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Dimanche 18 décembre, la chaîne française M6 diffusait un nouveau reportage sur Jérusalem qui est venu alimenter la défiance chez les Juifs de France autant qu’il a provoqué de nombreuses réactions d’indignation.
Une manifestation devant les locaux de M6, qui a réuni 600 personnes, a d’ailleurs été organisée à Paris le 22 décembre à l’appel d’un Collectif d’urgence, réunissant une vingtaine d’organisations juives et chrétiennes, dont l’organisation Europe Israël.
Parmi les clichés dénoncés sur les réseaux sociaux figurait une présentation ambiguë de l’histoire au cours de laquelle les différentes forces arabes de la région auraient uniquement subi la succession de conflits, sans jamais avoir pris l’initiative des combats.
Face aux critiques, le présentateur Bernard De La Villardière, s’est défendu de parti-pris sur sa page Facebook, et a affirmé avoir voulu « s’en prendre aux extrémistes des deux camps ».
Il a répondu aux questions de Jean-Charles Banoun sur i24news, face à Michael Bar Zvi, professeur de philosophie politique de l’université de Tel-Aviv, suite à la diffusion du reportage « Jérusalem, quand la ville sainte se déchire ».
« On essaie toujours d’être le plus impartial possible même si on sait que sur le conflit israélo-palestinien, c’est extrêmement difficile parce qu’il y a une hypersensibilité de part et d’autre sur les mots que vous employez et sur les choix que vous faites sur le plan éditorial« , a expliqué Bernard De La Villardière, défendant sa connaissance du sujet et du conflit dans une région où il s’est déjà rendu à plusieurs reprises.
Le professeur Michael Bar Zvi a toutefois fait remarquer que du point de vue du « travail », il s’agissait d’un documentaire « entièrement à charge« .
« Ce documentaire est truffé d’inexactitudes, à la fois sur le plan factuel, sur le plan historique, sur le plan géopolitique de même que la sémantique adoptée est uniquement la sémantique pro-palestinienne. Au-delà de cela, il y a également des choix éditoriaux qui sont tout à fait discutables« , a-t-il argumenté.
« Le travail de recherche n’a pas été fait de façon sérieuse, parce qu’il y a des erreurs factuelles gravissimes, et sur un sujet aussi complexe il faut être extrêmement précis. Quand on se trompe sur des chiffres, quand on se trompe sur des dates et quand on se trompe sur des faits historiques qui sont avérés, après on a des difficultés à défendre son travail« , a insisté l’universitaire.
Le présentateur de M6 s’est défendu en expliquant qu’il comprenait « qu’en ce moment les opinions publiques sont extrêmement crispées sur cette question« , estimant qu’il avait « fait son travail » et accusant le professeur Michael Bar Zvi d’avoir « un parti-pris ».
« On sait bien que ce conflit a produit des guerres. C’est pour montrer la dimension de ce conflit qui est structurant de pas mal de choses qui se passent aujourd’hui sur la planète (que nous avons fait ce travail)« , a déclaré Bernard De La Villardière au sujet de son reportage.
Quelques jours après la diffusion de l’émission, les réactions politiques n’avaient pas tardé, notamment avec une tribune publiée par le député des français de l’étranger, Meyer Habib, qui déclarait que « les juifs sont systématiquement présentés dans le reportage comme des « colons », sur leur terre, alors que la présence juive à Jérusalem est plurimillénaire et que depuis le premier recensement de 1844, ils ont toujours été majoritaires dans la ville trois fois sainte« .
le parti pris ici :
VIENT DE MR DE LA VILLARDIERE
De La Villardière : des tombereaux de mauvaise foi déversés tout au long du (faux) débat en coupant la parole et en monopolisant le crachoir. Tellement classique… Michael Bar Zvi aurait dû quitter le plateau.
Puisque le sujet est extrêmement délicat à traiter pour lui, pourquoi prend-il un tel « risque » si ce n’est par intérêts particuliers. Hypocrite de journaleux !
