Ce mercredi soir, sur M6, Bernard de la Villardière présente Dossier Tabou, une enquête sur l’islam pour laquelle il est allé sur le terrain. Dans C à vous, le journaliste révèle avoir été agressé à cette occasion.
Dans Dossier Tabou, diffusé ce mercredi soir sur M6, Bernard de la Villardière enquête sur l’islam, sur les imams, dont 70% à 80 % viendraient de l’étranger, sur les écoles musulmanes, dont certaines sont dirigées par des salafistes, et sur les prisons, qui sont devenues de hauts lieux de radicalisation.
Un reportage qui n’a pas été sans heurt pour le journaliste. Dans l’émission C à vous, diffusée mardi soir sur France 5, il a confié avoir été agressé sur le terrain de ses investigations. Un extrait de la bousculade a été diffusé dans l’émission d’Anne-Sophie Lapix.
Bernard de la Villardière « inquiet »
A Sevran, en Seine-Saint-Denis, ville que de nombreux mineurs ont quitté pour faire le djihad, Bernard de la Villardière et son équipe ont été malmenés par une bande de jeunes.
AGRESSION du célèbre journaliste pendant un reportage sur l #islam.
Qui a dit que les "No Go Zones" en France relevaient du fantasme ? pic.twitter.com/U8VH7d46Nr
— Grégory Roose (@gregoryroose) September 28, 2016
Le journaliste révèle ne pas avoir été serein pendant l’altercation, arrêtant le tournage pour ne pas que les choses dégénèrent. « J’étais un peu inquiet. On a ‘décroché’, entre guillemets, prudemment, sinon ça risquait de mal se passer », explique-t-il.
Le présentateur de Zone Interdite avait refusé d’être suivi par la police durant son reportage. « Les policiers m’avaient dit: ‘Quand vous venez à Sevran, dites-nous et puis on ne restera pas loin’. Mais je refusais de recourir à ce subterfuge. Je ne les ai pas prévenus.
Des pressions de l’administration pénitentiaire
Bernard de la Villardière indique également avoir été victime de pressions de l’administration pénitentiaire, notamment après avoir interviewé un imam de la prison de Fresnes.
« On nous dit qu’il ne fallait pas l’interviewer alors qu’on a été devant le directeur de la prison et qu’il nous a vus. » Bernard de la Villardière déplore que, face à ce genre de pratiques, l’Etat « ferme les écoutilles ».
Quand on va à l’étranger comme ça, surtout dans un pays musulman, faut pas s’attendre forcément à un accueil chaleureux!
c’est terrible de voir qu’ une bande de jeunes racailles menace le journaliste dans l’exercice de ses fonctions et que se sont eux qui font la loi .. Sevran est une zone de non droit, faudra t ‘il faire des reportages en compagnie de l’armée ?
Forcément, avec ces dégénérés, les choses dégénèrent.
« Il faut que jeunesse se passe », dirait la mégère Taubira.
Qu’il aille à Gaza , que les Français bobos gauchos comprennent et voient la réalité .
Assez de mensonges, de calomnies sur le peuple d’Israël .
C’est très bien que Monsieur De La Villardière ait pu rapporter cet incident car il faut monter et dire la vérité sur ces nazis d’un nouveau genre .
Ces nazis qui veulent nous dominer et dominer le monde .
IL FAUDRA ÊTRE TRÈS FERME EN 2017 ….
Formidable émission, sacré boulot de Villardière, c’est clair, bien documenté avec de multiples témoignages, que ce soit des femmes voilées ou des Imams. Conclusion: il serait préférable de virer tous ces musulmans de France, et vite avant qu’il ne soit trop tard, si ce n’est pas déjà le cas……
J’ai vu le reportage de Monsieur De La Villardière – et vraiment quel plaisir, quand nous connaissons les réalités, de voir, enfin un travail journalistique fait avec la volonté d’être aussi honnête impartial que possible.
Bien entendu, en même temps on peut imaginer le courage qu’il fallait pour agir ainsi – Ce courage il l’a démontré, et bien sur il rencontre des menaces et autres joyeusetés de ce genre.
C’est aux autres journalistes de l’aider, en faisant une adhésion massive à son reportage et puis maintenant prendre le risque, comme lui, à leur tour, d’essayer d’être a peu près aussi honnête que lui…
Je n’ai pas trop d’illusions, hélas – Pourtant ils sont bien placés pour savoir que l’union fait la force.
Mais bon, je ne veux pas désespérer non plus – Et si le monde des médias ne se réveille pas, indubitablement il est en train de s’enterrer petit à petit.
L’information s’obtient autrement, ils ont donc intérêt à faire leur travail comme il doit être fait, et surtout arrêter la désinformation et la manipulation des masses.