toute l'information et l'actualité sur Israel, sur l'Europe, les news sur Israël et le Moyen Orient

.

Macron: « Dans 100 ans, 15 des pays présents aujourd’hui auront disparu et leur population avec eux »


Macron:  « Dans 100 ans, 15 des pays présents aujourd’hui auront disparu et leur population avec eux »

Emmanuel Macron revient sur les engagements internationaux concernant le climat et inquiète sur le réchauffement climatique.

Son message, dispensé sans notes et dans un style beaucoup plus direct que les adresses habituelles de chefs d’Etat : « on est en train de perdre la bataille » (du climat), ce que nous faisons « n’a rien à voir avec ce à quoi nous nous sommes engagés ». Pour illustrer son point, Macron se tourne vers la tribune des officiels et déclare : « Dans 50, 60 ou 100 ans, il y aura 10 ou 15 leaders (pays) présents aujourd’hui qui ne seront plus là, ils vont disparaître et leur population avec eux. »

Source: « On planet summit »





Journaliste pigiste Franco-israelien, titulaire d'un master d'histoire du Moyen-Orient à l'université de Jérusalem



Avertissement de modération: Nous vous rappelons que vos commentaires sont soumis à notre charte et qu'il n'est pas permis de tenir de propos violents, discriminatoires ou diffamatoires. Tous les commentaires contraires à cette charte seront retirés et leurs auteurs risquent de voir leur compte clos. Merci d'avance pour votre compréhension.

Signalez un commentaire abusif en cliquant ici


Merci de nous signaler les commentaires qui vous semblent abusifs et qui contiendraient des propos:
  • * Antisémites
  • * Racistes
  • * Homophobes
  • * Injurieux
  • * Grossiers
  • * Diffamatoires envers une personne physique ou morale

  • 22 thoughts on “Macron: « Dans 100 ans, 15 des pays présents aujourd’hui auront disparu et leur population avec eux »

    1. Jacques B.

      Ce n’est pas d’un pseudo-réchauffement d’origine humaine que les populations sont menacées, c’est du développement de l’islamo-gauchisme, en particulier dans les pays moteurs de l’économie mondiale : les pays occidentaux.

      Les politiciens sont de plus en plus menteurs, Macron en tête. Collecter des milliards d’impôts en jouant sur des peurs fabriquées, milliards qui serviront principalement à ces politiciens corrompus ; faire engranger des milliards aux entreprises dont les dirigeants sont leurs amis : entreprises du solaire, de l’éolien, du nucléaire, et même de l’automobile (qui prétendent nous vendre des voitures « propres » car émettant moins de CO2).

      Deux des plus gros mensonges de notre époque : celui sur un peuple palestinien qui n’a jamais existé – et qui n’est que le prétexte pour pouvoir exprimer son antisémitisme ; et celui sur un pseudo-réchauffement d’origine humaine, et qui serait forcément catastrophique (car on passe bien sûr sous silence les bénéfices d’un réchauffement global).
      Comme par hasard, Macron est en première ligne pour porter ces deux énormes mensonges.

    2. alauda

      @Jacques B.

      Une page de lecture sur le site de météofrance : « le réchauffement climatique observé à l’échelle du globe et en France ». « La décennie 2002-2011 est la période de 10 années consécutives la plus chaude au moins depuis le début des mesures instrumentales, en 1850. »

      Souvenez-vous des ouragans Lothar et et Martin (1999) qui ont abattu des arbres de 3 siècles à Versailles, déchiqueté 144 000 hectares de forêts domaniales dont certaines remontent à Colbert, mis par terre de 115 à 140 millions de mètres cubes de bois, avec des vents de force C2, à plus de 400 km des bords de mer à vol d’oiseau. Si cette puissance des vents n’était pas un signe d’avertissement, c’était quoi ?

      On a en France beaucoup d’archives anciennes, mais insuffisamment exploitées, comme s’en plaignait en 2009 un historien du climat dans un article du Figaro sur « les 22 tempêtes [qui] ont dévasté la France depuis trois siècles ». L’article ne précise en rien l’étendue géographique de ces 22 tempêtes restées dans les annales, faute d’une synthèse digne de ce nom sur le sujet. Mais il me semble que si une tempête d’une pareille ampleur avait frappé trois quart de la France dans le passé, la mémoire populaire en aurait gardé trace.

