Le producteur de cinéma s’exprime dans une tribune au « Monde » après avoir appris qu’il ne pouvait plus présider le jury des journées cinématographiques de Carthage (du 4 au 11 novembre) en Tunisie. On lui reproche d’avoir produit des films en Israël.
Tribune. J’ai reçu au début du mois d’août une invitation pour présider le jury des journées cinématographiques de Carthage (JCC) qui se déroulent du 4 au 11 novembre à Tunis.
J’ai accepté très chaleureusement la proposition mais, lorsque le délégué général, M. Nejib Ayed, a appris que je produisais le prochain film du cinéaste israélien Nadav Lapid et que j’avais fait partie du jury du dernier festival de Jérusalem, il m’a demandé un délai de réflexion de vingt-quatre heures et ne m’a plus donné signe de vie.
Une grande partie de la presse tunisienne et du public, en prenant connaissance de mes entreprises israéliennes, aurait certainement réagi avec beaucoup de virulence à cette invitation et le festival a probablement eu raison de m’épargner (et de s’épargner) un lynchage médiatique. Cet incident tout à fait fâcheux, et qui l’est d’autant plus qu’il m’a opposé bien involontairement à des personnes que je n’ai aucune envie de désobliger, est révélateur de l’état actuel du débat sur ce pays dont le nom est devenu en Tunisie imprononçable.
Je suis né en Tunisie. J’y ai grandi dans une famille musulmane pratiquante et je m’affirme aujourd’hui avec le même enthousiasme musulman, français et tunisien. Il y a dans mon pays d’origine, et dans le monde arabe de façon générale, une hostilité (quand ce n’est pas une haine) à l’égard d’Israël, qui est liée au sort dramatique des Palestiniens dont les Tunisiens et les Arabes se sentent solidaires.
Vocable antisémite
En vérité, les choses sont un peu plus compliquées que cela. Nul ne peut nier le malheur du peuple palestinien, mais il faut bien admettre que le monde arabe est, dans sa majorité, antisémite et cette haine des juifs a redoublé d’intensité et de profondeur non pas avec le conflit israélo-arabe, mais avec la montée en puissance d’une certaine vision de l’islam.
Saïd Ben Saïd déplore une «certaine vision de l’Islam» nourrie d’une lecture du Coran «littérale» comportant un grand nombre de versets hostiles envers les juifs, que lui-même, enfant, apprenait par cœur. Ce qui le conduit à affirmer que «l’antisémitisme des Arabes, aujourd’hui, est le même que le vieil antisémitisme européen. Il fonctionne sur le même registre, comme une paranoïa dépourvue d’argumentation.»
Source Le Monde
oh il n’y a pas que les arabes !!!!!!!!!!
Six millions de morts en Europe parce que juif.
Il y a dans mon pays d’origine, et dans le monde arabe de façon générale, une hostilité (quand ce n’est pas une haine) à l’égard d’Israël, qui est liée au sort dramatique des Palestiniens dont les Tunisiens et les Arabes se sentent solidaires………………. Absolument FAUX !
Il n’y a aucune solidarité entre arabes.
Des « Palestiniens » ils s’en foutent royalement.
Ont-ils versé une larme pour les 465 000 morts Syriens ?,… Ont ils ouvert leurs portes aux réfugiés Syriens, Irakiens, Afghans, etc …?
Les musulmans ont une haine viscérale pour le monde occidental. D’ailleurs leur Coran et la Charia les placent au dessus de toutes les lois occidentales.
Israël c’est le monde occidental. L’occident prend sa source à Jérusalem.
L’antisémitisme et nos millions de morts nous ont rendus plus fort et ont abouti à la résurrection d’Israël .
Quant à l’islam il en est encore à l’Âge de Pierre , avec un peu d’efforts il arrivera au Moyen-Âge .
Comment voulez vous qu’ils nous aiment à part venir dans nos hôpitaux pour se faire soigner ?