Extrait d’une tribune parue dans Libération signée par des féministes qui estiment qu’il ne faut surtout pas stigmatiser « les minorités »… Surréaliste !
Agresser verbalement une femme est interdit dans tout espace public. Pourquoi dès lors viser spécifiquement un lieu fréquenté par des populations socialement et racialement stigmatisées ?
(…)
Elizabeth Brown Université Panthéon-Sorbonne, Paris-I Natacha Chetcuti-Osorovitz Centrale Supélec et Idhes-ENS, Alice Debauche Université de Strasbourg, Pauline Delage Université Lumière, Lyon-II, Eric Fassin Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Claire Hancock Université Paris-Est Créteil, Maryse Jaspard Université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Solenne Jouanneau Université de Strasbourg, Hanane Karimi Université de Strasbourg, Amandine Lebugle Ined, Véronique Le Goaziou Lames-CNRS, Marylène Lieber Université de Genève, Marta Roca i Escoda Université de Lausanne, Sylvie Tissot Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Mathieu Trachman Ined.
Elles me gonffle ces feministes et c’est qui qui harcele ?
Dans la rue ce sont des muzzs qui harcèlent avec les islamos gauchistes
cela devient tres compliqué de trouver plus connes qu’elles
Elle ne diront plus cela lorsque l’une d’entre-elles se fera agressée et pire encore .
Cela ne saurait tarder car , à mon avis ces ( féministes ) doivent être macquées avec des muzz .
Ce sont des féministes d’opérette et de salon, des enseignantes d’université, qui vivent dans leur tour d’ivoire, bien à l’abri de ces populations qu’elles prétendent « défendre » : des bobos hypocrites qui veulent se faire valoir en signant une tribune très politiquement correcte, mais très éloignée de la réalité.
L’Histoire jugera sévèrement ce genre d’hypocrites, lâches, soumises préventivement à l’islam conquérant.
La cause des femmes (la vraie) ne leur dit pas merci.
On a l’impression d’avoir tout vu, tout entendu, et chaque jour l’escalade dans la sottise (pour rester poli) se manifeste…
Jacques, vous avez tout dit.