      Le réchauffement n’est pas une vue de l’esprit. D’ailleurs les sylviculteurs anticipent les probabilités du réchauffement pour replanter des essences plus adaptées à la sécheresse qui sévit plus souvent dans le sud. Sachant que la migration sylvicole induit un changement d’habitat pour la faune, on en est réduit à des conjectures sur les espèces susceptibles de s’adapter; de migrer ou de disparaître.

      L’érosion du littoral prouve aussi que la mer monte : « L’érosion dévore les côtes françaises » (Sciencesetavenir, 21.04.2014).

      Dans le Pacifique, cinq îles inhabitées des Salomon ont disparu en 2016, six autres habitées ont été touchées, forçant des habitants à déménager leurs pénates. De quoi s’interroger sur le sort des 118 îles de la Polynésie française, maintenant que le processus est enclenché.

    3. Jacques B.

      @ alauda :

      Je n’ai pas dit que le réchauffement était une vue de l’esprit, mais le réchauffement d’origine anthropique.
      Par ailleurs, il est intéressant de noter que le GIEC parle désormais de « global change », et non plus de réchauffement.

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.
      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.
      Des dizaines de milliers de scientifiques, parfois très en vue, faisant autorité dans leurs domaines respectifs, réfutent le climato-catastrophisme ambiant.
      Et ce n’est pas parce que Météo-France indique que la dernière décennie est la plus chaude depuis 1850 que cela y change quelque chose – du reste, bien des scientifiques sont en désaccord avec les méthodes de mesure même employées par le GIEC et autres.
      Avez-vous entendu parler du climate-gate ? Ou de la condamnation par la justice britannique d’Al Gore pour son documentaire « une vérité qui dérange » ? Ou de l’éviction du jour au lendemain de France TV de Philippe Verdier, responsable météo qui avait osé écrire un bouquin où il exprimait des réserves sur le climato-catastrophisme en vogue dans les milieux bien-pensants ? Je peux continuer, longtemps…
      En tant qu’agronome, je peux par exemple dire qu’un **éventuel** réchauffement permettrait d’augmenter les surfaces cultivables, et les rendements agricoles, dans l’hémisphère nord. Le CO2 a également un effet positif sur les rendements (principe de la photosynthèse) et des chercheurs ont démontré que le passage de 270 ppm à 430 ppm de CO2 par m3 permet d’augmenter sensiblement les rendements.
      etc etc etc.
      Rien n’est sûr à ce jour, la controverse scientifique étant loin d’être éteinte, et le soit-disant « consensus » avancé par les milieux autorisés (par eux-mêmes) tout sauf une réalité.
      Nous sommes face à une vaste manipulation de l’opinion, aussi importante dans son ampleur que celle consistant à nous imposer l’islamisation de nos pays – et à faire taire les contradicteurs.

      Tout cela ne signifie évidemment pas qu’il faut continuer à polluer ! Il existe d’ailleurs bien d’autres priorités en termes de lutte contre la pollution que celle adoptée par nos gouvernants contre un supposé réchauffement qui aurait nécessairement des conséquences catastrophiques.

    4. Jacques B.

      @ alauda :

      Je n’ai pas dit que le réchauffement était une vue de l’esprit, mais le réchauffement d’origine anthropique.
      Par ailleurs, il est intéressant de noter que le GIEC parle désormais de « global change », et non plus de réchauffement.

