Zeid Ra’ad Al Hussein, Prince de son statut, parachuté aux Droits de l’Homme, s’alarme des critiques légitimes de Trump contre CNN, le New York Times and le Washington Post.
Zeid bin Ra’ad est un membre actif du lobby arabiste qui domine dans les organisations internationales. Descendant de la famille despotique royale d’Irak, depuis l’an 2000, il transite d’un poste de fonctionnaire à un autre. Ce dernier est depuis 2014, Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme et critique le président des Etats-Unis:
« Qualifier ces organes de presse de ‘fake’ (donnant de fausses informations – NDLR) fait d’énormes dégâts et parler de cette façon des journalistes, je pose la question: est-ce que ce n’est pas une incitation pour d’autres à s’attaquer à des journalistes? »
« Et imaginez qu’un journaliste d’un de ces organes de presse soit blessé, est-ce que le président n’en serait pas tenu pour responsable, pour avoir attisé cela? » s’est interrogé M. Zeid devant les médias à Genève.
« Je pense qu’on pourrait considérer que c’est une incitation », a-t-il estimé, ajoutant que le président Trump avait mis en marche un cycle qui inclut « incitation, peur, autocensure et violence ».
Selon Zeid bin Ra’ad, d’autres gouvernements cherchant à restreindre les libertés des médias ont invoqué les attaques de M. Trump contre la presse.
« La diabolisation de la presse est un poison, car elle a des conséquences ailleurs », a souligné M. Zeid.
Lors d’un discours virulent le 23 août devant des milliers de partisans à Phoenix, le président Trump a fait huer ses cibles favorites – CNN, le New York Times et le Washington Post – et blâmé « les médias malhonnêtes » et leurs « gens malades ».
Il a demandé aux médias, qui selon lui diffusent de fausses informations, d' »admettre leur responsabilité pour les divisions qu’ils génèrent ».
Zeid al-Hussein est un obessionnel anti-occidental, qui a été remarqué dans sa critique violente de Geert Wilders, l’homme politique Hollandais qui lutte depuis des années pour stopper l’islamisation de son pays.
«Je suis un musulman à la peau blanche, dont la mère est Européenne et le père Arabe. Et je suis en colère. A cause des mensonges, des demi-vérités, des manipulations et du commerce de la peur de Monsieur Wilders».
Geert Wilders ne faisant que rappeler qu’Islam est une idéologie politique meurtrière et qu’il veut stopper son avancée aux Pays-Bas.
Source: i24news
Ah! ces musulmenteurs, toujours prompts à attribuer à leurs adversaires ce qu’ils leur font subir eux-même. Comme si les journalistes étaient d’honnêtes travailleurs de l’information et Donald Trump un je-ne-sais-pas-quoi-puisque-rien-n’a-encore-été-démontré-ou-prouvé.
Un prince à la langue de pute?
Non, un musulman sans classe et sans noblesse. Bien loin de la chevaleresque!
J’avais déjà remarqué qu’on avait des menteurs aux droits de l’homme, maintenant j’en ai la certitude.
Un muzz aux » Droits de l’Homme » c’est comme un loup dans une bergerie .
Alors un Prince n’en parlons pas , c’est Ali Baba avec ses 40 voleurs .