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Cette nuit du premier week-end de novembre, c’est un riverain apeuré de la cité Kerihouais, à Hennebont, qui avait composé le 17. Et nul besoin d’en évoquer la raison à l’opérateur tant les coups de pistolet retentissaient dans le combiné. Sur place, la patrouille de police avait tout de suite été prise pour cible par deux hommes cachés dans l’ombre.
Il s’en était suivi une poursuite avec l’un d’eux et un incroyable face-à-face dans la rue : le fuyard, pistolet au poing, mis en joue par trois fonctionnaires qui avaient tous sorti leur arme. Le tireur présumé, un Lanestérien de 28 ans alcoolisé (près de 2 g d’alcool dans le sang), s’était finalement rendu, lâchant au sol le pistolet d’alarme avec lequel il avait tiré à onze reprises.
Durant sa garde à vue, il a par la suite blessé deux policiers, les frappant alors qu’ils tentaient de le faire rentrer dans sa cellule. Jugé en comparution immédiate, Samir B. est un habitué des prétoires.
Déjà condamné à 34 reprises, lui qui a passé une dizaine d’années en prison bénéficiait ce week-end-là d’une permission de sortie dans le cadre d’une lourde condamnation pour outrages et rébellion, déjà envers des policiers.
Très provocant à la barre, parfois narquois, le Lanestérien a reconnu les faits, justifiant ses tirs par une peur soudaine. […]
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Pourquoi ne serait t’il pas narquois devant la justice des bobos ? Chez lui, il n’oserait pas…Au Maroc, un regard de la police royale et les djellabas sont mouillées…Enfin Samir à beaucoup de chance, ils serait venu chez moi, tirer ces dix coups de feu, il était descendu..Il est difficile de distinguer son flingue d’alarme d’un vrai.. Il est suicidaire ce connard ??? Il est temps que la justice se réveille…
Que fout-il encore dans notre pays celui-là ?