Après la polémique l’an dernier sur le manuel d’histoire-géographie-EMC des éditions Nathan à destination des collégiens, suite de notre tour d’horizon des manuels 6ème. Belin voit la « Palestine » partout…
Le manuel des éditions Belin a été édité en 2016, sous la direction de Eric Chaudron (pour la partie Histoire) et de Carine Raynaud (coordination pédagogique), et ses rédacteurs semblent avoir joué à placer au maximum le mot « palestine » sur les cartes… En total mépris de l’historicité du nom.
Petit rappel: l’Empire romain a progressivement pris le contrôle du royaume de Juda, d’abord en plaçant des souverains acquis à sa cause, puis en finissant par en faire une province à part entière sans plus aucune autonomie. Le mot « palestine » apparaît dans le nom de la province: « Syria Palaestina » (par opposition à la « Syria Pheniciae », au nord), directement inspiré de la présence antique (et bien antérieure à la présence romaine) des phillistins (d’origine certainement crétoise). Avant la période romaine (à partir de 135 pour être exact), utiliser le terme « palestine » est un non-sens historique. Mais ça ne semble pas du tout déranger les éditeurs de manuels scolaires, dont Belin…
Dès la première double page, à l’ouverture du chapitre, on trouve une carte bien curieuse. Mélange de repères géographiques et d’anachronie:
Vous lisez bien comme moi Xème siècle BCE (avant l’ère commune)? A cette époque, deux royaumes hébreux coexistent. Les romains ne sont pas encore cet empire occupant, dont parlera longuement la tradition et les écrits d’intellectuels juifs (comme Flavius Josèphe). Une époque où le terme « palestine » n’existe pas encore…
Comme un rappel, en haut des pages on trouve de petites cartographies, avec le même mensonge lourd de sens:
Mais aussi cette carte d’une demi-page, toujours la même « erreur »:
Une expression commune chez les militaires dit qu’une chose qui arrive un fois, c’est le hasard. Dex fois, c’est une coincidence. Trois fois, c’est sûrement un plan de l’ennemi…
Pourtant, on trouve aussi des choses positives, comme une présentation de différentes preuves archéologiques de l’histoire d’Israël, comme l’obélisque noir de Salmanazar III (époque assyrienne), un rouleau de Qumran, ou de la stèle de Tel Dan (qui mentionne explicitement la « maison de David », et pose la véracité de l’existence du personnage historique:
Cette mise en valeur de sources primaires (fondamentales pour l’historien) sont une excellente idée, souvent reprise dans les manuels.
Dernier point: je n’allais pas omettre de consulter le planisphère en fin de manuel, avec cette mention contestable au sujet de la Judée-Samarie:
Bref, encore un manuel écrit par des gens qui au mieux ne maîtrisent pas le sujet, au pire ont une orientation politique qui transparaît dans leur travail. Les éditions Belin ne sont pas les seules à être épinglées cette année, c’est également le cas de Hachette, comme Nathan l’an dernier.
Il serait de bon ton pour eux de corriger le tir, et de pallier a ces « erreurs » (volontaires ou non), qui entachent salement la réputation de sérieux de ces éditions.
Source: Manuel Histoire-Géographie 6ème/cycle 3, éditions Belin 2016
© Ari pour Europe Israël
Ces goys qui défendent Israël sont toujours là ?
Il évident que ces « historiens » manipulent l’histoire dans un but politico/ communautaire, pour faire plaisir ou manipuler l’esprit déjà dérangé de nombreux enfants par des pseudos religieux, en familles ou en lieux de réunion.
Très grave et préoccupant…
Ils veulent les inventer à tout prix !
C’est la preuve que la France est déjà un pays arabe !
Que ceux qui désapprouvent, professeurs et élèves, refusent de travailler avec un ouvrage qui falsifie l’histoire et fasse jouer les médias. Probablement le seul moyen que comprennent les décideurs dans une société sans morale.
Les antisémites sont des Manipulateurs de l’histoire par des fausses images ou appellations.
1° un faut, que de Signaler l’existence d’une Palestine arabe entre le X siècle avant J.C. et le II après J.C. Erreur grave, car il est intentionnel
2° Signaler que la nommée Palestine du II siècle après J.-C. par les romains, est un territoire arabe et pas juif, est un mensonge; car la Palestine d’alors, est la Galilée, la Samarie et la Judée juives et pas arabes.
