L’ancien commandant des Forces de défense israélienne fait une évaluation sévère des soldats des de Tsahal.
L’ancien chef du Département de l’instruction au combat de Tsahal, Benny Amidror, a déclaré que les terroristes du Hamas et du Hezbollah sont des combattants de «meilleure qualité» que les soldats israéliens, dans une interview accordée à la radio israélienne mardi.
Décrivant l’armée israélienne comme une «armée d’amateurs», Amidror a déclaré au 103 FM israélien que la formation individuelle des unités terroristes est meilleure que celle des unités d’élite de l’armée israélienne parce qu’elles «servent plus longtemps que nos soldats dans le service obligatoire et pratiquent le combat plus que les soldats de Tsahal. «
Il a également déclaré que les terroristes avaient un nouvel «esprit combatif» qui n’existait pas auparavant.
Selon Amidror, les terroristes ont un autre avantage: «Leur objectif est beaucoup plus simple. Ils sont positionés près de chez eux. Tout ce qu’ils doivent faire, c’est entrer dans un tunnel et ressortir chez nous. »
Les soldats des FDI, d’autre part, s’entraînent pour un éventail de situations, dit-il.
«Le résultat final, si vous regardez les résultats, est que Tsahal n’ose pas franchir la frontière avec Gaza.»
Amidror, cependant, a fait l’éloge de la police des frontières israélienne, qui, selon lui, a «une haute estime de soi et est prête à se mettre en danger plus que les soldats des FDI».
« La police des frontières peut faire mieux que l’armée », a-t-il déclaré.
Les commentaires d’Amidror sont identiques à ceux qu’il a faits fin janvier et ont été longuement cités dans le quotidien israélien Maariv .
Amidror est l’auteur de nombreux livres sur la doctrine militaire. Maariv note qu ‘ »En 1989, Ariel Sharon a donné à Amidror son livre autobiographique Warrior et a écrit une dédicace: » À Benjamin Amidror, le major qui forme les généraux, avec toute mon amitié. «
Amidror est le frère du major-général (retraité) Yaakov Amidror, l’ancien conseiller à la sécurité nationale d’Israël. Son fils a été commandant de la brigade de parachutistes pendant la seconde guerre du Liban.
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Alors, il faut contrôler l’autre bout des tunnels, mieux gérer la communication, utiliser le soft power au lieu d’utiliser les armes. Il faut apprendre à combattre comme le faible contre le puisant, à la vietnamienne.