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.
      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.
      Des dizaines de milliers de scientifiques, parfois très en vue, faisant autorité dans leurs domaines respectifs, réfutent le climato-catastrophisme ambiant.
      Et ce n’est pas parce que Météo-France indique que la dernière décennie est la plus chaude depuis 1850 que cela y change quelque chose – du reste, bien des scientifiques sont en désaccord avec les méthodes de mesure même employées par le GIEC et autres.
      Avez-vous entendu parler du climate-gate ? Ou de la condamnation par la justice britannique d’Al Gore pour son documentaire « une vérité qui dérange » ? Ou de l’éviction du jour au lendemain de France TV de Philippe Verdier, responsable météo qui avait osé écrire un bouquin où il exprimait des réserves sur le climato-catastrophisme en vogue dans les milieux bien-pensants ? Je peux continuer, longtemps…
      En tant qu’agronome, je peux par exemple dire qu’un **éventuel** réchauffement permettrait d’augmenter les surfaces cultivables, et les rendements agricoles, dans l’hémisphère nord. Le CO2 a également un effet positif sur les rendements (principe de la photosynthèse) et des chercheurs ont démontré que le passage de 270 ppm à 430 ppm de CO2 par m3 permet d’augmenter sensiblement les rendements.
      etc etc etc.
      Rien n’est sûr à ce jour, la controverse scientifique étant loin d’être éteinte, et le soit-disant « consensus » avancé par les milieux autorisés (par eux-mêmes) tout sauf une réalité.
      Nous sommes face à une vaste manipulation de l’opinion, aussi importante dans son ampleur que celle consistant à nous imposer l’islamisation de nos pays – et à faire taire les contradicteurs.

      Tout cela ne signifie évidemment pas qu’il faut continuer à polluer ! Il existe d’ailleurs bien d’autres priorités en termes de lutte contre la pollution que celle adoptée par nos gouvernants contre un supposé réchauffement qui aurait nécessairement des conséquences catastrophiques.

    5. Jacques B.

      @ alauda :

      Je n’ai pas dit que le réchauffement était une vue de l’esprit, mais le réchauffement d’origine anthropique.
      Par ailleurs, il est intéressant de noter que le GIEC parle désormais de « global change », et non plus de réchauffement.

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.
      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.
      Des dizaines de milliers de scientifiques, parfois très en vue, faisant autorité dans leurs domaines respectifs, réfutent le climato-catastrophisme ambiant.
      Et ce n’est pas parce que Météo-France indique que la dernière décennie est la plus chaude depuis 1850 que cela y change quelque chose – du reste, bien des scientifiques sont en désaccord avec les méthodes de mesure même employées par le GIEC et autres.

      – à suivre –

    6. Jacques B.

      Bon, ça continue, génial. J’essaie de découper mon commentaire :

      @ alauda :

      Je n’ai pas dit que le réchauffement était une vue de l’esprit, mais le réchauffement d’origine anthropique.
      Par ailleurs, il est intéressant de noter que le GIEC parle désormais de « global change », et non plus de réchauffement.

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.
      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.

      – suite –

    7. Jacques B.

      J’essaie de découper mon commentaire…

      @ alauda :

      Je n’ai pas dit que le réchauffement était une vue de l’esprit, mais le réchauffement d’origine anthropique.
      Par ailleurs, il est intéressant de noter que le GIEC parle désormais de « global change », et non plus de réchauffement.

      – à suivre –

    8. Jacques B.

      suite :

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.
      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.
      Des dizaines de milliers de scientifiques, parfois très en vue, faisant autorité dans leurs domaines respectifs, réfutent le climato-catastrophisme ambiant.
      Et ce n’est pas parce que Météo-France indique que la dernière décennie est la plus chaude depuis 1850 que cela y change quelque chose – du reste, bien des scientifiques sont en désaccord avec les méthodes de mesure même employées par le GIEC et autres.

      – à suivre –

    9. Jacques B.

      Quelle plaie… j’essaie de poursuivre :

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.

      – à suivre –

    10. Jacques B.

      suite :

      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.

      – à suivre –

    11. Jacques B.

      La phrase suivante ne passe pas… je la saute (pfff)

      suite :

      Des dizaines de milliers de scientifiques, parfois très en vue, faisant autorité dans leurs domaines respectifs, réfutent le climato-catastrophisme ambiant.
      Et ce n’est pas parce que Météo-France indique que la dernière décennie est la plus chaude depuis 1850 que cela y change quelque chose – du reste, bien des scientifiques sont en désaccord avec les méthodes de mesure même employées par le GIEC et autres.
      Avez-vous entendu parler du climate-gate ? Ou de la condamnation par la justice britannique d’Al Gore pour son documentaire « une vérité qui dérange » ? Ou de l’éviction du jour au lendemain de France TV de Philippe Verdier, responsable météo qui avait osé écrire un bouquin où il exprimait des réserves sur le climato-catastrophisme en vogue dans les milieux bien-pensants ? Je peux continuer, longtemps…

      – à suivre –

    12. Jacques B.

      suite :

