L’ancien Premier ministre australien Tony Abbott a déclaré samedi que si l’administration du président élu des États-Unis Donald Trump déplace son ambassade en Israël à Jérusalem, l’Australie devrait faire de même, a rapporté lundi le site Haaretz.
Dans un article publié dans un journal britannique, The Spectator, Abbott a également appelé le gouvernement australien à couper son aide à l’Autorité palestinienne (AP) qui selon lui subventionne les « terroristes et leurs familles ».
Abbott a participé à la visite de la délégation australienne en visite le mois dernier à Jérusalem et à Ramallah.
Lors de ce voyage, Abbott a rencontré le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ainsi que le Premier ministre de l’AP, Rami Hamdallah.

MOHAMMED ABED (AFP/Archives) « Le Premier ministre palestinien Rami Hamdallah en conférence de presse à Gaza le 25 mars 2015 »
Pour cet ancien dirigeant australien, la volonté de paix avec Israël revendiqué par Hamdallah ne concorde pas avec les faits.
« C’est difficile à croire étant donné que la télévision palestinienne glorifie constamment les attentats suicides, fait référence aux Juifs comme des ‘fils de singes et de porcs’, et soutient que l’État d’Israël est un ‘projet satanique' », a souligné Abbott dans son entrevue avec The Spectator.
« L’Australie devrait couper l’aide donnée à l’Autorité palestinienne tant qu’elle continuera de verser des pensions à des terroristes et à leurs familles », a-t-il ajouté.
L’ancien Premier ministre a également déclaré que Canberra devrait offrir « un soutien inébranlable à Israël en tant que seule démocratie libérale et pluraliste de la région », et « se joindre à tout mouvement de l’administration Trump pour déplacer son ambassade à Jérusalem ».
Les propos d’Abbott interviennent quelques semaines après le vote du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant les implantations israéliennes.

GPO « Australian foreign minister Julie Bishop and Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu, September 4, 2016 in Jerusalem »
La ministre australienne des Affaires étrangères, Julie Bishop avait à ce propos déclaré jeudi que sont pays n’aurait pas rejoint les rangs de son voisin néo-zélandais en faveur de la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU) contre les implantations israéliennes.
Bravo l’Australie et merci ! C’est très encourageant que des pays qui ont du poids, comme l »Australie et les USA de Trump osent sortir défendre Israël publiquement. Certes il faut de courage, mais les raisons existent de ne pas soutenir les terroristes du Hamas et la centaine de groupes terroristes, plus ou moins connus, que existent dans les pays musulmans. On sait qu’Israël est plus soutenu dans la discrétion, car beaucoup de pays n’osent pas affronter la meute. C’est bien triste que l’ONU laisse coloniser l’Europe et les monde par les musulmans, et seulement dicte des votes contre Israël que ne fait que récupérer ses terres ancestrales, volées le long des siècles. Car les juifs n’ont qu’une seule nation pour leur religion et culture, que l’ONU dicte des sentences contre les juifs parce qu’ils colonisent la Judée, est ridicule, cet comme si l’ONU accuserait les arabes de coloniser l’Arabie. Un non sens !
LE CANADA ne le fera pas car, trop de de politicailleries avec les pays mahométans sans parler des centaines de milliers de muzzs déjà dans le pays et qui ont acquis une force incontournable, pour les politiciens qui ne rêvent d’êtres récompenser par les votes ethniques surtout muzzs, TRUDEAU ET SA CLIQUE ou nomenklatura libérale pan canadienne et suivie de très prêt par le québecistan on parle ici du parti libéral de couillard c’est la mode ici comme ailleurs de se coller sur les muzzs pour se faire élire. Le Canada participe a sa propre autodestruction par le MULTICULTURALISTE en ayant pitié de ceux qui ne le mérite pas. le Canada est la porte d’entrée des terroristes en Amérique et de la drogue. Il ne faut pas oublier que sous les libéraux
Israël est un état criminel mais trop hypocrite pour le dire ouvertement.
Il faut que l’Australie ne cède pas et garde sa ligne politique.
Ne pas se laisser envahir par des personnes qui sont potentiellement ennemies de l’Occident.
Tant qu’ils s’en tiennent là, ils seront saufs, et nous serons soutenus par eux.