Quelle que soit la responsabilité réelle de la gauche et de l’Élysée dans l’éclatement fort opportun de l’affaire Fillon, il est d’autres bombes – à retardement, celles-là – que notre Président finissant pose méticuleusement, trois mois avant son départ, pour dynamiter le prochain quinquennat.
Est-ce l’amertume d’avoir été empêché de se représenter ? Est-ce le plaisir mesquin d’user jusqu’au bout du pouvoir et de piéger son successeur ?
Il faut dire que, pour laisser des peaux de banane à son successeur, M. Hollande n’a pas à se forcer : le chômage atteindra des sommets, la dette et les déficits aussi – chiffres truqués ou pas. Et ne parlons pas de la croissance façon Sapin, mais sapin ratatiné à 1,1 %… Dans ces conditions, le prochain Président (de droite, souhaitons-le) devra procéder à un audit sans concessions des finances publiques, comme M. Balladur l’avait fait en 1993 et, plus généralement, de l’état de la France ; et pas seulement en matière économique. D’ailleurs, la campagne électorale devrait être l’occasion de faire cet état des lieux, quand elle entrera enfin dans le vif du sujet et demandera des comptes à la gauche.
Mais, ces jours-ci, M. Hollande, un peu comme Obama avait voulu lier les mains de Trump quelques jours avant son départ sur les questions internationales (climat, question palestinienne), a décidé d’imposer ses hommes pour la diplomatie du prochain Président.
En effet, il souhaite, lors des prochains Conseils des ministres, remplacer nos ambassadeurs dans les grandes capitales. Rien que cela ! Les diplomates en poste à Berlin, Moscou, Pékin, Tokyo et Washington seraient concernés ! Un décret serait en préparation pour le prochain Conseil des ministres !
Quelle hâte finale… En effet, la « demande d’agrément » adressée aux pays concernés met en moyenne de quatre à six semaines, auxquelles il faut ajouter deux ou trois semaines pour la rédaction et la signature des décrets individuels de nomination.
Les nouveaux ambassadeurs ne prendraient donc leurs fonctions que vers la mi-avril, quelques jours avant l’élection et la fin du mandat de M. Hollande.
Le calendrier est choquant, mais aussi l’ampleur du mouvement !
Or, la tradition républicaine en ce domaine consiste à laisser seulement deux ou trois postes importants aux diplomates du Président sortant. Et jamais un Président sortant n’avait osé imposer ce qui serait un véritable verrouillage de la diplomatie pour le nouveau Président !
Rappelons qu’en France, il n’existe pas de spoil system et que son successeur serait lié par ces nominations ! Alors que, dans le contexte mondial chamboulé par le Brexit, l’élection de Trump, le nouveau rôle de la Russie et le terrorisme, notre diplomatie sera forcément à infléchir !
Face à ces pratiques inacceptables et hors normes, les Français doivent porter à l’Élysée un homme ou une femme capable de rompre franchement avec ces abus de pouvoir d’un Président rejeté par tous, y compris par son camp.
Ce Président, qui a si mal usé du pouvoir quand il l’avait, ne doit pas continuer à imposer ses vues et ses hommes après son départ. Nous savons que son successeur, lui, aura l’élégance républicaine de le raccompagner dans la cour de l’Élysée mais, la portière poliment refermée, l’intérêt de la France commandera de rompre franchement avec toute sa politique.
La continuité de l’État n’a jamais consisté à persévérer dans les pires erreurs. Surtout dans les moments historiques que nous vivons.
c’est Hollande qu’il faut dynamité avant son départ …c’est un vrai poison ce type là !!
Hollande le petit , le minable .
Il l’aura été jusqu’au bout .
Comme sont d’autres minables, qui l’ont aidé à arriver là où il est, il sait qu’il n’est pas tout seul !
Son père , ex Algérie française , aurait appelé cela la politique de la terre brûlée
Et pourquoi le nouveau président ne pourrait-il pas remplacer ces ambassadeurs, une fois élu ?
Un ministre ne choisit-il pas les membres de son cabinet ?
Les ambassadeurs ne peuvent-ils pas être assimilés à de proches collaborateurs du ministre des affaires étrangères ?
Si un ambassadeur désobéit à son ministre, ce qui semble se dessiner avec ces nominations politiques, les dirigeants élus ne peuvent-ils pas le virer ?
Quelque chose m’échappe.
La mesquinerie et la vilenie foncières de Hollande ne m’échappent, en revanche. Si nous étions en 1789, je crois qu’il aurait été vite fait suspendu à la lanterne, par le cou.
Cet homme est un véritable poison , machiavelique et trés malsain
Qu’il quitte vite le pouvoir , on ne pleurera pas.
Et pour que le peuple ne voie rien, leurs médias mainstreams font diversion et saturent l’opinion avec des histoires insignifiantes comparées aux enjeux décisifs des prochaines présidentielles :
Lire les articles d’ Europe_israël :
– « Affaire Fillon : lynchage pour 2218,75€ par mois »
– « « Affaire Fillon » : La grande manipulation des Médias et du gauchisme mondain, porteurs de la haine de soi ! »
Non il ne faut absolument pas que hollande, cette crevure de 1ere classe , quitte sa minuscule fonction avec voiture et sourire.
Ce minable individu, menteur, voleur, collabo, assassin doit payer après un jugement populaire. Une saisie de ses biens et un emprisonnement à vie seraient la moindre des choses. Nous sommes en guerre et comme en 45, pour les traites à la nation, les règlements de compte s’imposent.