Depuis longtemps, David Goodhart avertit les Britanniques que l’idéologie multiculturaliste constitue une menace à moyen terme pour les Etats-providences.
Il faut choisir entre deux modèles de société, disait Goodhart. Celui de la Suède, cette nation très homogène où l’Etat-providence vous accompagne du berceau à la tombe, ou celui des Etats-Unis, où l’individualisme et la diversité font qu’on se sent peu d’obligations réciproques.
Le modèle multiculturaliste n’a plus la cote auprès des Britanniques. On se souvient comme ils se moquaient, de notre modèle d’intégration républicain… Si l’on en croit Goodhart, le multiculturalisme n’est plus qu’une « idéologie qui a dominé les années 80 »….
Passée de mode
Et il cite une critique qui les résume toutes, celles de Maajid Nawaz, journaliste et homme politique libéral-démocrate, « au lieu d’introduire de la diversité dans la société, le multiculturalisme introduit de la diversité entre les groupes ethniques d’une même société».
Il me parait évident que : s’il y a plus d’importés que de résidents, la solidarité sera à l’avantage du plus grand nombre, surtout s’ils sont solidaires en une autre chose commune… (l’islam par exemple) et si le tissu social d’accueil est déliquescent autour de valeurs pourtant fondamentalement communes. L’humanisme.
C’est pourquoi il faut considérer que tous les musulmans sont complices, « chacun à son niveau » du projet de Mahomet, le Créateur d’Allah : avoir raison quand on a tort.
Le christianisme demande repentance de mauvais actes, qu’ils soient contre les amis ou les ennemis. Mais l’Islam encourage des actes de violence contre les mécréants, les juifs, les chrétiens, les apostats, etc. dont une religion inventé par des détrousseurs des caravaniers, la loi du talion, etc. Donc, l’humanisme de la culture judéo-chrétienne occidentale ne lutte pas à armes égales contre l’Islam.