.
Après une explosion de l’immigration française (« aliyah », NDLR) en Israël au cours des dernières années, ce chiffre a chuté de 36% par rapport à 2015, selon les dernières données sur l’immigration publiées mardi par le Bureau central des statistiques (CBS).
Israël a accueilli depuis sa création, plus de 3,2 millions d’immigrants sur son territoire. Suite à une lente décroissance entamée à l’aube des années 2000, ce nombre connaissait depuis 2014 un soubresaut, boosté par les nombreuses arrivées provenant de la communauté juive française.
Le CBS a néanmoins constaté une légère baisse en 2016 de nouveaux immigrants avec 25.977 arrivées contre 27.908 en 2015, soit une chute de 7 %.
Dans ce chiffre, la baisse la plus significative provient de la population française (-36%), mais plus généralement à l’échelle de l’Europe (-13.1%) qui représente aujourd’hui le plus gros vivier d’immigration en Israël (75.6%). Alors que dans le même temps, le nombre d’immigrés originaires des continents asiatique et américain connaît une légère hausse.
En septembre 2016, un think-tank basé à Jérusalem avait déjà annoncé une baisse notable, environ 40%, des arrivées de France, l’expliquant par la mauvaise intégration des « olims » (« nouveaux immigrants ») au sein de la société israélienne.
Malgré des aides financières et la création d’organismes visant à accompagner cette communauté d’immigrants, les difficultés économiques et le manque de perspectives d’emploi sont entre autres responsables de ce ralentissement, d’après l’Institut.
Par ailleurs, le CBS a révélé qu’à leur arrivée, les olim hadashim (nouveaux migrants) ont été 12% en 2016 (soit 3.045 personnes) à choisir de s’installer à Jérusalem. La première communauté de migrants à s’y installer sont les Américains, pour qui la ville sainte et sa banlieue est largement favorisée.
Viennent ensuite Tel Aviv (11% des immigrants), puis Netanya (9%), Haïfa (8%), Ashdod et Bat Yam (5%).
L’immigration en 2016, comme lors des années précédentes, a été caractérisée par un pourcentage relativement élevé de diplômés universitaires.
Personne ne comprend qu il y a un problème que faire venir les juifs de France en ISRAEL il n y’a pas de travail La vie est plus cher de 60% que Paris 16 em mais si en banlieue comme st Denis ç est 100% exemple à Netanya au souk les bananes sont 5 euros à Paris 1 euros et je peux vous cité des milieux d exemples ils travaillé dans les call center a 5.000 shekels or pour vivre aujourd’hui en israel si vous De devez loue un appartement il faut un salaire pour une famille avec 2 enfants 25.000 shekels soit 6000 euros d ailleurs pour confirmer mon analyse la mairie de Netanya accordé une remise de 30% sur la taxe d habitations à partir d un salaire mensuel de 13.000 shekels soit 3.200 euros ca veut dire comme vous êtes indigent et assisté à partir de ce revenu si vous connaissez en France beaucoup qui gagne ce salaire faites moi signe maintenant ç est bon pour les religieux qui passent leurs temps à tourner les pages du Talmud dans les yechiva qu ils mendient à Paris a ney York ou à Jérusalem ca ne change pas leur vie
Bon, je n’ai pas encore lu cet article ni les commentaires précédents, mais ma 1ère réflexion au vue dudit titre est peut-être qu’il y en ait presque plus à faire leur Alyah puisque la France ne protège pas sa population (excepté les « zélites » elles-mêmes) … en d’autres termes : ils sont malheureusement tous partis !
Eh oui, il ne suffit pas d’être juif pr être intelligent !
Dans ma famille aussi, on a cru qu’il fallait donner une chance à Macron et quand je souligne qu’il est anti juif pro-palestinien, ils me disent qu’il faut être français avant tout. Pourtant, ils sont loubas.
Cela me fait penser aux juifs allemands en 40, qui étaient persuadés d’être allemands d’abord.
Bin, allez y tt seul …..
le problème surtout c’est que si vous allez en Israel pour vivre à l’occidental bah restez en occident les gars, il faut aller en Israel pour vivre de la terre et de la torah. D-ieu merci certains l’ont déjà compris