De la Villardière, confond les morts en Israël, avec les morts en Syrie. Accuser mensongèrement Israël, est devenu le « gagne-pain des journaleux antisémites !
il a ete pathetique arrogant agressif accusateur alors que son reportage n etait pas du tt serieux, les elements, les dates etc tt etait faux, en plus le pretentieux au lieu d etre ds l explication etait ds l insulte….!!!!
Berk ce faux professionnel et vrai anti-juif..
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Honte a M6, que ce faux journaliste s occupe de la drogue et des putes comme a son habitude lui l inculte pretentieux qui sert juste a nourrir la haine,et la propagande avec ses faux chiffres berk, berk, berk…
Tout lui est permis ce mec : qu’il aille au Mexique , en Russie , en Afrique , en Amérique etc……il ne commet jamais d’erreurs , il sait tout .
Alors puisqu’il sait tout , il peut tout se permettre .
Mais là il est tombé sur un sujet qui le dépassait et quand on lui met le pif dans la confiture il ne le supporte pas .
Monsieur De la Villardière revenez sur terre et soyez modeste sur un tel sujet qui a dépassé toutes vos connaissances .
Par vos mensonges et votre parti pris vous avez voulu vous attirer la sympathie des muzz .
Les Juifs vous ont remis sur les rails en espérant que la prochaine fois vous tournerez 7 fois votre langue avant de dire des conneries .
Impossible pour Berard de la Villardière de répondre aux question de monsieur Bar Zvi tant il est imprégné de mauvaise foi…
J’aurais aimé UNE question du journaliste : « Reconnaissez vous OUI ou NON que ce reportage contient des erreurs ? »
je félicite le ministère de l’éducation d’Israel car ce Professeur a montrer a ce manipulateur la vérité contre un travail baclé remplis d’inexactitude et de mensonge
De La Villardière n’explique strictement rien, ne répond pas à aucune des questions précises qui lui sont posées sur les erreurs historiques et factuelles de son reportage. Il a passé son temps à éluder la question de fond, en se retranchant derrière des considérations générales hors sujet, non sans manifester une certaine morgue à l’égard d’un interlocuteur universitaire qui se contentait de pointer quelques propos à l’emporte-pièce tenus dans son travail.
La conscience professionnelle, si importante chez bon nombre d’universitaires, n’a pas l’air de compter beaucoup pour le journaliste interrogé. Pour moi, ce critère de justesse est rédhibitoire. M. de La Villardière a prouvé son impuissance à justifier les manquements de son reportage autrement qu’en brassant de l’air et en argumentant par la bande. Vraiment pas brillant.
Le chiffre des 110 000 victimes m’a titillé l’ouïe, parce qu’à défaut de tout voir de son heure et demi d’émission, j’en ai regardé tout de même une bonne partie avec mes oreilles – mes yeux ayant décroché peu après la séquence des Mourabitat. J’aurais apprécié que le reporter se donne la peine de citer ses sources au moins sur ce point-là.
Tant pis, je chercherai moi-même, puisque l’on ne peut pas compter sur sa justification fumeuse.
C’est avoir un « parti pris » que de se placer du côté de l’agressé, dans un conflit ?
C’est être « impartial » et neutre que de renvoyer dos à dos agresseur et agressé ?
C’est à cause de tels sophismes que les médias français – ainsi que les politiques – ont perdu toute crédibilité.
Et après, ils s’étonnent des réactions !
Vrai dans beaucoup de domaines, et en particulier sur le conflit israélo-arabe (oui : arabe).
Pauvre de la Villardière, symbole visible de la déchéance et du naufrage des médias français. Triste sire qui s’enfonce dans son caca, sinistre crétin, qu’il prenne donc sa retraite.
On demande juste de dire des faits vrais historiques incontestables et vérifiés et non de faire du révisionnisme historique!!!
Les journalistes sont hélas devenus des militants idéologiques qui sacrifient la vérité au nom du dogme idéologique.
Mon rêve, que cette gauche aveugle, pro islamiste, émigrer quelque part , chez un « pays frères »
Frisons garantis pendant longtemps ( si toujours en vie car le rester devient un sport national)
Encore un qui veut ravir le prix Goebbels à Charles Enderlin. Envieux!