56 ans après le Traité de l’Elysée, les dirigeants actuels français et allemand se sont réunis à Aix-la-Chapelle pour signer un traité censé consolider l’axe franco-allemand. L’occasion pour Emmanuel Macron de s’adonner à un certain lyrisme.
«Nous devons chérir [la] part d’indicible et d’irrationnel qui ne sera dans aucun de nos traités» : contrairement aux apparences, non, Emmanuel Macron ne cherche pas à minimiser l’importance du traité d’Aix-la-Chapelle. Bien au contraire, ce sont les mots de conclusion qu’il a choisis, après avoir défendu, lors d’une intervention retransmise en direct, le texte qu’il était venu signer ce 22 janvier, conjointement avec Angela Merkel.
« La part que je ne comprends pas en allemand a un charme romantique que parfois, le français ne m’apporte plus. »
Pendant son discours, Emmanuel Macron n’a pas manqué d’opter pour un certain lyrisme alors qu’il exprimait sa vision de l’amitié franco-allemande. «La part que je ne comprends pas en allemand a un charme romantique que parfois, le français ne m’apporte plus», a-t-il déclaré, devant un auditoire pour le moins enthousiaste, après avoir cité Germaine de Staël, romancière du XIXe siècle, entre autres connue pour avoir popularisé en France des œuvres d’auteurs allemands.
« Un projet nouveau, sans hégémonie, profondément démocratique, c’est une invention ! »
Tout au long de son intervention, le chef d’Etat français a multiplié les éloges du projet européen, et notamment du concept de «souveraineté européenne», dont il s’est fait le promoteur depuis sa campagne présidentielle. Evoquant «une Europe qui avance», Emmanuel Macron a également tenu à opposer le projet européen aux «rêves d’empire» que lui associent ses détracteurs. «C’est un projet nouveau, sans hégémonie, profondément démocratique, c’est une invention !», a par exemple affirmé le président de la République, avant d’évoquer «un projet librement consenti […] où l’un ne décide pas pour l’autre ni pour les autres, mais où tous les membres, constamment, choisissent ensemble pour eux-mêmes».
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Traître au pays, coupable de haute trahison.
Je finis par croire qu’il fait exprès de sortir des « petites phrases » de cet acabit, en vue de provoquer les Français ; peut-être avec le secret espoir qu’il y aura des violences lors des prochaines manifestations des Gilets Jaunes, afin qu’il puisse justifier la mise en place de l’état de siège ? Ou pour faire monter le RN dans l’opinion, pour être sûr de pouvoir l’emporter au second tour des prochaines élections ?
Ou peut-être, tout simplement, est-il complètement fou ? Pour glorifier ainsi l’irrationnel, et des mots qu’il ne comprend pas…
Ou alors, tout ça à la fois ?
Tous les membres ont choisi d’islamiser l’Europe d’après macron??? je crois que c’est plutôt le duo macron-merkel complété par …soros!
Oui macron Merkel et soros
« Tout au long de son intervention, le chef d’Etat français a multiplié les éloges du projet européen »
ah là t’as pigé Brexit et non frexit…okokok!!!
au fait,t’as pas le droit d’interpréter ce qui ne te concerne pas,le seul truc qui te concerne,c’est ENSEMBLE VIDE!!!!et là tu vois,que même te citer est saleté,les maths résument!!!
Une démocratie dont le Président fait gazer et tabasser son peuple n’est pas une democratie, Herr Macron !
Oui,,, le charme d’Aix-la-Chapelle … ou la prudence ? Baden-Baden fut jolie, aussi, un certain printemps …