Des militants de la Ligue de défense juive, LDJ, se sont rendus lundi au domicile du meurtre de Mireille Knoll pour se recueillir.
Lundi soir, aux alentours de 21 heures, cinq militants se sont rendus dans l’immeuble où vivait Mireille Knoll, 85 ans, assassinée de plusieurs coups de couteau le 23 mars à son domicile, incendié après les faits. Deux personnes, dont un voisin de 35 ans qui connaissait la victime depuis son plus jeune âge, ont été mises en examen pour homicide volontaire aggravé par l’antisémitisme.
Les cinq militants se sont présentées à la police comme des membres de la Ligue de défense juive (LDJ), dont l’objectif est de lutter par tous les moyens contre « toutes les formes modernes de haine antijuive, antisémitisme, judéophobie, antijudaïsme et antisionisme ».
Menaces ou victimisation de la famille de l’assassin ?
Selon les déclarations des parents du suspect et d’un ami de la famille aux enquêteurs, les membres de la LDJ ont frappé à leur porte et ont menacé de brûler toute la fratrie du mis en examen.
Pour leur défense, les représentants de la LDJ ont argué être venus se recueillir dans l’immeuble en allumant des bougies. Aucun coup n’a été échangé.
La famille de l’assassin ne tente-elle pas de se victimiser ? La victimisation est une pratique courante chez les personnes d’origine arabo-musulmane…
Arrivés sur les lieux, les policiers ont contrôlé les militants, qui leur ont annoncé être connus des services de police et fichés S – pour « sûreté de l’État ». Après vérification, c’est en effet le cas de quatre d’entre eux.
Cherchez pas la LDJ
c la nouvelle mode des antisémites
Moi j ai été faussement accusée de coups et blessures et menaces pour rien
Et en plus C la famille de queneleurs etc