La Cour suprême de Tel-Aviv a refusé d’accepter les allégations des groupes arabes et juifs voulant condamner l’armée israélienne selon lesquelles les soldats auraient violé la loi en tirant sur des terroristes à Gaza. Les Israéliens ne font que défendre leur pays et leur frontière avec Gaza. Ils ont averti les Gazaouis de ne pas passer la frontière. Ils sont dans leur droit le plus absolu de faire feu.
« La Cour suprême de Tel-Aviv a accepté les arguments de l’armée israélienne selon lesquelles ses soldats auraient tiré sur les émeutiers à Gaza dans le cadre de la loi et que ces derniers représentaient un danger réel pour les soldats et citoyens israéliens », a déclaré dans un communiqué Adalah, le centre juridique pour les droits de la minorité arabe en Israël.
Selon le site arabophone d’information Arab 48, les organisations de Défense des droits de l’Homme Mizan et Adalah avaient auparavant déposé une requête devant la Cour suprême israélienne réclamant l’interdiction de tirer sur les manifestants dans la bande de Gaza.
Ces ONG ont affirmé que le tribunal israélien n’avait accordé aucune attention aux preuves et documents étayant le soi-disant massacre des Palestiniens à Gaza, que les organisations palestiniennes avaient fournis et présentés lors du dépôt de leur requête.
« La Cour suprême israélienne a légalisé les tirs mortels contre les civils à Gaza », est-il écrit dans ce communiqué.
Depuis le début des actions violentes des Palestiniens à Gaza, au moins 70 terroristes,sont tombés sous les balles des soldats israéliens. Simultanément à l’anniversaire de la Journée de la terre, Gaza a organisé le 30 mars la Marche du grand retour dans la bande frontalière séparant Gaza des territoires israéliens.
Israël avait fait respecter la sécurité de ses frontières.
Si chacun peut évidemment déplorer le nombre important de morts palestiniens, on ne peut pas ne pas constater qu’il y a un message, là aussi, de la part d’Israël. Un message que certains trouveront inutilement excessif, peut-être inutilement brutal, mais qui est un message clair : ils ne transigeront pas sur la sécurité de leurs frontières.
Il faut par contre deplorer l’utilisation par les manifestants palestiniens d’une méthode qui consiste à emmener dans des manifestions, où on sait qu’il va y avoir des violences, et même des violences importantes, des femmes et des enfants. Les violences des forces armées israéliennes contre les manifestants est donc un mensonge médiatique palestinien. En plus il s’agit selon d’une position étrangement très unilatérale qui méritait d’être plus équilibrée, car Israël avait fait respecter la sécurité de ses frontières.
Israël avait défendu sa frontière face au Hamas qui «poussé les masses palestiniennes à franchir la frontière».
Les procureurs de l’État ont plaidé en faveur de l’utilisation de tirs à balles réelles par l’armée lors d’affrontements avec des manifestants palestiniens à la frontière avec la bande de Gaza, affirmant que les règles d’engagement sont conformes au droit israélien et international, et que les émeutes ne peuvent pas être considérées comme de simples manifestations de civils.
L’armée israélienne affirme que ses soldats n’ouvrent le feu que sur les manifestants qui se livrent à la violence ou qui tentent de franchir la barrière séparant le territoire d’Israël.
Israël a exprimé à plusieurs reprises sa préoccupation face à la possibilité d’une ouverture massive de la frontière, par laquelle les Gazaouis afflueraient avec des terroristes parmi eux, causant des ravages. Le leader terroriste du Hamas, Yahya Sinwar, a juré dans le passé que les manifestants « violeraient les frontières et prieraient à Al-Aqsa ».
L’armée affirme également que le Hamas utilise les manifestations comme couverture pour endommager la barrière frontalière et se prépare à s’infiltrer et à perpétrer des attentats.
Le Hamas a reconnu que 52 de ses terroristes faisaient partie des victimes. Israël a identifié d’autres victimes comme membres de groupes terroristes.
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© Souhail Ftouh pour Europe Israël
Ces ong ne défendent pas les droits de l’homme mais un prétendu droit à l’impérialisme arabe et mus qui veut conquérir le monde. les gouvernements de gzauche en europe ont cédé à ces crapules qui en profitent pour avancer toujours plus dans leurs agressions, intimidfations, vols, viols, meurtres etc.micron doit s’en aller puisqu’il n’est pas capable de faire cesser cela ni même de prononcer le mot islam et musulmans!!!
PS. Je ne suis pas favorable aux grévistes mais il faut les soutenir et soutenir tous ceux qui s’opposent à micron dans l’espoir de le faire tomber.