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Donald Trump a déclaré qu’il voulait nommer un procureur pour poursuivre l’ancienne secrétaire d’État. La Maison blanche a refusé d’exclure la possibilité que Barack Obama accorde une grâce présidentielle à Hillary Clinton avant l’expiration de son mandat le 20 janvier prochain.
La Maison blanche a refusé d’exclure la possibilité que Barack Obama accorde une grâce présidentielle à Hillary Clinton avant l’expiration de son mandat le 20 janvier prochain. Josh Earnest, porte-parole de la présidence des États-Unis, a botté en touche sur une question au sujet de l’intention de Donald Trump, président-élu des États-Unis, de nommer un procureur spécial pour enquêter sur l’affaire des emails d’Hillary Clinton, disant que la Maison blanche ne communique pas sur les grâces présidentielles avant qu’elles ne soient signées.
« Le président a gracié un nombre important d’américains qui purgaient des peines dans les prisons fédérales, et nous n’avons pas parlé en avance des plans du président d’offrir une grâce à ces individus », a-t-il déclaré.
« C’est parce que nous ne parlons pas de la réflexion du président, surtout au sujet d’affaires précises qui pourraient recevoir une grâce ou une commutation de peine. »
Si Hillary Clinton n’a pas été mise en examen dans ses nombreuses affaires, et que le FBI a décidé à l’issue de son enquête de ne pas demander de mise en examen, Donald Trump a évoqué plusieurs fois la possibilité de nommer un procureur pour poursuivre l’ancienne secrétaire d’État pour ses diverses affaires.
Comme dans de nombreux pays, le président des États-Unis a un important pouvoir de grâce. Une « tradition » de la présidence est le fait pour le président d’attribuer de nombreuses grâces à la fin de son mandat, après l’élection de son successeur. En 1974, le premier acte du président Gerald Ford, qui avait remplacé Richard Nixon après la démission de ce dernier, fut de le gracier pour ses actions liées au Watergate ; cette décision a provoqué un tollé national, et la plupart des experts pensent qu’elle fut une cause principale de sa défaite par Jimmy Carter en 1976. En 2000, Bill Clinton avait notamment gracié Marc Rich, financier vivant en Suisse car fugitif d’une instruction pour fraude fiscale et corruption, et important donateur des Clinton.
Elle a servi toute sa vie en politique. Le mieux est de la laisser finir sa vie tranquille. La prison a 70 ans c’est dur dur. Laissez la finir ses jours tranquilles, en liberté. Seul Dieu la jugera pour ses actes à la fin de sa vie. Par contre, la sortir définitivement de la politique présidentielle, c’est bien. Car des erreurs de mails mettent en danger des informations confidentielles pour la nation. Ceux qui doivent finir en prison sont ceux qui l’ont manipulé pour des intérêts étrangers, cela s’appelle de la haute trahison. A vérifier dans les mails… faites votre boulot d’enqêteurs.
@zanaroff : il y a la justice Divine certes, mais Dieu a aussi demandé à l’Homme d’instaurer des tribunaux. C’est appliquer Sa volonté que de passer en jugement une personne pour les actes répréhensible qu’elle commet ! Cette Hillary est pleinement consciente et responsable de ses actions d’avec qui elle traite, il n’y a pas de doute là dessus. Elle doit être jugée comme tel !
Pour en revenir à l’article il est inadmissible de penser laisser la Clinton s’en sortir blanche comme neige. Elle est passible de haute trahison rien que pour ses magouilles avec le Qatar… Quant aux mails n’en parlons pas.
Qu’elle soit jugée, que ses fautes et celles d’éventuels complices soient officiellement établies et reconnues, mais qu’elle ne soit peut-être pas condamnée…
En Israël, on ne badine pas avec les affaires d’État comme chacun le sait, et fort heureusement!
Afin que nos États de Droit ne puissent tomber trop facilement entre les mains d’indélicats… sans rien risquer grâce aux grâces Présidentielles qui ne s’appliquent d’ailleurs sûrement pas à des crimes « présumés » ce serait reconnaitre des faits non démontrés et sanctionner sa culpabilité.
