Il s’est réjoui de voir Twitter bannir définitivement Donald Trump. Selon lui, les réseaux sociaux doivent redéfinir le cadre de la liberté d’expression dans un univers de plus en plus globalisé.
La radio publique France inter s’est une nouvelle fois fait remarquer pour son amour de la censure. Après Sonia Devillers qui avait demandé à ce que le temps de parole des chroniqueurs de droite soit compté, c’est l’éditorialiste Thomas Legrand qui s’est félicité du bannissement définitif de Donald Trump de Twitter. Le journaliste a déclaré « se réjouir que Twitter bannisse Trump ». Si le président américain avait été critiqué de toute part pour son appel à une manifestation « sauvage » près du Congrès américain, d’autres ont trouvé la décision du réseau social lourde et dangereuse pour la démocratie.
« Nos grandes législations sur les libertés d’expression sont rendues inopérantes dans un environnement médiatique global »
Chez France inter, au contraire, la censure de Twitter est vue comme légitime et même un motif de réjouissance. Dans son édito politique, le journaliste Thomas Legrand estime que dans « un environnement médiatique global », nos lois régissant le cadre de la liberté d’expression deviennent « inopérantes ». Des propos qui rappellent ceux de l’activiste de gauche Geoffroy de Lagasnerie, sur la même radio, qui avait déclaré qu’il « faudrait réfléchir à gauche à notre tendance à quitter les institutions lorsque nous sommes en désaccord avec elles ». Sauf que dans un Etat de droit, les règles sont les mêmes pour tous, de gauche comme de droite. Or, donner la possibilité à une entreprise privée de définir qui a la liberté d’expression et qui ne l’a pas, relève de la tyrannie.
Les réseaux sociaux responsables du contenu des abonnés
Plus loin dans son édito, Thomas Legrand estime que Twitter n’est pas qu’une plate-forme où tout le monde pourrait s’exprimer, mais un « éditeur » qui serait responsable du contenu de ses abonnés. Un non-sens juridique en quelque sorte. Pour l’éditorialiste de gauche, les réseaux sociaux devraient censurer dès qu’un post serait contraire à leur ligne, comme un organe de presse. Thomas Legrand finit son article en se montrant élogieux envers Twitter qui, par « sa mesure d’interdiction arbitraire », a montré « qu’une instance non-démocratique pouvait être une bonne chose pour la démocratie ».
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Une bonne chose pour la démocratie que des forces non élues fassent la loi et dominent les USA par leur argent et les médias en écrasant la liberté de parole d’un président élu?
hitler, mussolini et staline étaient tous plus ou moins socialistes. La gauche est complètement dégénérée. En France, elle est plus raciste et antisémite que le RN.
Leqs gauchistes lmentent comme ils resprent et inversent tout: la suppression du droit à la libre expression n’est pas la démocratie mais le stalniisme.