3° Ces appropriations de la culture juive et de ses terres ancestrales au profit des arabes par l’histoire et les cartes, n’aident pas a la solution d’un conflit vieux de plus d’un siècle
entre arabes et juifs ;
Les Romains ont inventé le terme Palestine et ont inventé le mythe de Jésus qui était en fait Barabbas (de « bar », fils et de « abbas » père, donc fils du père), un rebelle qui luttait contre l’occupant romain et qui, au cours d’une révolte, a entraîné la mort d’un soldat romain, crime pour lequel il a été condamné à mort par le pouvoir romain et à cette époque, ce n’était pas la guillotine, ni la seringue l’instrument de mise à mort mais la croix.
Donc, les Romains, dont les descendants sont en bonne partie les Italiens, ont créé l’antijudaïsme, l’ont fait prospérer dans toute l’Europe pendant des siècles et les juifs savent que cette haine antijuive les a menés jusqu’à la Shoah : l’Italie était d’ailleurs alliée à l’Allemagne nazie pendant le génocide des juifs. Est-ce que, pour autant, les juifs ont attaqué ou attaquent le Colisée, la chapelle Sixtine, les palais vénitiens, ou le Vatican et tuent des italiens ? Non. Ca n’a pas été le cas des chrétiens et des musulmans qui, sans cesse, s’en sont pris ou s’en prennent aux juifs en tant que tels en voulant les exterminer.
Je précise que je ne suis pas christianophobe : je dis seulement la réalité sur la Palestine et ce Jésus tué par les Romains. Et quand je dis que tous les juifs français massacrés dans cette dernière décennie en France l’ont été par des français de confession musulmane, je ne suis pas non plus islamophobe : je dis juste la réalité et elle est difficile à entendre.
Au Concile de Nicée, les empereurs romains ont commencé à distiller petit à petit le poison de l’antijudaïsme en transformant ce Jésus en une victime des Juifs en dissociant deux personnes qui étaient les mêmes au départ : Jésus, fils de Dieu (dans ses sermons, Jésus appelait Dieu Abba ou père en araméen) donc Barabbas et Jésus le Christ et en affirmant ensuite que la foule des juifs poussée par les prêtres avaient crié de crucifier Jésus et de libérer Barabbas avec la phrase tristement célèbre pour nous juifs : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants. » Déjà que c’est une ineptie totale que les crimes des pères retombent sur les enfants s’ils avaient existé mais ce crime n’a même pas existé en plus et les juifs, ensuite, n’ont pas cessé d’être persécutés et exterminés par les chrétiens. Ce n’est qu’en 1962 que le Pape a reconnu que le peuple juif n’était pas un peuple déicide et aujourd’hui encore, vous avez beaucoup de catholiques, de protestants et d’autres chrétiens qui croient encore en cette falsification de l’histoire religieuse par ces salauds de romains. Un jour ou l’autre, il y aura un retour violent de boomerang : que l’Italie croule et coule sous le poids des migrants parce que c’est ce qu’elle veut et c’est ce que leur Pape désire, ainsi, elle ne sera plus jamais catholique et chrétienne (et l’Europe non plus d’ailleurs) puisque 90 % des migrants sont musulmans.
PS : Quand j’entends dire que ce sont les méfaits de la colonisation qui sont la cause du terrorisme et de la terreur islamistes d’aujourd’hui, je bondis de colère. Donc les méfaits de la Shoah auraient dû aboutir vers la destruction totale des allemands et des italiens or pas un seul juif n’a touché à un seul cheveu d’un seul allemand ou italien parce qu’allemand ou italien pour se venger du génocide des juifs. Non, c’est l’Islam qui est conquérant et violent : allemands, italiens, européens l’apprennent déjà à leurs dépens et ne tarderont pas à l’apprendre encore plus jusqu’à leur fin.
Une étude menée par Chloé Yvroux, doctorante à l’université de Montpellier et révélée par le site du Monde Diplomatique et le blog Big Browser du journal Le Monde révèle l’ampleur des carences des jeunes français sur le conflit israélo-arabe. Elle a été menée à l’université de Montpellier, auprès d’étudiants en Licence d’Histoire et Géographie, pour laquelle les étudiants du campus ont été questionnés sur leurs connaissances sur le conflit israélo-arabe. Son auteur, Chloé Yvroux, a proposé à un groupe d’étudiants de deuxième année de répondre à une série de questions ouvertes et de remplir un fond de carte. Le principe? Compléter la carte avec « tous les éléments » que ces étudiants connaissent. Le résultat est AHURISSANT. https://tsahal.fr/2012/01/09/une-etude-revele-lampleur-de-la-meconnaissance-du-conflit-par-les-etudiants-francais/ http://blog.mondediplo.net/2011-11-07-Bandes-a-Gaza-que-savent-les-etudiants-du-conflit.
Ahurissant, mais pas étonnant lorsque l’on sait que ces historiens-géographes en herbe ont été endoctrinés depuis l’école primaire par des gauchistes antisémites.