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Election présidentielle : l’extrême gauche fait monter la tension dans les grandes villes à l’annonce du duel Le Pen-Macron


Election présidentielle : l’extrême gauche fait monter la tension dans les grandes villes à l’annonce du duel Le Pen-Macron

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A Nantes, Rennes ou encore Bordeaux, de nombreuses personnes sont descendues dans la rue pour protester contre les résultats de l’élection à l’appel de mouvements antifascistes. Ils refusent de devoir choisir entre «un banquier» et «une raciste».

Des manifestations spontanées ont éclaté dans l’Hexagone peu après la publication des premiers résultats de l’élection présidentielle, qui a vu Emmanuel Macron et Marine Le Pen se qualifier pour le second tour. Si la présence de la candidate du Front national (FN) est un moteur de ces mouvements qui se tiennent majoritairement en terres hostiles au FN, celle de l’ancien employé de la banque Rothschild l’est tout autant. Les manifestants dénoncent en effet une «mascarade électorale».

Nantes : «ni banquier, ni raciste»

A Nantes, une centaine de manifestants ont défilé dans les rue en scandant «ni Le Pen, ni Macron». Ils répondaient notamment à l’appel du collectif Nantes ingouvernable lancé il a quelques jours : «Quels que soient les deux finalistes du spectacle électoral, nous aurons toutes et tous une bonne raison de nous retrouver dans la rue, plutôt que d’assister, médusés et isolés à la soirée électorale devant un écran.»

A plusieurs reprises les forces de l’ordre sont intervenues pour diviser le cortège, ce qui n’a pas empêché les dégradations de mobilier urbain ou les feux de poubelles.

Bordeaux : «Macron, Le Pen même combat»

A Bordeaux, menée par des militants antifascistes, une centaine de personnes ont défilé dans les rues avec des slogans tels que «Plus d’élections, autogestion», ou encore «la jeunesse emmerde le Front national» mais aussi «la jeunesse emmerde le front républicain» et «Macron, Le Pen même combat»

Des fumigènes ont été allumés derrière un banderole «On vaut mieux que ça» et quelques feux de poubelles ont émaillé le parcours improvisé ainsi que des jets de projectiles à l’encontre des forces de l’ordre, qui sont parvenues à disperser le cortège vers 22h30.

Rennes : «Macron, Le Pen, on n’en veut pas»

Dans la ville de Rennes, malgré un arrêté préfectoral interdisant tout rassemblement dans le centre-ville, environ 200 personnes sont parties en manifestation sauvage.

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Ils ont défilé dans les rues aux cris de «Macron, Le Pen, on n’en veut pas» ou encore «Rennes debout, soulève-toi», sans causer de dégâts majeurs.

Un important dispositif policier était déployé, qui a pu «nasser» les manifestants.

Rouen :«A bas les élections et vive la démocratie !»

Une centaine de personnes se sont rassemblées à Rouen derrière une banderole «Les Français ont leur présidentielle, les révolutionnaires ont Rouen». Aucun incident majeur n’a été à déplorer.

Toulouse et Strasbourg : rassemblements anti-FN

Dans la ville rose, le rassemblement se focalisait davantage sur la candidate du Front national, que sur la «mascarade électorale». Une centaine de personnes s’étaient réunies sur la place du Capitol

De la même manière, quelques personnes se sont rejointes à Strasbourg, pour marquer leur mécontentement de voir la candidate du FN présente au second tour. Elles ont brièvement bloqué le tram, avant d’être dispersées par la police.

Ces actions dans de nombreuses villes ont fait écho à la «nuit des barricades» dans la capitale, où quelques minutes après l’annonce du résultat du premier tour de l’élection présidentielle, des violences ont éclaté.





Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • 2 thoughts on “Election présidentielle : l’extrême gauche fait monter la tension dans les grandes villes à l’annonce du duel Le Pen-Macron

    1. Salmon

      hier je promenais ma toutounette sur un trotoire étroit un scooter est arrivé derriere moi , il avait aucune raison d’etre sur ce trotoire , il avait le keffieh

      et faisait comme si il allait nous ecraser

      ce n’est pas la 1ere fois !

    2. Slam

      Lu dans un quotidien : « Un keffieh à scooter a glissé sur un trottoir et s’est encastré dans une vitrine. Le commerçant mis en examen pour islamophobie. »

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