Jugement sans condamnation = hypocrisie déresponsabilisant les politiques d’un certain âge. Il faut être exemplaire. D’ailleurs c’est finalement rendre service à Hillary de lui imposer une pénitence plutôt que l’impunité qui la remettrait difficilement en question avant son jugement divin. Il vaut mieux en baver ici-bas et avoir l’opportunité de se repentir plutôt que d’être condamné à la mort éternelle !
@ Zayith :
Vous avez raison, et j’ai regretté la fin de ma première phrase sur la condamnation dès son envoi : de toutes les façons justice doit être rendue et c’est mieux pour les vivants que tous les criminels soit jugés sur un pied d’égalité.
Tromper toute une nation, tout un monde toute une époque et tout un avenir!!!
Je ne comprends pas bien le titre de cet article : comment peut-on gracier quelqu’un qui n’a pas été préalablement condamné ?
Charrue avant les bœufs etc.
Peut-être un aveu flagrant de culpabilité avérée, de l’un comme de l’autre !!!
Bref, ce n’est pas notre boulot de juger mais que les juges le fassent correctement car eux aussi auront des comptes importants à rendre.
Cette grâce présidentielle est une survivance du fait du Prince, c’est une façon totalement arbitraire de rendre la « justice ».
On gracie, à l’instar de Bill Clinton (tiens tiens) ses petits copains, c’est très malsain.
Que la justice indépendante suive son cours pour crooked Hillary comme pour tout justiciable, point.
Exactement, c’est une justice comparable à celle d’avant Mathusalem et que l’on appelait comme dit Jacques B, « le fait du Prince ».
Aujourd’hui je dirai que Mr Obama fait ce qu’il a fait pratiquement durant la durée de ses mandat, des actes et déclarations, dignes d’une autocratie.
Pourquoi y aurait-il une justice particulière pour certains ? Qui seraient moins coupables que d’autres sur des faits importants ?
Il ne s’agit pas de peccadilles, quand cela concerne un Pays entier ? Et en plus sa sécurité ?
Non, mais puis quoi encore ? Il a le temps d’en avoir des idées aussi farfelues et injustes le sieur Obama, et il va en user, j’en ai bien peur.
alauda, a parfaitement raison, pour gracier quelqu’un, dans ce cas-ci, il faut qu’il y ait eu condamnation officielle devant un tribunal judiciaire.
Comment peut-on amnistier ou gracier quelqu’un pour des résultats hypothétiques d’une enquête future, non encore lancée à ce jour ?
A moins de connaître déjà les méfaits et les délits de la personne que l’on veut protéger envers et contre tout ?
Peut être le Président Hussein Obama pourra -t- il répondre à cette question?
Toute sa vie elle a poussé les gauchistes contre Israel et elle a influencé son mari dans ce sens. Bien sûr qu’il faut Obama aussi. S’il est lui-mêle ,jugé sa gr^&ace devient invalidée.
…bien sûr qu’il faut la juger…il y a une forte cyber action contre mes commentaires
Il le savait et il l’a soutenue pendant la campagne .
Deux menteurs qui veulent donner des leçons de morale .
Et maintenant il souhaite la gracier en ignorant la justice .
Un régne désastreux qui finit en humiliation .
Son » yés I can » devient aussi risible que notre » Moi Président » Hollandais .
Les aventures de Pinocchio en 2008 :
https://www.youtube.com/watch?v=XKGdkqfBICw
Quand le poulain de Soros s’emmêlait les pinceaux entre deux allégeances.
😉
Comment grâcier???? en faisant disparaître les mails encombrants! Clinton ne nous intéresse plus, pourvu qu’Obama ne joue pas un mauvais tour à Israël avant sa passation de pouvoir !
Et qui va le gracier à LUI
Le seul a pouvoir donner la grâce s’appelle Trump, et a la suite d’un jugement et condamnation-cadat ve din- qui n’ayant pas encore eu lieu ne peut etre de la prérogative d’un nobama.
Si Obama veut terminer son mandat par un beau geste, au lieu de gracier Hillary Clinton la menteuse et tricheuse, il peut gracier définitivement Jonathan Pollard qui pourra ainsi se rendre en Israël, espérons que Donald Trump le fera..
Je pense sincérement que Monsieur Pollard passera PESSAH en famille .
Israel sera bien content de le récupérer.
Hachem veille