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Benoit Hamon arrivé en tête de la primaire de la gauche devant Manuel Valls déclarait en septembre 2007 « Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs ».
À huit ans, le jeune garçon Benoit Hamon part vivre avec papa, maman, ses frères et soeurs, à Dakar au Sénégal où son père a été nommé coopérant, pour former des ouvriers dans le domaine de la réparation des vedettes. Il sera scolarisé dans une institution religieuse, chez les Pères Maristes, et mêlé à des centaines d’enfants venus de nombreux pays, africains, mais aussi européens. « J’ai été très tôt confronté à la diversité des origines, il y avait dans ma classe environ quatorze nationalités différentes et cela m’a profondément marqué ».
De retour à Brest, quelques années plus tard, il éprouve un certain mal à se réadapter. « La rupture a été terrible : la température, la culture, la manière de vivre, les odeurs, tout était trop différent. Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique ».
« Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique »
« J’ai été très sensible à la petite main jaune de SOS racisme : « Touche pas à mon pote ». »
Bt. Hamon. Un socialiste raciste anti-blanc, ne mérite pas représenter la France, qu’il se présente à l’élection présidentielle au Mali, au Liberia, etc. S’il dit cela en Corse, il déguerpi vite-fait !
S’il allait en Israël il dirait peut-être qu’il y a trop de Juifs… En tout cas, avec 6,36 % des suffrages exprimés à la présidentielle de 2017, il a obtenu le plus faible score de la gauche socialiste depuis Gaston Defferre à l’élection de 1969 et il ne peut pas se plaindre d’avoir eu trop d’électeurs. Dégage, bonhomme, on t’a trop vu.