Peu à peu, Macron, candidat fantôme de l’Elysée, révèle son vrai visage, soit la quintessence de ce que la France, spirituellement et intellectuelle moribonde, peut produire de pire, pour nous, et de plus présentable pour les maîtres de la mondialisation qui ne peut qu’adouber aucun autre candidat, depuis que Fillon s’est empêtré dans une affaire qu’il tente de faire passer à la trappe, comme on le fait généralement, en France, depuis Mitterrand et l’affaire de l’Observatoire, les ballets roses de la IVe République, le sang contaminé, et tant d’autres affaires, encore, notamment les plagiats auxquels se livrent Attali, Minc, Josette Macaron, nuisibles insectes dont on voudrait nous nourrir, de préférence à Bloy, Péguy, Bernanos ou Muray.
Dans le monde anglo-saxon, cette racaille politico-médiatique eût été renvoyée à ses foyers. La France, elle, est toujours, faute de roi, en quête de l’homme providentiel qui la rendrait à elle-même et à sa grandeur. Or, la France (appelons-la ainsi par générosité post-historique) est morte, donc incapable de susciter un homme providentiel, nous le savons depuis le règne sinistre de Mitterrand, ce socialiste maurrassien qui n’a laissé que des bâtards et les conditions de l’impasse où nous nous trouvons.
Providentiel, c’est pourtant ce que serait Macron, à en croire la gent folliculaire et les people qui se « rallient » à lui comme s’il s’agissait là d’un général en exil.
En vérité, ce jeune homme sémillant ne fait qu’entériner la mort française, dont Hollande et sa clique sont les croque-morts rigolards. Deux de ses récentes déclarations le prouvent à l’envi : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture, en France. Elle est diverse », a-t-il clamé.
Ou bien Macron parle pour lui, et l’adjectif « diverse » est un euphémisme évoquant sa propre inculture ; ou bien il nie la diversité millénaire et naturelle de la culture française, qui existe, quoi qu’il en dise, tandis qu’il souscrit, lui, au multiculturalisme idéologique dont il est le zélé laquais. Penchons pour un métissage des deux hypothèses.
L’autre déclaration continue de faire du bruit : la colonisation française en Algérie est un crime contre l’humanité ; rien de moins. On nous avait appris, à l’école, que c’était une épopée et une œuvre de civilisation, ce que je continue de croire en grande partie, même si elle a aussi suscité des injustices, notamment en Afrique noire, comme l’a montré Gide dans son Voyage au Congo. Présenter nos « excuses » à l’Algérie de Bouteflika et de sa clique, dont les abus et la corruption sont bien pires que la colonisation française, voilà qui est insupportable.
Et puisqu’on parle de crime contre l’humanité, c’est toute la conquête arabe qui doit être déclarée telle, notamment la civilisation arabo-andalouse et la prise de Constantinople, jusqu’au terrorisme islamique d’aujourd’hui…
Devant le tollé produit par cette dernière déclaration, Macron a « demandé pardon » à ceux qu’il a blessés. On ne glosera par sur cette « culture de l’excuse », qui n’excuse ni n’efface rien, surtout pas l’inconsistance et la servilité idéologique d’un homme qui n’est en fin de compte que de la macreuse avariée.
Richard Millet Chronique n°123
Terrible « le macronisme », qui nécrose la culture française, pour privilégier la culture « arabo-andalouse », (un mythe manipulateur arabe). Point.
Qu’un Ministre qui n’a rien fait, à part favoriser les voyages en car à Vannes, ait les faveurs de la Presse. Rien d’étonnant ; une grande partie des journalistes francais est de sensibilité de goooooche et attirée par le Néant puisqu’elle ne comprend rien au monde actuel.
Qu’un jeune politicien ambitieux qui n’est ni de gauche , ni de droite, mais penche à gauche, qui veut marcher par tous moyens, voile ou vapeur, s’estime compétent pour diriger un pays qu’il ne connaît pas et.qu’il ne comprend pas vraiment, est sidérant.
Il a commencé sa campagne lectorale à la Présidence de la France à Alger.
Il serait souhaitable qu’il reste en Algérie et se présente à la succession de Bouteflika.
Il est pénétré de culture arabe, mais impropre à la Présidence d’un pays libre.
Il etait une fois la france .