Le Jockey-Club avait été décrit comme interdit aux femmes dans un reportage télévisé. Pour « rétablir l’honneur » du patron, l’humoriste avait investi et fait sa pub. Avant de quitter l’affaire en catimini.
Un buzz et puis s’en va. Yassine Belattar, humoriste impliqué sur les questions de banlieue, proche d’Emmanuel Macron, n’est plus actionnaire du Jockey-Club. L’homme a quitté le deal financier qui le liait à ce café de Sevran, lequel avait fait la Une de l’actualité, suspecté d’être anti-femmes et noyauté par des islamistes, carrément cité en exemple lors des débats télévisés de l’entre-deux tours de la présidentielle… alors qu’il n’en est rien.
En décembre 2016, ce bar-PMU avait été présenté dans un reportage de France-Télévisions comme un établissement interdit aux femmes, exemple supposé de la radicalisation des banlieues. Sauf que plusieurs contre-enquêtes, notamment celle du Bondy Blog, avaient montré que l’établissement était en réalité un bar comme il en existe tant en banlieue.
Un an et demi après le reportage, pour « rétablir l’honneur » d’Amar Salhi, le propriétaire, Yassine Belattar avait pris contact avec lui et racheté — expliquait-il alors — 36 % des parts. Et promis d’en faire « un lieu de fête », d’utiliser sa notoriété pour le « mettre en lumière ».
Aucun spectacle joué dans le bar
Le scénario était bien ficelé. « On essaye de monter un projet équitable : chacun est le bienvenu avec ses compétences, pour faire quelque chose sur ce bar : architecte, artisan BTP, artiste », développait Yassine Belattar, l e soir de l’inauguration en grande pompe. De quoi faire rêver Amar Salhi, qui espérait aussi « faire venir quelques connaissances de Yassine pour offrir de petits spectacles d’humour », envisageant même de « créer un espace de restauration au fond de la salle, calme et cossu ».
Las : début 2019, Yassine Belattar a donc quitté, tout en discrétion mais à l’amiable, le deal financier qui le rattachait au Jockey-Club. Entre-temps, aucune des annonces faîtes lors de la médiatique inauguration n’a vu le jour : aucun spectacle n’a été joué dans le bar, et l’espace restauration n’a pas été concrétisé. « Ça a fait pschitt », résume un proche d’Amar Salhi, lequel refuse de commenter officiellement l’information, mais la confirme.
« Ça m’a coûté de l’argent »
Pour autant, Yassine Belattar refuse qu’on le voie comme un opportuniste dans cette histoire. « Je n’ai pas profité d’un buzz : cela m’a coûté de l’argent, un chèque a été encaissé », se défend l’humoriste, qui assure par ailleurs être resté en contact avec Amar Salhi, qu’il aurait même carrément « tous les quinze jours au téléphone ».
Mais il le reconnaît : faire « buzzer » positivement autour du Jockey-Club est compliqué.
« L’endroit où il est installé, à Sevran, n’est pas facile pour faire des trucs, estime-t-il. Il ne s’inscrit pas dans la politique culturelle de la ville, et je ne vais pas créer une contre Maison des jeunes et de la culture (MJC) ! »
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On s’en fiche de ce bonhomme qu’il retombe dans l’oubli , on s’en moquer de ses business …. Bon débarras .
Non, on ne se fiche pas de ce Yassine beaubatard. Au contraire!
Ce gras du bide halal a montré son vrai visage de musulman respectueux du coran. Proche du clan Macron, il avance de moins en moins masqué. Il DJIHADISE à sa manière, PREMIÈRE ÈTAPE, pour l’installation d’une charia à la française. et non pour l’escroquerie manifeste d’un islam de FrOnce.
C’est un ennemi de la démocratie, de la laïcité, de la République.
A quel moment comprendrons-nous qu’il faudra d’abord vider « l’eau du bocal » pour faire crever les crevures ( connues, identifiées) qui veulent en finir avec nos valeurs.?
Un de plus visible dans l’entourage de Manu, c’est sans compter sur tous ceux que l’on ne connais pas. L’islamisation de la France est en cours à une rapidité qu’on ne peux imaginer.