Le bébé, polytraumatisé, a été transporté en urgence absolue à l’hôpital. Une jeune fille de 17 ans a eu les membres inférieurs fracturés.
Un supporter de l’Algérie qui a perdu le contrôle de son véhicule a fauché une famille jeudi soir à Montpellier, tuant la mère et blessant gravement sa fille et son bébé, a appris l’AFP auprès d’une source proche du dossier.
Le supporter de 21 ans roulait «à vive allure» dans le quartier de la Mosson, selon la même source. Il a été placé en garde à vue. La mère de famille circulait à pied avec son bébé d’un an et sa fille de 17 ans. Le bébé, polytraumatisé, a été transporté en urgence absolue à l’hôpital, a ajouté une porte-parole de la sûreté départementale (DDSP) de l’Hérault. Sa fille a été blessé légèrement à la cheville, a indiqué la même source.
«A l’heure actuelle nous essayons de déterminer les circonstances du drame», a ajouté la DDSP, indiquant qu’il y avait «beaucoup de monde dans les rues» jeudi soir après la victoire de l’Algérie en quarts de finale de la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN).
Belle merdes d assassins
Je ne comprends pas ?
Ils sont Français ou Algériens ?
S’ils aiment tant l’Algérie ils n’ont qu’à’ y retourner.
Un exemple tragique du vivre ensemble avec des personnes qui ont un interprétation très personnelle des lois et du respect des autres , la vie en communauté c’est d’abord leur communauté ! Les autres doivent s’adapter ! Un peu assez de tout cela
Il va falloir sortir les fusils.
Le vivre ensemble : Une belle fumisterie avec des sauvages.
Malheureusement pour nous c’est toujours les petites gens qui paient l’addition.
Ceux qui ont décidé l’invasion de la France ne risquent rien dans leur tour d’ivoire. Ce n’est que le débute.
début — évidement .
L’article du Parisien revisite les circonstances de cet accident sans rapport avec la fiesta des supporters de footeux algériens.
Titre : Famille fauchée à Montpellier : le conducteur «ni supporter ni Algérien».
L’effet « mouton de Panurge » a, une fois de plus, frappé bon nombre de canaux médiatiques trop pressés de relayer une rumeur. Du journalisme à la Saint-Potin ! Autant relire Maupassant.
C’est sûrement un banal « incident » tout comme l’incendie des notre dame est un « accident »