La presse américaine affirme depuis vendredi que le FBI estime que Jared Kushner aurait des informations intéressantes dans le cadre de l’enquête sur les relations entre Moscou et l’administration Trump
Le président américain Donald Trump a contre-attaqué dimanche en dénonçant les « mensonges » des médias qui multiplient les révélations sur l’affaire russe et placent la Maison Blanche en situation de crise. Tout juste rentré à Washington d’une tournée de neuf jours au Moyen-Orient et en Europe, Donald Trump a réagi dans une série de tweets aux accusations portées contre Jared Kushner, son gendre et très proche conseiller.
Whenever you see the words 'sources say' in the fake news media, and they don't mention names….
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) May 28, 2017
À chaque fois que les médias mentionnent des sources anonymes, « il est très possible que ces sources n’existent pas mais soient inventées par des journalistes ‘fake news’ », a tweeté Donald Trump dimanche matin.
« C’est mon opinion que beaucoup de fuites sont des mensonges fabriqués par les médias ‘Fake News’ (fausses informations) », a-t-il ajouté.
La presse américaine affirme depuis vendredi que Jared Kushner a cherché à mettre en place un canal de communication secret avec la Russie pendant la période de transition, c’est-à-dire entre la victoire électorale de Donald Trump le 8 novembre et sa prise de fonctions le 20 janvier.
Les enquêteurs du FBI pensent que le mari d’Ivanka Trump pourrait avoir des informations importantes concernant leur enquête, même s’il n’est pas suspecté, pour l’heure, d’avoir commis un quelconque délit.
Jo Golan pour Europe Israël
D’habitude quand quelqu’un fait l’objet de récriminations incessantes, on dit de ses détracteurs qu’ « ils font flèches de tout bois » (qu’ils utilisent tout et n’importe quoi pour dénigrer leur victime) ; mais en cet occurence (Trump et son équipe) « ils font de la merde avec du vent ».
Une véritable campagne de sallissage international sous la férule de Soros (sur l’air de « Et Zoro est arrivé »).
Des canaux secrets ont toujours existé entre les USA et d’autres pays et les journalistes américains le savaient et le savent. Seulement, ces journalistes haïssent Trump qui le leur rend bien d’ailleurs, alors ils sont en train d’essayer de lever un lièvre pour le faire tomber.
Pas glorieux tout ceci de la part des journalopes mais il y a une maxime qui dit que quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage.
Comme le vent tourne, ça ne sera pas velour, mais ce sera définitif !