Le président américain Donald Trump recevra le 03 mai prochain Mahmoud Abbas, afin de tenter de relancer l’effort de paix, a annoncé mercredi la Maison Blanche.
deux mois et demi après la rencontre avec Benjamin Netanyahou, c’est au tour du président de l’autorité « palestinienne » de se voir invité à Washington pour discuter du processus de paix. «Cette visite permettra de réaffirmer l’engagement des États-Unis, comme des dirigeants palestiniens, à rechercher – et à terme conclure – un accord visant à mettre fin au conflit», a déclaré Sean Spicer, porte-parole de l’exécutif américain, lors de son point presse.
Abbas a quant à lui affirmé être disposé à rencontrer le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou dans le cadre d’une réunion tripartite avec le président américain Donald Trump: « Je suis prêt à rencontrer le Premier ministre d’Israël à n’importe quel moment à Washington sous le patronage du président Trump« , a déclaré le responsable palestinien au quotidien japonais Asahi Shimbun. Une importante délégation palestinienne comprenant le négociateur palestinien Saeb Erekat et le chef du service de renseignement général palestinien Majid Faraj, partira à Washington dimanche pour se préparer au sommet Trump-Abbas. « Nous sommes heureux que l’administration américaine entendent ce que nous avons à dire, et pas par le biais d’un tiers », a déclaré Abbas au quotidien japonais. « Nous avons demandé à l’administration américaine qu’elle s’engage dans un accord de paix entre Palestiniens et Israéliens (…) sur la base de deux États sur les lignes de 1967 », a-t-il ajouté.
Le mois dernier, à l’issue du sommet annuel des chefs d’état arabes (en Jordanie), Abbas avait jugé que la nouvelle administration américaine « pense sérieusement à trouver une solution à la question palestinienne », avait affirmé M. Abbas. « Nous dialoguons régulièrement avec l’administration du président Trump. Elle nous a demandé notre avis sur de nombreuses questions, nous avons répondu à ses interrogations et expliqué notre position sur tous ces points ». Abbas était reparti de Jordanie en ayant obtenu l’assurance des pays arabes qu’ils réaffirment leur soutien à l’initiative de paix de 2002, qui prévoit une reconnaissance d’Israël par l’ensemble des membres de la Ligue arabe une fois obtenue la création d’un état « palestinien ». « L’administration américaine attendait les décisions du sommet, notamment parce qu’elle veut faire avancer le dossier palestinien », avait ajouté M. Abbas. Et toutes ces positions endossées par la diplomatie arabe « auront un impact positif » lors des rencontres à la Maison Blanche, a-t-il poursuivi.
La volonté semble forte coté arabe de régler ce conflit, mais si on gratte le vernis on trouve une toute autre réalité: Le leader du Fatah a dernièrement été très clair sur leur non-reconnaissance d’Israël (comme le Hamas). Or Mahmoud Abbas est du Fatah, comme l’est l’autorité « palestinienne »… Donc soit ils se foutent de nous, soit… Ils se foutent de nous.
Le président Trump a posé 9 conditions préalables à toutes discussions de paix, parmi elles l’arrêt des paiements des familles de terroristes. Or la ligne actuelle de l’AP est de réduire les salaires et augmenter les paiement des familles de terroristes. Une autre réclame la fin de l’incitation au terrorisme: pourtant le Fatah a encore sorti dernièrement un clip musical glorifiant le terrorisme… L’administration américaine est consciente de la situation, et reconnaît que la paix sera difficile à obtenir car « On a trop donné » aux « palestiniens » sans contrepartie. Cette rencontre sera très certainement l’occasion pour le président Trump de poser clairement les termes d’une solution, mais surtout de mettre le monde arabe face à ses responsabilités, pour peut-être enfin permettre à Israël d’espérer la paix…
© Ari pour Europe Israël
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