliste
Effy tselikas Journaliste
Magali Maricot Photographe
Philippe Borrel Auteur et réalisateur de films documentaires, journaliste (JRI) indépendant
Florian BOUHIER Journaliste
Julien ano JRI pour une chaîne d’info
David Bobin Journaliste indépendant
Christophe Ménager Journaliste reporter d’image
François Rauzy Journaliste
Philippe HUTET Journaliste ( a la retraite )
Jean-Claude Vignoli Journaliste indépendant
Philippe POITOU Correspondant local de presse
Isabelle Bourboulon Journaliste indépendante
Nicolas Martin Producteur
Toufik-de-Planoise Journaliste indépendant
François Bernheim blog critique et poétique Mardi ça fait désordre – Club médiapart
Mačko Dràgàn Journaiste punk à chat
Philippe BERTHET Journaliste indépendant
Philippe Chopard Journaliste (Suisse)
Maxime Leonard Photographe auteur
Sébastien Boisgard Réalisateur documentaire
Paul Gratian Journaliste Ouest France
Chloé Ripert Journaliste
Ronan Maël Journaliste
Pierre Ropert Journaliste
Koupaïa Rault Pigiste
Alexandra Renard Journaliste – Grand reporter
Simon Pouyet Photographe
Hanane SAIDANI Journaliste
Adeline Brault Journaliste
Jonathan Konitz Journaliste pigiste
Rémi Boyer Auteur-chroniqueur
Sarah Lapied Journaliste pigiste
Guillaume Deleurence Journaliste
Julie Caron Journaliste société
Benjamin Grinda Journaliste rédacteur
Jean-Christophe Féraud Journaliste
Cerise Sudry-Le Dû Journaliste indépendante
Jef Mathiot Journaliste
Nicolas Mayart Journaliste (LeMédia TV)
Kilian Kueny Journaliste
Lucy Embark Journaliste
Camille Grange Journaliste pigiste
azouaoui hamza Pigiste
Sandra Moisson journaliste
Corentin Béchade Journaliste
Géraud Bouvrot Journaliste
Magalie Lacombe Journaliste
Alan Smithee (merci) Journaliste, secrétaire de rédaction
Vincent Lanier Journaliste
Florian Thomas Journaliste
Michel Ducrot Journaliste repenti
Alain Nordet Journaliste retraité solidaire
Mireille Pena Journaliste
Jean-christophe Piot Journaliste
Stephanie quimbre Radio Pikez
Justine Rodier Journaliste indépendante
Hervé Bossy Journaliste
Guillaume Liberge Photographe
Eleonore Ple Journaliste, Specto Média
Jérémy Felkowski Journaliste
Clémence Leleu Journaliste
Lisa Noyal Journaliste
Laure Verneau Journaliste
Margaux Dzuilka Journaliste
Magdalena Journaliste enquêtrice
Lucas Pommier Journaliste
Zoé Lastennet Journaliste
Olivier Chartrain Journaliste
Guillaume Gomis Ex-journaliste
Anaiz Aguirre-Olhagaray Journaliste à Mediabask
Camille Upsala Journaliste
Camille Irigoïti Journaliste
Empêcher EZ et la vraie droite de s’exprimer c’est de la démocratie? fermer les micros c’est la démocratie? remettre le pays aux mus dont le peuple ne veut PAS c’est de la démocratie? non c’est du totalitarisme, c’est ça la gauche. Une minorité de crétins de gauche veut imposer sa loi à la majorité quitte à faire disparaitre la France que probablement ils souhaitent même espérant la noyer dans un multiculturalisme ne représentant rien ni personne et surtout pas la démocratie dont ils nous rabattent les oreilles sans en connaitre la signification qu’ils veulent occulter!
Les journalistes qui ont le pouvoir inouï et malfaisant de se faire entendre sont des fascistes, des gauchistes qui ont le plus grand mépris pour les Français d’accord avec les idées de la France que défend Zemmour. Cela s’appelle une dictature, tout l’inverse de la liberté qu’ils prétendent défendre alors qu’il ne savent que menti, salir et ramper pour avoir un scoop. Ces idiots n’ont toujours pas compris que plus ils salissent Éric Zemmour et veulent le faire taire plus tout le monde parle de lui. Pas un jour ne se passe sans que ces crétins parlent de lui. Qu’ils continuent, en attendant Éric Zemmour monte dans les sondages et la conscience populaire, c’est très bien ainsi. Les journalistes comme les juges ont bien trop de pouvoirs dans ce pays et on voit ce qu’ils en font. Cela doit changer.
