Depuis quelques mois, la bande de Gaza connaît une recrudescence d’abandon d’enfants, trouvés dans la rue. Ainsi, depuis le début de l’année ce sont trois incidents distincts (27 janvier, 4 février, 20 février), durant lesquels ont été trouvés abandonnés des nouveaux-nés, à la porte d’orphelinat ou de mosquée. Ainsi, le 04 février dernier, la police gazaouie a apporté un nourrisson trouvée à la porte d’une mosquée du nord de la bande de Gaza, âgé de seulement quelques jours. Le 27 janvier et le 20 février, c’était en face de l’ Institut Al-Amal pour les orphelins dans la ville de Gaza (source).
Qu’est-ce qui pousse la société « palestinienne », plutôt conservatrice, à abandonner ainsi des enfants? Selon un article Breitbart, les « crimes d’honneur » ont connu un pic ces derniers temps: ainsi, des hommes n’hésitent pas à tuer des femmes de leur propre famille sur une simple suspicion d’infidélité ou de relation hors-mariage » (NDLR: conformément à la charia). Selon une source locale (de Breitbart), gaza connaîtrait environ 20 crimes d’honneur par an, mais aucun ne donne lieu à des poursuites.
Les gazaouis préfèrent invoquer la pauvreté pour expliquer ces abandons. Pourtant, selon Al Monitor, la psychologue Zuheir Mallakha exclut la pauvreté comme motivation: la société Gazaouie croit que chaque nouveau-né apporte sa propre fortune avec lui. Selon elle, les enfants ont probablement été conçus hors mariage, et les parents ne pouvaient pas trouver un moyen d’interrompre la grossesse.
Les deux enfants pourraient avoir été conçues dans un incident de viol, mais il est impossible de le confirmer. Normalement, la famille de la victime d’un viol craint le jugement de la société. Ils ne tuent pas la femme parce qu’elle est une victime mais plutôt comme une coupable.
Comme il n’y a pas de test ADN, l’abandon d’enfant reste la « solution » retenue pour la société « palestinienne » afin d’éviter le scandale. Les nourrissons sont pris en charge par les instituts locaux, qui pourvoient à leurs besoins et les inscrit dans les écoles et universités.
Quant aux crimes d’honneurs, entre 2010 et 2014, on dénombre 64 cas selon des organisations des droits de l’homme( source), rien qu’à Gaza. Les investigations sont vites closes, tant par la pression sociale que par la famille ou même parfois le gouvernement du Hamas. Ainsi, non seulement les droits des femmes sont foulés aux pieds, mais aussi ceux des enfants: une société où ne semble compter que la haine terroriste contre leur voisin israélien…
© Ari pour Europe Israël
Ces goys qui défendent Israël sont toujours là ?
pauvre victime de viol , pauvre victime du hamas , pauvre victime du puritanisme islamique et quelle misère que d’abandonné un enfant ou sinon la fille sera victime de crime d’honneur ( inhumain )
L’humanisme arabe ..
Edifiant
Une chance, avez vous dit ? Pour qui ?