Lors d’une discussion au Forum germano-polonais qui s’est tenu à Berlin, le président polonais, interrogé par un journaliste allemand sur la restriction de la liberté des médias publics en Pologne, a répondu par une remarque sévère sur le travail des médias allemands : « Si les femmes étaient violées en Pologne, les médias polonais en parleraient immédiatement », a-t-il déclaré en faisant clairement référence aux nombreux viols, commis par des migrants, survenus à Cologne le soir du Nouvel An 2016 et à l’absence d’informations sur ces faits dans les jours suivants.
??⚡️??Le Président polonais remet les Allemands à leur place !
En Allemagne le Président?? répond: "Je n'ai pas d'influence sur les médias. En #Pologne si des femmes se faisaient violer, les médias en parleraient immédiatement sans rien cacher! En Pologne les médias sont libres"! pic.twitter.com/EKeHeg47Di— Patrick Edery (@patrick_edery) October 25, 2018
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