L’enjeu sécuritaire lié à la montée en puissance des insurgés islamiques n’a pas été la priorité de Biden et son équipe.
La situation est critique en Afghanistan. Alors que les talibans se sont emparés du pouvoir dimanche 15 août, de nombreux civils tentent de fuir le pays. Les insurgés ont conquis les capitales provinciales petit à petit, sans que leur avancée ne puisse être stoppée, et imposent désormais leur idéologique islamiste radicale. Cette menace de reconquête des territoires planait depuis des mois et pourtant, les préoccupations de l’administration Biden et du Pentagone semblaient bien loin de ce problème.
La race blanche et le climat
Le 23 juin dernier, le Washington Post rapportait les interrogations de Mark A.Milley, le général de l’armée sur la théorie de la race. « Je veux comprendre la rage blanche. Et je suis blanc », expliquait-il en faisant référence à l’attaque du Capitole du 6 janvier. Le militaire avait aussi réprimandé les législateurs sur la question et s’était lancé dans un argumentaire sociétal.
De son côté, Fox News rapportait en janvier dernier que la priorité du Pentagone serait dédiée au changement climatique en tant que menace pour la sécurité nationale. Le président américain Joe Biden avait au préalable annoncé sa volonté de réduire les émissions de pétrole et de gaz en utilisant de manière plus importante les énergies renouvelables. Des priorités sociétales et environnementales qui ont pris le pas sur le projet de reconquête de l’Afghanistan par les talibans. Pendant ce temps, les combattants islamistes ont progressé, et leur rêve de pouvoir est aujourd’hui est une réalité.
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L’afghanistan était perdu de toutes manières puisque le peuple afghan et ses dirigeants n’ont pas voulu se battre. Partout ils abandonnaient les villes et ne pensaient qu’à sauver leur peau, on ne peut rien faire pour des gens pareils, 20 ans à les défendre c’est plus qu’assez, ils ne méritaient pas autant. Quant aux généraux qui font de la politique il n’y a qu’à penser à ce c. de rabin qui a failli donner Israel aux arabes…
Des bobards…
En revanche :
Américains et talibans, ont signé, samedi 29 février 2020, à Doha (Qatar), un accord concernant le retrait des troupes étrangères en Afghanistan.
Et que disait le Président en fuite à la mi-mai 21 ?
« Aucune puissance au monde ne pourrait me persuader de monter maintenant dans un avion et de quitter ce pays. C’est un pays que j’aime et je mourrai en le défendant. ».
On a vu.
Sources :
1. https://www.lemonde.fr/international/article/2020/02/29/afghanistan-l-accord-historique-de-doha-ouvre-un-nouveau-chapitre-a-l-issue-incertaine_6031374_3210.html
2. https://www.spiegel.de/international/world/interview-with-afghanistan-president-ashraf-ghani-i-know-i-am-only-one-bullet-away-from-death-a-82dc3dd6-3c27-4f93-97c9-d6cddf0cd117
Faire comme si un problème n’existait pas ne le dissout pas dans l’oubli ; ça lui donne le champs libre : c’est pourtant la façon de faire de toutes les gauches planétaires.
Ceux qui affectionnent les chèvres et les brebis halals vont bien s’amuser avec les autruches occidentales!