Insécurité, saleté, trafics en tout genre, disparition de la mixité femmes-hommes, toxicomanie, rixes, prostitution… Dans le 18ème arrondissement et le nord du 10ème, les maux sont devenus endémiques.
″Être parisienne c’est un job supplémentaire à temps plein !” s’exclame une habitante des quartiers Nord-Est de Paris après avoir égrené le nombre de réunions mensuelles -jusqu’à 5 ou 6- auxquelles elle et d’autres participent, avec l’espoir de “faire avancer les choses” dans ce secteur de la capitale où la situation exige un véritable sursaut de la part des pouvoirs publics. Les responsables de la Ville comme de l’Etat ne peuvent ignorer à quel point les nuisances et les précarités de différents ordres s’y trouvent concentrées depuis plusieurs années déjà. Onze associations citoyennes du 18ème arrondissement et du Nord du 10ème, organisées en réseau (Réseau 10-18) pour des actions communes, le leur ont rappelé récemment dans une lettre ouverte.
Si chaque quartier concerné a des spécificités, tous ont en commun de souffrir de maux devenus endémiques et dont la liste est longue comme une nuit sans fin.
(…) à La Chapelle où des groupes communautaires rivaux se disputent l’occupation des trottoirs parfois à coups de couteau et barres de fer, la vie est devenue “un véritable enfer” pour les riverains. S’y frayer un passage au milieu d’attroupements composés uniquement d’hommes représente pour une femme une épreuve quotidienne : l’engagement des politiques, venus dans le quartier, en 2017, afficher leur soutien aux femmes et dire leur indignation lorsque ce sujet faisait la Une des journaux, n’aura été qu’un feu de paille. Quant à la station de métro du même nom, essayer d’y entrer ou d’en sortir sans être agressé relève de l’exploit. Et ce n’est pas par hasard que celles et ceux qui sont obligés d’emprunter le souterrain qui mène à la Gare du Nord l’ont baptisé “passage de l’angoisse” ou “couloir de la mort”. Sans parler de la fameuse “colline du crack” et des campements où s’entassent des migrants dans des conditions indignes, un peu plus loin au Nord.
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Mais DOUKELLE sort cette bourrique BOBO, quand on est gaucho on tend bien le micro à des KONKONs . Peut-être qu’elle n’est pas attentable comme disaient les Vamps. — Pour vous donner une idée du reflet de la France à l’étranger—
— Juste pour rire un peu —
— L’histoire se passe sur la plage à Miami USA, un dragueur s’adresse à trois filles sur le sable. Moi c’est Kévin et vous. Moi c’est Zora dit la première, moi c’est Rachida dit la deuxième et moi c’est Zoubida dit la troisième et l’américain de dire : Ah! comme ça vous êtes Françaises.
L heritage de napoleon apportant la liberte a Europe