      En tant qu’agronome, je peux par exemple dire qu’un **éventuel** réchauffement permettrait d’augmenter les surfaces cultivables, et les rendements agricoles, dans l’hémisphère nord. Le CO2 a également un effet positif sur les rendements (principe de la photosynthèse) et des chercheurs ont démontré que le passage de 270 ppm à 430 ppm de CO2 par m3 permet d’augmenter sensiblement les rendements.
      etc etc etc.
      Rien n’est sûr à ce jour, la controverse scientifique étant loin d’être éteinte, et le soit-disant « consensus » avancé par les milieux autorisés (par eux-mêmes) tout sauf une réalité.
      Nous sommes face à une vaste manipulation de l’opinion, aussi importante dans son ampleur que celle consistant à nous imposer l’islamisation de nos pays – et à faire taire les contradicteurs.

      Tout cela ne signifie évidemment pas qu’il faut continuer à polluer ! Il existe d’ailleurs bien d’autres priorités en termes de lutte contre la pollution que celle adoptée par nos gouvernants contre un supposé réchauffement qui aurait nécessairement des conséquences catastrophiques.

    13. alauda

      @Jacques B.,

      En effet, c’est laborieux, raison pour laquelle je passe souvent par un brouillon sur word pour éviter les plantages dus à la surchauffe de mon ordi. 🙂

      L’origine anthropique du réchauffement, à mes yeux, ne fait pas l’ombre d’un doute. Mais je ne me fonde que sur de petites observations dans mon environnement familier. Par exemple, dès que je dois gratter ma voiture le matin, je demande à ceux qui vivent en dehors de ma petite ville s’ils ont vu la neige ou quelle température extérieure s’affichait dans leur village. A partir de ce bref exemple, j’extrapole : si à 10 km d’éloignement, la température en campagne est inférieure de quelques degrés à la température en ville, c’est bien que les villes produisent plus de chaleur que la campagne où les feux, comme on disait jadis, sont moins nombreux.

      La population mondiale vit désormais majoritairement dans des villes (depuis le petit bourg jusqu’aux immenses mégapoles) qui produisent beaucoup de chaleur. Donc la population mondiale participe au réchauffement climatique.

    14. Jacques B.

      Je vous ai mis des liens, alauda, mais les commentaires sont encore en attente de modération.

      Pour l’observation que vous faites (différence de température ville-campagne), bien sûr : moi aussi je l’ai faite, ou encore la différence de température autoroute – petite route de campagne.
      Cela n’a cependant pas à voir avec une modification du climat.
      En effet, les augmentations de température observées que vous mentionnez e concernent que de très petites zones (en volume) par rapport à l’ensemble de l’atmosphère terrestre. Et 2 ou 3 degrés sur des zones minuscules ne suffisent pas à expliquer, ni l’augmentation globale, ni les modifications du climat. Sur le climat, le GIEC parle d’effet de serre lié au CO2, c’est différent.
      Or le CO2 n’est qu’un des éléments de l’effet de serre ; la vapeur d’eau, en quantité bien plus importante que le CO2 dans l’atmosphère et elle-même liée aux variations de température, a un effet serre globalement bien plus élevé que le CO2.
      Soyons honnête, le CO2 joue sur l’effet de serre, mais de façon marginale par rapport à d’autres phénomènes, c’est ce qu’explique François Gervais dans une vidéo que je mettrai en lien dans mon commentaire suivant.

      Le problème est en réalité bien plus vaste :
      1- les modèles prévisionnels retenus par le GIEC ont montré à plusieurs reprises qu’ils s’étaient trompés sur les 10-15 dernières années ; et pourtant, les climato-catastrophistes continuent de s’appuyer sur ces modèles !
      2- il y a occultation des autres causes possibles du changement climatique
      3- il y a occultation des effets positifs d’un éventuel réchauffement, qu’il soit d’origine ne humaine ou non – du reste, l’Histoire nous apprend que les changements du climat sur la terre sont la norme, non une anormalité – et que les humains s’y sont toujours adaptés
      4- il a censure – je pèse mes mots – de tous ceux qui osent aller à l’encontre de la pensée officielle – et l’exemple de Ph. Verdier en est un des exemples éclatants ; c’est peut-être le plus grave, car cela montre que nous sommes soumis à de la propagande. Vous me direz, ce n’est pas le seul domaine où sévit la propagande officielle…

    15. alauda

      @Jacques B.,

      (suite)
      Près d’1 hectare de terre arable disparaît chaque seconde dans le monde : 100 m sur 100 m. A quoi rime de récupérer des terres sauvages quand on détruit de l’autre des terres cultivées ? C’est idiot.

