La semaine dernière c’est le conseiller juif du Roi du Maroc qui avait fait l’apologie de « la tragédie palestinienne »!
En se laissant aller à des surenchères de cette nature, le Maroc dégrade encore plus son image.
Cette semaine, au cours d’une conférence de presse, le mercredi 9 novembre 2016, c’est le ministre marocain des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, qui a lancé cette insupportable surenchère obsessionnelle.
« Le Maroc, et c’est connu, est le premier défenseur de la cause palestinienne, » a déclaré le chef de la diplomatie marocaine.
« Le Maroc a défendu, a porté à bras-le-corps l’entrée de la Palestine en tant que membre observateur au sein des Nations unies. Le Maroc, et c’est connu, est le premier défenseur de la cause palestinienne », a-t-il assuré.
« Le Maroc n’a de leçon à recevoir de personne sur son engagement constant pour dénoncer et combattre les positions inacceptables d’Israël », a ajouté M. Mezzouar ( en photo) qui est aussi le chef du Rassemblement national des indépendants (RNI), un parti politique de centre-droit.
Mercredi, 300 personnes ont manifesté devant le Parlement à Rabat pour dénoncer la présence d’Israël aux côtés des 196 autres États membres de la Convention sur le climat, sur le site de la COP22 qui s’est ouverte lundi à Marrakech.
« Mort à l’Amérique, mort à Israël ! », ont scandé les manifestants, qui ont brûlé un drapeau israélien.
Plusieurs associations panarabistes et pro-palestiniennes étaient présentes à ce rassemblement, organisé par le « Groupe d’action nationale pour le soutien de la Palestine ».
En début de semaine, un communiqué de ce même collectif avait été relayé sur les réseaux sociaux et dans la presse locale, poussant les autorités marocaines à réagir.
Le gouvernement veut absorber la colère sociale sur le dos d’Israël
Trois semaines après la mort atroce du vendeur de poissons originaire du Rif, au nord du Maroc, broyé par la benne d’un camion-poubelle, la colère est toujours vive au Maroc.
La mort tragique du jeune marchand de poisson survenue, le vendredi 28 octobre, dans son geste de désespoir pour récupérer le stock d’espadons que venaient de lui confisquer des officiers de police, a secoué tout le pays.
Vendredi 28 octobre 2016 : Mouhcine, 31 ans, un vendeur de poisson a été broyé par une benne à ordures alors qu’il essayait de récupérer sa marchandise.
De nouvelles données accusaient les fonctionnaires d’avoir donné délibérément l’ordre d’activer le compacteur de déchets alors que le jeune Mouhcine Fikri se trouvait à l’intérieur, selon des médias.
Des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans les grandes villes du pays, exprimant leur colère face à la «hogra», c’est-à-dire l’impunité avec laquelle la monarchie et les autorités oppriment les citoyens.
Les manifestants ont défilé avec des slogans dont «Mouhcine est un martyr» et «A bas le Makhzen – gouvernement-».
Beaucoup d’entre eux scandaient des slogans contre la corruption et la prévarication. Beaucoup de slogans étaient en rifain.Les manifestations se sont répandues bien au-delà de la région du Rif et se sont transformées en colère sociale contre les conditions de vie au Maroc.
Des dizaines de milliers de personnes ont défilé à Al-Hoceima, au nord du Maroc, mais aussi dans les principales villes du Maroc, dont Casablanca, la capitale Rabat, Fès, Marrakech et Agadir.
Les manifestations se sont poursuivies cette semaine dans plusieurs villes marocaines, notamment à Al-Hoceima où des citoyens, émus par les circonstances effroyables de la mort tragique du poissonnier Mouhcine Fikri, ont appelé à des rassemblements un peu partout dans le royaume aujourd’hui pour réclamer justice et réparation.
L’ancienne présidente de l’Association marocaine des droits Humains (AMDH), Khadija Ryadi, a soutenu que les Marocains qui ont manifesté un peu partout dans le pays pour protester contre la mort tragique de Mouhcine se sont identifiés à ce vendeur de poisson broyé par le mécanisme d’un camion-benne.
«L’image de ce citoyen broyé par la pelle de la benne d’un camion d’ordures est choquante et dramatique, mais aussi très significative. La relation de l’Etat (le pouvoir) avec le citoyen est perçue comme cette image», explique-t-elle, citée par des médias locaux.
Selon elle, la tragédie illustre le «grand malaise de la société» qui n’en est pas à son premier événement déclenchant la révolte.
Le gouvernement marocain tente de détourner l’attention de certaines voix qui mettent en garde contre les injustices qui persistent au Royaume.
Rabat veut absolument tourner la page du décès de Mohcine Fikri. Le gouvernement sait que « La question de Palestine unit les Marocains. » Une raison pour laquelle Rabat veut probablement se blanchir au lieu de remédier aux conditions de pauvreté et d’oppression imposées à la population par la monarchie.
