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Le chef d’Etat américain a loué le rôle de l’Alliance atlantique dans la résolution des crises mondiales, et présenté son homologue syrien comme un boucher… Des déclarations bien différentes de celles qu’il tenait durant la présidentielle de 2016.
Le président des Etats-Unis a affirmé au côté du secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg, le 12 avril, que l’Alliance atlantique était un «rempart pour la paix internationale», a rapporté l’AFP. Plus spécifiquement, le chef d’Etat américain a estimé que les pays de l’Alliance devaient «travailler ensemble pour résoudre la catastrophe qui a lieu actuellement en Syrie». Remerciant les pays de l’OTAN pour leur condamnation de l’attaque chimique supposée attribuée, sans preuves, par Washington à l’armée syrienne, le chef d’Etat n’a pas hésité à qualifié le président syrien, Bachar el-Assad, de «boucher».
Ce serait «merveilleux» si l’OTAN et la Russie s’entendaient, a-t-il par ailleurs tenu à ajouter.
Le même jour, le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson, en visite à Moscou, a réaffirmé la volonté des Etats-Unis de voir Bachar el-Assad quitter le pouvoir. Aux yeux du secrétaire d’Etat, il n’y a toujours pas de place pour le président syrien dans l’avenir de son pays. Une position différente de celle de son homologue russe, Sergueï Lavrov, qui a fait valoir que si Bachar el-Assad venait à être renversé, le groupe terroriste Etat islamique (EI) risquait grandement de remporter le conflit syrien.
Le 12 avril toujours, le président russe Vladimir Poutine a dénoncé le soutien unanime des membres de l’OTAN aux frappes aériennes américaines sur une base syrienne du 7 avril, opérées en représailles de l’attaque chimique présumée.
Le discours du locataire de la Maison Blanche, sur l’OTAN et Bachar el-Assad, contraste avec les propos qu’il avait tenus au cours de la campagne présidentielle.
Le candidat républicain avait en effet remis en cause à plusieurs reprises la pertinence de l’OTAN pour les intérêts américains. Une fois élu, il avait par ailleurs suscité de vives réactions parmi les alliés otaniens de Washington, en qualifiant l’organisation militaire d’«obsolète»… et en déclarant qu’elle pouvait conduire à une Troisième guerre mondiale.
je dit oui a l’Otan uniquement si ont expulse la Turquie de Erdogan dehors mais c’est vrai que bashar est un boucher
La menace mondiale, c’est i-slam, avec son admiration béate pour le terroriste Mahomet. Donc c’est la Turquie, qui avait bombardé avec tellement de jouissance des millions de chrétiens orthodoxes serbes, alors que c’était pourtant les mahométans qui brûlaient des centaines d’églises, qui tuaient des milliers de chrétiens, et qui volaient le Kosovo aux chrétiens. Les mahométans ont déjà massacré « 669 million non-muslims », et il est urgent de virer la Turquie hors de l’Otan, si on veut pouvoir un jour se défendre contre i-slam qui veut absolument nous détruire!