Une ex-présidente de l’UNEF Limoges jusqu’en 2018 est au coeur d’une vive polémique à la suite de tweets sur l’incendie de Notre-Dame de Paris.
« Ok c’est dommage que ça crame mais faut se détendre quand même hein tout le monde va s’en remettre elle est pas dead non plus encore ». Face à l’incendie de Notre-Dame de Paris, il ne faisait pas bon chercher à relativiser le désastre. C’est l’amère expérience faite par une étudiante de Limoges, ex-présidente du syndicat étudiant UNEF.
Avec ce tweet, dès lundi soir, la jeune femme, connue comme une des participantes au blocage de la fac de lettres et sciences humaines, l’année dernière, s’est attirée les foudres des internautes.
Elle se situait alors dans la lignée d’autres étudiants membres du syndicat, qui avaient moqué l’émotion entourant la destruction d’une partie de la cathédrale parisienne. « Je m’en fiche de Notre-Dame-de-Paris car je m’en fiche de l’histoire de France », a ainsi tweeté une vice-présidente lilloise de l’organisation. […]
Propos polémiques à l'#UNEF : "Ils sont cohérents dans leur aberration. Avec Avocats sans frontières nous avons décidé, avec la même cohérence, de porter plainte !" @GWGoldnadel #NotreDame #GGRMC pic.twitter.com/AbBCiftLs7
— Les Grandes Gueules (@GG_RMC) April 17, 2019
Communiqué de l’AGRIF :
L’AGRIF a chargé ce jour ses avocats d’entamer la procédure qui s’impose contre la déclaration de la dénommée Hafsa du bureau national de l’UNEF.
Cette dernière a en effet publié la déclaration pousse-au-crime et raciste que voici : « « Les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vous aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs. »
Par ailleurs l’AGRIF saisit le Parquet pour que celui-ci engage l’enquête qui s’impose à l’évidence contre les auteurs de la provocation au crime taguée sur de nombreux murs ou relayés par internet : « la seule église qui illumine est celle qui brûle ».
L'Agrif engage des poursuites contre Hafsa de l'UNEF pour avoir publié :
« Les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vous aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs. »https://t.co/CkilOFhafR pic.twitter.com/Yrsv7aUmSm— AGRIF (@Agrif_) April 17, 2019
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Ce sont des « étudiantes » et elles s’expriment dans un français très « relâché », pour rester poli…L’orthographe et la grammaire sont approximatives et l’ensemble est plutôt grossier. Le niveau s’est vraiment effondré, c’est consternant.
Un produit de la société de marché démocratique : quand tout tombe tout cuit dans le bec, à quoi bon se fatiguer à exercer ses neurones.
A travers ce genre de présidente, l’UNEF se donne pour ce qu’il est : un syndicalisme de poil dans la main. Il paraît qu’elle a fait rire tout le campus avec son atelier clito en pâte à sel en décembre 2017… Un produit phare de la maternelle indigéniste, intersectionnelle, racisée…
La « poufiasserie » à l’Université…. une grande réussite de la gauche post-soixante-huitarde.
L’Unef serait « la pouponnière du Parti socialiste ». Sous le précédent quinquennat, les subventions ministérielles sont montées à plus de 600 000 euros.
Un coup d’œil rapide sur leurs projets 2019-2021, fait voir jusqu’où va l’infantilisation de leurs revendications : afin de lutter, comme on peut le supposer dans le contexte d’énonciation, contre les discriminations liées à la condition féminine, l’UNEF milite pour « la mise à disposition de protections hygiéniques au sein des locaux des CROUS » (sic !).
Chapitre XII, p. 25, d’une plaquette en PDF « Bilan 2017-2019 Projet
2019-2021 »
Qu’on en arrive dans ce pays, qui fut jadis grand, à lire pareilles inepties sur un document émanant du syndicalisme péri-universitaire, en dit long sur la menace de dégénérescence mentale que fait planer l’égalitarisme forcené.
Franchement, c’est l’UNEF qui fait pitié.
C’est le bal des pouffiasses au gala des atrophiées de la vulve, je voulais dire du bulbe. Peut-être bien des deux en fait.
Les étudiants haineux de L’UNEF sont des collectionneurs de bruits de chiottes, des parasites misérables, des réactionnaires antisémite, des réactionnaires du genre
´Black Blocs’. Cette catégorie de gens, sales sur eux et dans leurs têtes sont les dignes descendants de Gracchus Babeuf et autre Robespierre, les révolutionnaires de la terreur. Ce syndicat devrait être dissous.