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Ancienne DGRH de Danone, Muriel Pénicaud a vendu ses stock-options du groupe en avril 2013, juste après l’annonce de la suppression de 900 postes, qui a fait flamber le cours de l’action. Elle a réalisé une plus-value de 1,13 million d’euros.
Alors qu’elle est toujours embourbée dans l’affaire de l’organisation d’une soirée à Las Vegas pour Emmanuel Macron, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a désormais un nouveau caillou dans sa chaussure, et ce au moment où le gouvernement d’Emmanuel Macron s’apprête à réformer le code du travail par ordonnance.
L’Humanité révèle en effet le 27 juillet sur son site internet qu’elle a effectué une opération financière de premier ordre grâce à ses stock-options Danone le 30 avril 2013, réalisant une plus-value de 1,13 million d’euros.
Directrice générale des ressources humaines du géant de l’agroalimentaire entre 2008 et 2013, la ministre avait profité en avril 2009, en pleine crise financière, d’un prix d’achat d’actions historiquement bas (34,85 euros l’unité). Lorsqu’elle a décidé fin avril 2013 de vendre 52 220 de ses stock-options (à l’expiration du délai de garde de quatre ans imposé par Danone), l’action atteignait 58,41 euros.
Si l’opération n’a rien d’illégal, sa chronologie interpelle. En effet, environ deux mois avant qu’elle ne vende ses stock-options, le 19 février 2013, la direction du groupe avait annoncé la suppression de près de 900 postes managériaux et administratifs. Une annonce très bien accueillie sur les marchés boursiers et qui avait fait monter en flèche l’action du groupe.
DRHJ !
(Direction Ressources Humaines Jetables)
il ne devait pas y avoir de moralisation des politiques
eh ben , ken a ses casseroles et tous son gouvernement
MAIS VOUS ETES ******** A CE POINT LES FRANCAIS ?
80% DE CONS 20% DEFRANCAIS INTELLIGENT ET ENCORE JE PENSE QUE 90 / 10
Quand on repense à ce qu’a subi François Fillon avant la présidentielle, simplement parce qu’il avait eu le malheur d’employer son épouse, ce qui était d’ailleurs permis par la loi, et que son épouse a ainsi touché entre 2.000 et 3.000 euros de salaire mensuel,
et qu’on voit qui sont, derrière le décorum hypocrite, les amis du sieur Macron, soit-disant homme neuf, éloigné de toute magouille, celui qui allait révolutionner la manière de faire de la politique… et qu’ici même il y avait des gens pour venir donner des leçons de morale à ceux qui préféraient Fillon à Macron,
On se demande s’il faut rire ou pleurer.
Une ministre propre sur elle, au-dessus de tout soupçon (une de plus), soucieuse de l’intérêt des Français, surtout les plus fragiles, qui empoche plus d’un million d’euros de stock-options suite à un licenciement massif, autrement dit le pire du capitalisme de connivence – comme dit Guy Millière – ça ne choque pas les bonnes âmes ?
Le système Macron, c’est en Marche vers le mensonge le plus décomplexé et l’arnaque la plus outrancière, nous en avons les preuves tous les jours.
Sans parler bien sûr de la réalité (au-delà des mots encore une fois) de sa politique envers Israël ou l’immigration musulmane massive.