20% des djihadistes français identifiés sur zone irako-syrienne continuaient à toucher des allocations sociales, révèlent nos confrères du Figaro, qui s’appuie sur des chiffres donnés par la brigade criminelle en charge de la lutte contre le terrorisme.
En passant au peigne fin les comptes des combattants identifiés de Daesh, les policiers se sont aperçus que dans un cas sur cinq, ces derniers continuaient à recevoir des allocations.
« Munis de leurs cartes avec photos, des parents percevaient les fonds venant de Pôle emploi ou de la caisse d’allocation familiale, avant de les envoyer par mandat en direction des zones de combats via la Turquie notamment« , explique Stéphane, chef du groupe financier de la brigade criminelle.
Comment? Seulement 20%? Mais les autres, alors, comment font-ils pour se permettre toutes leurs escapades?
et on ne s’en aperçoit qu’aujourd’hui?