C’est une bien sinistre histoire qui agite la commune de Plouhinec, en Cornouaille (Finistère Sud). Un militant d’extrême-gauche a entrepris de loger des migrants clandestins musulmans après avoir placé sa femme en maison de retraite avant de partir vivre chez sa maîtresse.
Le communiste joint l’utile à l’agréable
Jean Ladan est un pépiniériste en retraite connu pour son engagement communiste. Originaire du Cap Sizun et résidant à Plouhinec, ce dernier a placé sa femme en maison de retraite avant de s’établir chez sa nouvelle maîtresse, une retraité de l’Education Nationale, Marie de Lagausie.

Ladan jouant au révolutionnaire kurde (à gauche) et sa maîtresse Marie de Lagausie (à droite)
Cette dernière est également connue pour son engagement à l’extrême-gauche puisqu’elle appartient à l’organisation subversive « Utopia 56 » activement engagée dans les filières d’immigration clandestines (source).
Le domicile des époux ainsi libéré, Jean Ladan y a rapidement établi des migrants clandestins, en l’occurrence quatre femmes et un homme provenant du Moyen-Orient (source).
L’ombre du groupe kurde « PKK »
Jean Ladan, à l’instar de la nébuleuse anarcho-communiste en Bretagne, entretient des liens étroits avec la mouvance kurde. Un nombre croissant d’habitants de Plouhinec et des environs s’interrogent sur la possible implication de l’élément précité avec le mouvement kurde « PKK », actuellement en guerre contre le gouvernement turc.
Ce groupe d’obédience communiste cherche en effet à créer des cellules terroristes partout en Europe, continent dont il a fait sa base arrière. La direction politico-militaire de cette organisation terroriste exploite activement les filières d’immigration clandestines à cet effet.
Le maire soutient les clandestins… mais s’oppose aux écoles en breton

Bruno Le Port soutient l’ultra-gauche immigrationniste
Le maire de Plouhinec – qui réside à Audierne – Bruno Le Port a activement soutenu cette implantation. Il est à noter que ce dernier est radicalement hostile à l’enseignement de la langue bretonne et à la création d’écoles dispensant l’éducation dans notre langue nationale (voir ici).
Ce double engagement en faveur du remplacement de population comme de la destruction de la langue et de l’identité bretonnes témoigne de l’intensification du processus d’anéantissement du peuple breton soutenu par les laquais du système politique actuel.
Il ne faut pas tout mélanger merci. Un mélange un peu brouillon.
Voilà comment sont ces gauchiste – ceux qui sont dans le camp du « bien » – forcément eux qui ont la sensibilité tant chevillée au corps…Lol
Mettre sa femme, dans un mouroir, afin de jouer au bienfaiteur par ailleurs, et s’installer chez sa maitresse.
Des humanistes de ce genre, Dieu nous en préserve.