L’Union européenne, obsédée par Israël et les implantations en Judée Samarie, manque de visibilité lorsqu’il s’agit de protéger ses propres frontières du sud. C’est seulement l’argent qu’elle injecte qui offre sa visibilité mais qui la cantonne aussi à un simple statut de payeur.
Depuis que verrou Kadhafi ayant sauté en Lybie, l’Europe est prête à se donner à n’importe qui, pourvu qu’on surveille l’immigration subsaharienne.
Des médias italiens rapportent que le gouvernement italien et l’Europe viennent de trouver une solution avec des tribus en Afrique du nord qui seront payés en acceptant de faire le gendarme pour le compte de l’Europe.
Les Touareg libyens et les Toubous vont jouer le gendarme au Sahel afin de stopper notamment les flux migratoires allant d’Afrique vers l’Europe.
Le ministre italien de l’Intérieur, Marco Minniti, a indiqué que des tribus du sud de la Libye ont signé, le vendredi 31 mars 2017, à Rome un accord de paix en douze points qui prévoit, entre autres, un contrôle des 5 000 kilomètres de frontières.
«Une garde frontalière des Touareg libyens et les Toubous sera opérationnelle pour surveiller les frontières du sud de la Libye sur 5 000 kilomètres», a précisé, le 3 avril 2017, Marco Minniti au journal La Stampa.
«Sécuriser la frontière au sud de la Libye signifie sécuriser la frontière au sud de l’Europe», a-t-il ajouté, précisant que ce nouveau dispositif complètera au Nord l’action des garde-côtes.
Selon la même source, «près de soixante chefs de tribus, notamment les chefs de la communauté toubou, de la tribu arabe des Awlad Suleiman et des Touareg, étaient à Rome pour s’entendre avec le gouvernement italien».
Était également présent un représentant du gouvernement libyen d’union nationale. Pour amener tout ce beau à accepter le deal, les Européens ont mis sur la table un gros paquet d’argent. Fayez Al-Sarraj s’était déplacé en personne à cette réunion pour demander notamment 800 millions d’euros à l’Europe.
Le Gouvernement libyen d’union (GNA) est lui aussi partie prenante de l’accord. Le Premier ministre Fayez Al-Sarraj et son homologue italien Paolo Gentiloni avaient aussi signé le 2 février dernier un mémorandum d’accord visant à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine depuis la Libye et prévoyant notamment la création de camps pour accueillir les migrants et les inciter à retourner dans leurs pays lorsqu’ils ne peuvent prétendre au statut de réfugié. Le Parlement de Tobrouk a toutefois refusé de valider cet accord.
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© Souhail Ftouh pour Europe Israël
Il ne fera pas bon d’être immigrants de ce côté-là!
Et après l Europe veut qu’on lui fasse con fiancé en matière de sécurité ?
Gardez les frontières subsaharienne par les libyens eSt on sur que des terroristes ne passent pas
?
L’argent ne peut que favoriser la corruption .
Les tribus vont toucher des deux cotés .