Qui connait ces journalistes? Que des gratte-papier en recherche de certificat de bonne citoyenneté. Ils sont schizophrènes. Ils veulent rendre des Français invisibles alors qu’en même temps ils font tout pour rendre d’autres personnes, françaises ou pas ou seulement sur les papiers, de plus en plus visibles alors qu’on aimerait qu’elles ne le soient pas.
Ces journaleux sont des menteurs congénitaux, ils n’ont rien de démocratiques ni par leur incapacité de laisser ceux qui ne sont pas de leur bord s’exprimer ni sur les sujet qu’ils traitent de manière purement DOGMATIQUE sans tenir compte de la réalité, de la justice, de la vérité ni surtout de l’impartialité, se sont de CLOWNS impudents, stupides,suicidaires et totalitaires. EZ PRESIDENT.
Si ces journaleux à la cervelle paléo-encéphalene comprenant rien à rien veulent parodier Sartre qui écrivait en 1946 que le nationalisme c’est la guerre , celui-ci se tromper : ce n’est pas le nationalisme qui est la guerre mais le socialisme, hitler à qui il se référait étant les 2 à la fois. De toutes manières le nationalisme actuel est patriotique il ne cherche pas à conquérir des territoires ce sont les mus qui veulent conquérir des territoires et contre qui il faut se battre et non se soumettre comme le fait macron.
Les journaleux à la cervelle paléo-encéphalien sont un danger plus grand encore que les politicards de gauche pour qui ils roulent! Il faudrait que enfin totalement discrédités, ils disparaissent du paysage politique. S’ils veulent se rendre utiles qu’ils balayent les rues pour remplacer les maghrébins expulsés.
NON NON NON: ces journaleux ne sont PAS des démocrates mais le contraire et ceux qui proclament que EZ a été condamné 1 fois sur 13 fausses plaintes pour l’empêcher de se présenter sont des menteurs en prétendant que…c’est la loi : NON CE N EST PAS LA LOI QUE D ETRE CONDAMNE POUR AVOIR DIT LA VERITE PAR DES JUGES MILITANTS DE GAUCHE mais de la discrimination, de l’abus de pouvoir, des sornettes tout mais PAS la loi.
Si macron se fait réélire par de tels mensonges, il faudra l’en faire sortir avec des fourches et des kalach.
Si hitler prétendait se représenter aux élections en fermant le bec de l’opposition par ce type de méthodes en condamnant les patriotes ces 150 salopards seraient de grands partisans de hitler. Quant aux prétendus « antifascistes » violents,ils ne sont pas plus contre le fascisme que contre l’air du temps, ce sont des anarchistes de gauche qui veulent terroriser leurs opposants.
Churchill, Roosvelt, Truman étaient des antifascistes qui s’opposaient aux fascistes hitler, mussolini et hiro hito mais les faux antifas actuels qui s’opposent aux démocrates ne sont PAS des antifascistes mais les héritiers des fascistes.
Les juges de la gauche militante qui condamnent à tort et à travers ne peuvent agir ainsi que parce que PRSONNE NE LES JUGE EUX ET IL FAUDRAIT UN ORGANISME DE JUGES DES JUGES (autre que le parquet qui ne le fait pas par corporatisme) comme ily a une police des polices. Ces juges militants de gauche sont véreux et une vraieMAFIA.
Les antifas actuels sont des IMPOSTEURS COMME LES FALESTINIENS qui utilisent des mots honorables pour les DEVOYER A LEUR PROFIT: un arabe irrédentiste devient un « palestinien » un anarchiste de gauche devient un antifa, un assassin un justicier etc. CXE SONT DES MOTS QUI ONT PERDU LEUR VRAI SENS POUR EN PRENDRE UN FAUX.