      Rien qu’en France, selon le syndicat des jeunes agriculteurs, 82.000 hectares de terres agricoles ont disparu en moyenne chaque année entre 2006 et 2010. Ce qui représente 41 terroirs par an, comme celui de mon village (l’un des plus vastes du département).

      Je veux bien imaginer que l’on fera pousser demain mousses ou lichens consommables poussés sur les terres de l’ex-banquise, comme on nous annonçait des steaks à base de pétrole dans les années 60… J’en ris encore tellement c’était dingue, du côté de la manipulation des papilles.

      Quoiqu’il en soit les hydrocarbures ont permis d’augmenter les rendements, un certain temps. Cependant rien n’est moins sûr que la surconsommation des produits dérivés n’ait pas accentué la désertification (et la philosophie qui va avec…) qui est un des aspects les plus problématiques -pour ne pas dire « catastrophiques » du réchauffement hydrocarburé.

    16. Jacques B.

      @ alauda :

      Je n’ai pas dit que le réchauffement était une vue de l’esprit, mais le réchauffement d’origine anthropique.
      Par ailleurs, il est intéressant de noter que le GIEC parle désormais de « global change », et non plus de réchauffement.

      Je lis beaucoup d’articles sur le sujet – pas dans la presse française stipendiée, mais plutôt sur des médias comme Dreuz. je suis aussi membre de l’association des climato-réalistes.
      Je pourrais vous mettre des dizaines de liens vers des articles extrêmement fouillés et de haut niveau scientifique contredisant la thèse du GIEC – un organisme politique, au passage, contrôlé par les gouvernements.
      Des dizaines de milliers de scientifiques, parfois très en vue, faisant autorité dans leurs domaines respectifs, réfutent le climato-catastrophisme ambiant.
      Et ce n’est pas parce que Météo-France indique que la dernière décennie est la plus chaude depuis 1850 que cela y change quelque chose – du reste, bien des scientifiques sont en désaccord avec les méthodes de mesure même employées par le GIEC et autres.
      Avez-vous entendu parler du climate-gate ? Ou de la condamnation par la justice britannique d’Al Gore pour son documentaire « une vérité qui dérange » ? Ou de l’éviction du jour au lendemain de France TV de Philippe Verdier, responsable météo qui avait osé écrire un bouquin où il exprimait des réserves sur le climato-catastrophisme en vogue dans les milieux bien-pensants ? Je peux continuer, longtemps…
      En tant qu’agronome, je peux par exemple dire qu’un **éventuel** réchauffement permettrait d’augmenter les surfaces cultivables, et les rendements agricoles, dans l’hémisphère nord. Le CO2 a également un effet positif sur les rendements (principe de la photosynthèse) et des chercheurs ont démontré que le passage de 270 ppm à 430 ppm de CO2 par m3 permet d’augmenter sensiblement les rendements.
      etc etc etc.
      Rien n’est sûr à ce jour, la controverse scientifique étant loin d’être éteinte, et le soit-disant « consensus » avancé par les milieux autorisés (par eux-mêmes) tout sauf une réalité.
      Nous sommes face à une vaste manipulation de l’opinion, aussi importante dans son ampleur que celle consistant à nous imposer l’islamisation de nos pays – et à faire taire les contradicteurs.

      Tout cela ne signifie évidemment pas qu’il faut continuer à polluer ! Il existe d’ailleurs bien d’autres priorités en termes de lutte contre la pollution que celle adoptée par nos gouvernants contre un supposé réchauffement qui aurait nécessairement des conséquences catastrophiques.

    17. Jacques B.

      Merci @ Europe-Israël d’avoir posté mon commentaire entier.

      Je ne sais pas ce qui se passe, mais de temps en temps les commentaires ne passent pas, probablement un souci « informatique » ou internet… heureusement ça reste très rare 🙂

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    0 Shares
    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • More Networks
    Copy link
    Powered by Social Snap