Des assassins sont de retour en France et plus particulièrement en Alsace. L’Etat français ne protège plus ses citoyens des dérives de sa politique bureaucratique.
Un français est un français, même quand il ne le revendique pas et qu’il a participé à génocider des chrétiens au Moyen Orient. Cette réalité à fait bondir Virigine Joron, président Front National Grand Est. Malheureusement cette dernière préfère parler du fait que les jihadistes sont rapatriés aux frais du contribuable. L’argument ne mobilise plus.
Le danger n’étant pas les coûts supportés par l’Etat du rapatriement de somme toute une dizaine de musulmans et de leurs enfants, mais de l’idéologie qu’ils importent au coeur des villes françaises.
Un musulman radicalisé n’est jamais définitivement guéri, surtout dans un contexte d’islamisation. L’Etat est donc responsable des conséquences et du malheur engendré par le rapatriement de ces assassins. Dans les années 90, l’Algérie a tourné à feu et à sang. Dès le début de la guerre civile qui impliquait des « jihadistes locaux » contre des civils, des camions entiers de combattants venant d’Afghanistan ont rejoint les rangs des terroristes. 250 000 morts au total et des milliers de disparus.
Cette volonté de mettre la France en danger de mort est cynique et sordide .
Mais qu’est-ce qui peut bien pousser nos élus à vouloir nous transformer en humains prêts à être sacrifiés ?
Il est nuisible pour tous sue ces nazis puissent revenir en France comme si de rien n’était.
Les enfants ces nazis vont grandir et apprendront la vérité et rien ne nous prouve qu’il ne s’identifieront pas à leurs patents crminels .
Est-on prêt à prendre ce terrible risque !!!
L’état a déjá choisi à notre place .
Je ne sais pas qui a écrit cet article (non signé), mais c’est très juste : il y a de fortes probabilités que les jihadistes rapatriés participeront activement à la guerre que nous a déclarée l’islam conquérant, comme les Afghans participèrent à la guerre civile algérienne.
Nos dirigeants voudraient précipiter la guerre ethnique et religieuse qui se profile, et l’extermination de tous ceux qui se sentent encore français, qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. TRAÎTRES, VENDUS.
De Gaulle disait qu’il existe deux sortes de Français:
ceux qui habitent en France et ceux que la France habite.
Un Français a beau habiter en France, si la France ne l’habite pas, on peut avoir des doutes sur la force des liens qui le rattachent à son pays.
Personnellement, je pense -c’est une intuition, mais elle n’est pas née par hasard- que la France n’habite pas Macron, et qu’elle n’a jamais habité -ou si peu- certains de ses prédécesseurs. Ceci exlique en grande partie leur indifférence face au sort de leurs compatriotes, même si le destin de ces derniers est gravement mis en danger par l’islam conquérant.
Au tribunal de l’Histoire, certains responsables politiques seront jugés fort sévèrement.