« Je considère avec Matteo Salvini, qu’il faut arrêter l’immigration ». Cette phrase est signée Marine Le Pen. Invitée lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI dimanche 14 avril, la présidente du Rassemblement national a déclaré : « Les migrants, c’est comme les éoliennes. Tout le monde est d’accord pour qu’il y en ait, mais personne ne veut que ce soit à coté de chez lui ».
La députée du Pas-de-Calais a rappelé être « parfaitement opposée (…) à la relocalisation forcée des migrants dans des pays qui ne souhaitent pas les accueillir. Nous devons maîtriser nos frontières nationales« .
Marine Le Pen a pris l’exemple de la politique migratoire appliquée par Matteo Salvini en Italie. « Depuis qu’il n’accepte plus le nombre de migrants en Italie, le nombre de débarquements a chuté de manière spectaculaire (…) Il a réussi à obtenir quelque chose qui devrait réjouir tous les humanistes : la baisse du nombre de morts en Méditerranée au large de l’Italie ».
Et d’ajouter : « Ça c’est la politique qu’il faut mettre en oeuvre. Il faut que (…) les migrants soient sécurisés et ramenés dans leur pays et non pas sur les rives de l’Europe ».
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Marine a dit encore, une vérité qui dérange.
Souvenez vous dans un sketch Raymond DEVOS disait qu’il roulait sur une route et qu’il y avait trop de pauvres dans la misère qui longeaient son chemin, qu’il fallait faire quelque chose. Le mois suivant quand il est repassé, ils avait fait quelque chose, ils avaient construit un mur.—
Un grande part de vérité y est dite. Pour éviter le mur, éviter la misère des autres, le mieux serait que la France s’occupe déjà de sa propre misère et les vaches seraient bien gardées.
IL serait temps que la « lourdingue et particulièrement gravosse » cède sa place à sa nièce.