Dans son dernier communiqué, l’Association marocaine des droits humains a «condamné l’État marocain qui foule aux pieds la dignité des citoyens» et «maintient la région (nord) dans un état de tensions».
L’Association a mis en garde contre «une possible répétition» des manifestations de 2011. Pendant plusieurs semaines début 2011, de nombreuses villes marocaines avaient été le théâtre de manifestations exigeant plus de démocratie et de justice sociale et dénonçant la corruption.
Le Maroc, accusé de pillage du Sahara, n’est pas à apte à donner des leçons à Israël
Un comité onusien expert en droits de l’Homme a dénoncé, le 5 novembre 2016, le pillage des ressources naturelles au Sahara Occidental par le Maroc et exprimé ses vives inquiétudes face à l’impasse dans lequel se trouve le processus d’autodétermination des Sahraouis dans un territoire considéré comme étant occupé par Rabat.
Le comité des droits de l’homme du PIDCP (pacte international relatif aux droits civils et politiques) a publié vendredi son sixième rapport périodique sur le Maroc dans lequel il a mis en cause l’exploitation illégale des richesses du Sahara occidental.
Le rapport fait état, par ailleurs, de nombreux cas de disparitions forcées au Maroc et au Sahara occidental qui restent non élucidés à ce jour et dont les responsables n’ont toujours pas été identifiés, jugés et punis.
Il demeure préoccupé par les conditions de détention inadéquates dans les établissements pénitenciers au Maroc et au Sahara occidental ainsi que par l’utilisation disproportionnée de la force contre les défenseurs des droits de l’Homme.
Le comité a appelé le Maroc à s’engager dans des négociations sur le statut du Sahara occidental, menées sous les auspices du secrétaire général de l’ONU de façon à permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination.
La souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental n’étant reconnue ni par les Nations unies, ni par l’UE, ni par aucun des États membres.
L’article 73 du chapitre XI de la charte des Nations unies reconnaît le principe de primauté des intérêts des habitants des territoires non autonomes.
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© Souhail Ftouh pour Europe Israël
C’est par une jeune femme franco-arabo-marocaine que j’ai pu mesurer, l’année de la mort de Mandela, l’incrustation de la question palestinienne dans un cerveau de 25 ans. Tous les poncifs du genre, découverts par la suite comme tels, m’ont été servis.
Dégoût de ce nazislamisme marocain quand il s’exprime : le premier entendu après 2001 était fasciné par Ben Laden… Depuis, j’ai vu suinter le salafisme par les pores d’autres esprits.
Sur 1 500 000 appartenant à la communauté marocaine en France, combien sont tentés par ces options ? Ils passent par nos écoles, mais n’en retiennent que ce qui sert leurs intérêts et colle à leur conception du monde.
Le taux d’analphabétisme parmi la population marocaine, même s’il recule, avoisine encore le tiers des 33,8 millions d’habitants. Pas de quoi pavoiser.
Pour la politique islamiste qui s’exporte dans le Maghreb, et qui fait accorder tous les violons, c’est « la causse palestinienne ». Mais parler des berbères, des kabyles ou des sahraouis opprimés, ça fait rincer les dents, depuis les gens les plus pacifistes jusqu’aux dromadaires sauvages.
Mine de rien le maroc est un pays extrêmement dangereux
la communauté marocaine en France, combien sont tentés par ces options ? Ils passent par nos écoles, mais n’en retiennent que ce qui sert leurs intérêts et colle à leur conception du monde.
ILS HAÏSSENT LES BLANCS OCCIDENTAUX, ça c’est une certitude, ils sont tous pareil n’en déplaise aux COLLABOS.
La communauté marocaine est même au gouvernement français…
D’ailleurs quand je vois leur drapeau, ça me fait froid dans le dos.
La vieille grosse ficelle qui est même devenu une corde, dès qu’il y a un problème, la solution des infirmes qui dirigent, c’est de designer ou les juifs ou Israël.
Tous nos poncifs et le « bobos » vont au maroc se la « faire belle » c’est évident tout leur est permis sous couvert….pédophilie, exploitation de la population et autres.
En majorité les responsables d’attentats en France sont marocains ou d’algérie
On ferme les yeux.
Le système sur place n’est autre que du despotisme, et la France gauchiste et complice de cet état de fait et fermes les yeux.
« Ce n’est pas de leur faute », le coupable est toujours tout désigné.
Les Marocains feraient mieux de s’occuper de leurs problèmes insurmontables !!! Mais c’est + facile d’avoir un bouc émissaire, le juif en l’occurrence !!! Et comme cela le peuple a de quoi s’occuper et ne pense + à ses propre problèmes !!!! Que Azoulay se convertisse à l’Islam (si ce n’est déjà fait !!) et qu’il foute la paix aux juifs !!! Au Maroc, il reste 2000 juifs sur 400 000 qui y vivaient : Cherchez l’erreur !!!! Et quoiqu’il arrive à ces 2000 juifs : je n’ai pas pitié d’eux !!!!!!