Je suis tombé sur une petite réflexion pleine de bon sens. En effet, le sage et vigilant professeur Efraim Inbar, du Center for Strategic Studies, a récemment écrit : « En prenant en compte la façon dont les adversaires d’Israël ont évolué au fil des décennies, le désir collectif partagé par les Israéliens, d’une victoire décisive du même style que celle de 1967, est irréaliste ».
« Le faux espoir d’une telle victoire entrave la lucidité et la clarté de la pensée, et, provoque, des pertes de confiance du public israélien, à la fois en son armée, et, dans ses cercles politiques dirigeants ».
« La seule approche qui puisse réussir, dans les divers conflits actuels que connaît Israël, repose sur un usage patient, répétitif de la force, de l’ordre d’une guerre d’usure. Les Israéliens devraient se réconforter à l’idée, que le temps joue en faveur d’Israël », précise le professeur Efraim Inbar.
Que D. et le peuple juif israélien entendent Efraim Inbar !
Michel Garroté pour Europe-Israël
le problème de Tsahal c’est que les soldats en présence d’un terroriste en Judée Samarie , n’ont plus le droit de tirer en direction du terroriste en légitime défense
j’ai peur pour ces jeunes soldats
Vous aves raison!
Il est évident que le temps joue en faveur d’Israel et qui plus est en défaveur des arabes et de l’Europe ce qui creuse doublement l’écart. Cependant il est faux de prétendre qu’une nouvelle victoire du type de 196è est irréalisable, bien au contraire : la prochaine guerre si guerre il devait y avoir verrait la disparition des Etats arabes.
« L’espoir d’une victoire décisive du même style que celle de 1967 » serait donc « irréaliste », c’est possible mais ce serait bien dommage. Je me rappelle qu’il y a cinquante ans là où je travaillais tout le monde était pour Israël, sauf quelques stagiaires arabes qui pensaient être bien informés (à la différence de sales Français) et apprenaient par les radios qu’ils écoutaient que les forces sionistes avaient été enfoncées et même que les généraux égyptiens se baignaient sur les plages de Tel-Aviv. Comme nous avons pu nous amuser à voir leurs têtes quand leurs propres sources d’information ont bien dû leur avouer la vérité. J’y repense avec nostalgie.
« L’espoir d’une victoire décisive du même style que celle de 1967 » serait « irréaliste », nous dit Michel Garroté. Ce serait bien dommage. Je me rappelle qu’il y a cinquante ans là où je travaillais tout le monde était pour Israël, sauf quelques stagiaires arabes qui pensaient être bien informés (à la différence de sales Français) et à qui les radios qu’ils écoutaient racontaient que les forces sionistes avaient été enfoncées et même que les généraux égyptiens se baignaient sur les plages de Tel-Aviv. Comme nous avons pu nous amuser à voir leurs têtes quand leurs propres sources d’information ont bien dû leur avouer la vérité. Le vieux monsieur que je suis y repense avec nostalgie.