Pour un « journaliste » de La Voix du Nord, le FN étant un parti qui propage la haine, il est donc normal d’influencer le lecteur pour qu’il vote correctement.
Voter correctement… sous-entendu, voter comme notre journal le désire…
La propagande et le militantisme ont donc remplacé l’information, et cela semble tout à fait normal pour cet « activiste »!
Déborah pour Europe-Israël.org
Elle est chez qui, la haine , journaleux coco ? !!!
Quand tu parles d’ISRAEL , c’est pas toi qui la répand la haine !!!
Tu n’es pas humain, tu trahis ce mot. Tu n’est qu’un robot idéologisé qu’il conviendrait de déconnecter.
Elle est chez qui, la haine , journaleux coco ? !!!
Quand tu parles d’ISRAEL , c’est pas toi qui la répand la haine !!!
Tu n’es pas humain, tu trahis ce mot. Tu n’es qu’un robot idéologisé qu’il conviendrait de déconnecter.
À la limite, ce n’est pas que des journalistes soient partiaux ou « engagés », comme ils disent.
Le problème, c’est que dans la grande majorité des cas, ils le cachent à leur public, leur faisant croire qu’ils sont neutres et fournissent une information objective, impartiale.
C’est cette hypocrisie, cette façon de tromper les gens qui posent problème.
Dreuz info, par exemple, se réclame de la droite libérale et conservatrice, mais au moins, l’annonce clairement. Aucune entourloupe.
Le deuxième problème, c’est le nombre de médias engagés à gauche, voire à l’extrême-gauche, écrasant par rapport à ceux engagés à droite.
Il y a de ce fait une uniformisation de « l’information » (biaisée) et une forme d’injustice pour le public de droite, ou même sans opinion.
En France, cela se traduit par l’immixtion de l’État dans la plupart des médias.
Aux USA, ce sont des milliardaires comme Soros, comme par hasard mondialistes et libertaires qui s’immiscent dans les médias.
Il n’en demeure pas moins que des types comme ce « journaliste » de la Voix du Nord méritent notre plus profond mépris, et que ce torchon est à boycotter. Il y a des baffes qui se perdent, dirait Obélix.
il manque « qui pose problème » dans ma première phrase.