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Le Président de Slovaquie Andrei Kiske, a fait en Israël une déclaration étonnante. Durant un discours il a déclaré : « Quand j’avais 27 ans, je suis parti aux Etats-Unis. Ma femme est restée ici avec les enfants. Comme je ne trouvais pas de travail en tant qu’ingénieur, j’ai travaillé un temps dans une station service.
Mon patron était un juif Ukrainien, j’ai vu alors comment la communauté juive était unie et quand je suis rentré chez moi en Slovaquie, je me suis aussi demandé, pourquoi ne deviendrais-je pas juif ? J’ai vraiment admiré cette communauté et cette rencontre a eu un grand impact dans ma vie, cette communauté est la plus grande source d’inspiration que j’ai reçu.
Lorsque vous avez un problème, vous travaillez avec passion pour trouver une solution, vous travaillez dur et vous savez que vous pouvez le solutionner. Le grand défi de nos jours est de savoir comment faire de nos rêves une réalité.
Que pouvons-nous faire quand nous voyons que le monde devient de plus en plus radicale, de plus en plus dangereux ? Je pense que la réponse est que nous devons nous soutenir ensemble derrière nos valeurs, comme cela est le cas dans votre communauté ». (Source Koide9enisrael)
LE PLUS. Andrej Kiska, est un homme d’affaires, philanthrope et homme politique slovaque indépendant de tout parti. Le 29 mars 2014, il est élu président de la République slovaque par 59,4 % des suffrages exprimés ; il est investi dans ses fonctions le 15 juin suivant.
En 1986, Andrej Kiska obtient un diplôme d’ingénieur en microélectronique à la Faculté de génie électrique de l’École supérieure technique de Bratislava. Il travaille ensuite en tant que projeteur pour Naftoprojekt à Poprad. En 1990, il part pour les États-Unis, où il effectue des travaux manuels sur des chantiers, ou dans des stations services où il vendait des sandwiches. Il perd totalement l’argent économisé qu’il avait investi dans une société financière qui fait faillite quelques semaines plus tard. Il affirme néanmoins que ce séjour en Amérique l’a beaucoup influencé par la suite en lui insufflant le goût d’entreprendre.
Il devient effectivement entrepreneur, fondateur des sociétés de micro-crédit TatraCredit, Triangle et Quatro en 1996, dont le succès fait de lui un millionnaire1 et qu’il cède en 2005 à la banque VÚB (sk) affiliée au groupe Intesa Sanpaolo quand il crée la fondation caritative Dobrý Anjel (Le « bon ange ») en 2005.
En novembre 2006, il remporte le titre de « Manager de l’Année ». En 2011, il obtient le prix de l’Aile de cristal. Il démissionne de la présidence du conseil d’administration de la Fondation Dobrý Anjel, que reprend sa femme Martina Kisková à partir du 1er juin 2013, pour se consacrer à sa candidature à l’élection présidentielle.
Victoire à la présidentielle de 2014
Sans appartenance partisane ni passé en politique, il est le premier candidat déclaré à l’élection présidentielle de mars 2014. Il axe ses discours politique sur la lutte contre la corruption et la concentration des pouvoirs.
Les sondages le placent rapidement en troisième puis deuxième place. Il s’affirme alors comme le challenger du favori, le chef du gouvernement en fonction Robert Fico.
Il est effectivement le soir du premier tour à la deuxième place avec 24 % des suffrages exprimés, contre 28 % à Robert Fico et 21,2 % à Radoslav Procházka. Trois candidats : Pavol Hrušovský, Milan Kňažko et Radoslav Procházka annoncent leur soutien à Andrej Kiska pour le deuxième tour, craignant principalement une concentration des pouvoirs en cas d’élection de Robert Fico.
Ces soutiens confortent la position de challenger d’Andrej Kiska, qui l’emporte lors du second tour par 59,4 % des suffrages exprimés8 et une forte augmentation de la participation (même si celle-ci n’atteint que 50,5 % contre 43,4 % au premier tour). Robert Fico fait savoir qu’il compte rester chef du gouvernement.
Le 16 octobre 2016, Andrej Kiska rencontre le 14e dalaï-lama à Bratislava. Wang Yi, ministre chinois des Affaires étrangères, critique alors le président slovaque en raison de « la forte opposition » de Pékin à toute rencontre officielle du leader tibétain qu’il accuse d’indépendantisme.
Hélas ce témoignage émouvant cache celui des juifs honteux en Israel, aux US et un peu partout dans le monde, qui soutiennent le boycott d’Israel.
Hélas, dès qu’un juif en diaspora ou en Israel est embrigadé à gauche banale ou extrême il oublie sa judéité pour se conformer et épouser les « bobards » contre son propre peuple.
Des auteurs et psychanlistes réputés donnent un nom à ce phénomène récurrent chez les juifs parvenus : « la haine de soi ».
Pour répondre à Maiman : heureusement il y a des millions de gens non-juifs
( moi compris ! ) qui aiment et respectent les juifs ,leurs frères.
Je pense exactement la même chose… je regrette de ne pas être juive, bien que ma famille a des doutes sur l’origine de mon grand-père qui serait un juif
qui a mal tourné… car comme kolabo il s’est tapé 7 ans à l’ile de RE… J’ai des lettres de lui et des échanges avec son avocat que je publie dans mon livre…
Mais pour avoir tenu pendant un an le rayon boucherie d’une supérette tenue par une famille juive, j’en garde les meilleurs souvenirs de ma vie… quelle différence d’intelligence de vie
entre la joie de vivre des juifs et la tristesse des français incapables dr rendre le moindre service…